(2409) i'm a dumb teen boy, all i wanna do is quit ○ rain

○ i'm a dumb teen boy, all i wanna do is quit ○
ving-quatre septembre ○ feat rain

il a
tellement plu
la veille
que l’espace d’une journée alan il a
oublié
que ça faisait presque un an qu’ils sont coincés dans une réalité brisée
que ça fait presque un mois qu’il a perdu la motivation à avancer
l’espace d’une journée
enfermé seul chez lui à regarder la pluie tomber
il en aurait presque oublié que tout dans son appartement est cassé - que les escaliers qui y mènent sont effondrés - que jamais il ne devrait pouvoir s’asseoir avec un pied dans le vide contre le coin du mur de la salle à manger
l’espace
d’une
journée
sans plus y penser
(sans plus exister)

mais la pluie a fini par s’arrêter
pas d’arc-en-ciel à l’horizon car leur réalité est bien loin de tout ces clichés
à la place c’est de nombreuses fleurs qui ont bien trop vite poussé - comme pour rappeler qu’il faut depuis bientôt un an maintenant tirer un trait sur la normalité
et eight n’avait
aucune envie
de faire face à cette journée
encore une fois sa seule envie s’était de se recoucher (mais ça fait un mois déjà qu’il a du mal à se reposer)
et il sait pas trop comment il s’est retrouvé finalement
en bas de son immeuble à faire face à la ville dévastée, parsemée de fleurs qui n’étaient pas là deux jours avant
à faire de son mieux pour les ignorer - les piétiner sans même le réaliser pendant son errance sur des chemins que son esprit n’a même pas cherché à tracer
il a pensé pendant un instant à retourner à l’hôpital - faire acte de présence, vérifier
que tout le monde là-bas est encore en bonne santé qu’il ne s’est rien passé pendant qu’il avait décidé de s’isoler
pourtant
au milieu du chemin ses pas finissent par s’arrêter

l’observatoire

ça fait un moment qu’il n’y est pas allé (il se souvient encore trop bien de sa dernière expédition dans ce bâtiment
et
ça
lui
rappelle
tant d’autres moments)
il n’a
pas
envie
d’y aller
pourtant il a à nouveau une soudaine envie de s’isoler et ses pas l'amènent à l’intérieur sans réellement y penser
l’entrainent en haut de une deux trois volées d’escaliers à moitié effondrés avant d’enfin s’arrêter et se laisser tomber contre le mur (recouvert de bien plus de plantes qu’il n’aurait jamais dû y pousser)
et il regrette un peu d’être entré eight lorsqu’il entend quelqu’un d’autre arriver - il voulait juste être isolé
mais il a pas la volonté de continuer à monter pour s’éloigner
il est
bien là
assis à moitié enfoncé dans une végétation qui n’a aucune raison d’être où elle est (un peu comme lui
les parasites les envahissants les non désirés)
légèrement absorbé par son observation des plantes il est même prêt à toucher l’une des fleurs à ses côtés, sans vraiment y penser.

petit résumé des familles :
○ il a passé tt le 23 à regarder la pluie tomber comme le gros emo qu'il est
○ il veut retourner à l'hosto check si tout le monde va bien (en faisant semblant c le dernier de ses soucis évidement) mais il passe devant l'observatoire et change de destination
○ c un gros émo tt le long du post en fait il monte jusqu'au troisième étage pr être sûr d'être seul
○ il entend rain arriver mais il y fait pas trop attention pck y’a une fleur pas loin de lui qui est prête à lui signer son arrêt de mort donc c grave intéressant pas vrai november ???

les fleurs du mal

ft. 8

Rain s'était regardé tomber toute la journée, les yeux dans le vague. Il avait contemplé la pluie du haut de ses décombres en s'imaginant chuter avec elle, glisser entre les pierres et regagner la terre nourricière. On le croirait triste mais les larmes qui coulent sur ses joues ne sont que des gouttes perdues. Rain n'est pas triste.

Il est étrangement apaisé.

La pluie a cet effet. Elle recouvre le monde et le met en pause. Personne ne sort et peut-être même que les Ombres restent cachées. Peut-être qu'elles craignent la pluie. On ne sait pas. Il s'est endormi, roulé dans de vieilles couvertures, dans une des nombreuses ruines d'Arcadia Bay. Bercé par le bruit des gouttes frappant la fenêtre brisée non loin de lui, il avait passé une nuit plus calme qu'à son habitude. Peu de cauchemars aux mains dévorantes.

Quand le jour avait caressé la pierre, Rain s'était figé. Devant lui, des fleurs pas centaines, par miliers. Les yeux écarquillés, le cœur un peu battant à la découverte de cette nouvelle étrangeté. Elle, au moins, elle avait l'air inoffensive, pas comme l'autre indien et sa carte de malheur.

Curieux, Rain avait commencé à se promener dans la ville, prenant soin, méfiant qu'il était, ne de pas toucher les fleurs. Elles étaient partout. Il se demande de quelles couleurs elles sont, quelles teintes éclatantes dévoilent-elles au monde.

Il souffle du nez et part en direction de l'observatoire. Pour avoir une vision d'ensemble. Pour voir toute la ville, pour tenter d'oublier qu'il ne pourra pas admirer les éclats colorés des fleurs. Il grimpe entre les étages, croise soudain le regard d'un être affalé entre les rochers. Rain s'arrête.

- Eight.

C'est un constat, le constat d'une présence. Il avance d'un pas, ne voit pas la fleur qui se balance juste à côté de sa jambe. Il s'accroupit à hauteur de l'autre. Il a l'air si … vide et triste. On aime pas ça, Eight a cette énergie piquante d'habitude, cette bouffée de vie un peu distante qu'on aime bien. On ne sait pas s'inquiéter. Mais on le fait quand même.

- Ça va ? Tu fous quoi vautré tout seul là ?

Un peu sec, un peu froid parce qu'on ne sait pas comment parler pour être gentil.

agora

rézumé:

INTERVENTION

Au matin, de la pluie ne restait rien que les gouttelettes en suspension aux choses, entre le haut et le bas, entre le ciel et la terre. Entre les deux il y a vous et toute cette humidité accumulée qui s’infiltre dans les corps, dans les eaux et dans les matériaux, dans les plantes et les âmes. Peu de gens le savent mais l’humidité a un bruit, une odeur, une couleur. Elle déteint sur vous en ce jour gris parsemé de milliers de pétales noirs. Ils s’élèvent dans le vent puissant, ça sent l’eau renversée, celle qui tombe quand on s’y attend le moins. En toi Eight, il y a les chemins tracés qu’on ne suit pas, les buts flous qui s’oublient aussi facilement que les promesses qu’on murmure à la brise.

Pour toi Rain qui portes si bien ton nom, il y a des choses immuables dans tes yeux, tes lumières qui ne s’éteignent pas même quand elles sont noyées. Pour toi, la pluie se remet à tomber, fort et dru et tu as bien fait de trouver un abri car bientôt autour de vous, il pleut si fort que le sol se creuse de longs sillons. Le sol saturé d’eau n’absorbe plus les flots qui coulent à vos pieds, loin en dessous. Du troisième étage le paysage ne change pas, âmes sur les toits, les bourrasques de vent cognent contre la pierre et la font crier, son souffle s’engouffre dans les interstices de la pierre et la font murmurer mille et une promesses qui ne seront pas tenues.

L’eau de la pluie s’infiltre partout et goutte dans vos cous, entre le ciel et la terre elle s’échoue sur vous, creuse vos peau de frissons humides, gelés par les assauts du souffle du vent qui vous entoure, tout autour, le bâtiment tremble et résiste, dehors le déluge, à vos pieds deux fleurs.

Chacun voit l’autre noire, la sienne en couleur. Pour toi Eight, elle rappelle la trompette, caressante de jaune vif, existence de soleil abrité de la pluie torrentielle. Pour toi Rain, elle adopte la forme d’une croix d’un violet doux et tendre, se balançant sous les chuchotements du vent violent.

• La pluie a pas cessé longtemps, elle reprend de plus belle et se fait d'autant plus puissante.
• Le vent aussi est dans la place, il souffle et rugit sur votre abri, les bourrasques font grincer la pierre de l'observatoire.
• A travers les fissures de la pierre ont poussé deux fleurs, chacun voit la sienne en couleur, celle de l'autre est noire.
• Il pleut il mouille, c'est la fête à l'embrouille :clown:

○ i'm a dumb teen boy, all i wanna do is quit ○
ving-quatre septembre ○ feat rain

le jaune
a toujours été sa couleur préférée
pourtant
aujourd’hui
même le jaune
lui semble si terne
même la fleur à ses pieds pourtant seul point coloré (seul ? il n’y a
pas vraiment fait attention)
éclatante et pourtant ternie par les nuages gris qu’il devine dehors (qui recouvrent ses yeux)
et il fixe la fleur
il fixe la fleur
il fixe la fleur
et
sa solitude se brise
rain
(il lève à peine les yeux vers lui
il n’est
pas sûr d’avoir envie)
et c’est sûrement ironique de le croiser en un jour pareil - dehors il n’y a
que des petits bouts de lui depuis hier déjà
(quoique, elle s’était pas arrêtée, la pluie ?) (il a déjà oublié)
ça lui va bien comme nom rain - on aimerait bien l’ignorer laisser couler ses paroles sans trop y penser
mais c’est froid et mordant comme une goutte d’eau tombée au creux du cou
c’est agaçant mais
pourtant vivifiant
(ce serait trop honnête de dire que la présence de rain ne le dérange pas tant que ça)

ça te regarde pas.
c’est répondu sur un ton similaire à celui qu’il avait pris - pourtant y’a rien contre lui
parce que ça fait plaisir au fond de le voir rain, ça fait plaisir de le savoir en vie
mais
c’est pas le genre de la maison d’exprimer le véritable fond de ses pensées
et toi, tu fous quoi là ?
ça le regarde sûrement pas non plus en vérité et il s’attend absolument à la même réponse que celle qu’il lui a donnée
mais ça ne l’empêchera pas de questionner (de s’inquiéter est-ce qu’il va bien est-ce qu’il est juste venu pour s’abriter
encore une fois c’est pas son genre de dire ça à haute voix alors on va vite oublier)
((oublier aussi pourquoi on est soi-même venu ici))
et c’est facile de ne pas y penser avec le vent de plus en plus bruyant si difficile lui à oublier
alors on s’enfonce encore plus dans la végétation pour tenter de s’en protéger - et on s’enfonce dans sa capuche aussi pour essayer d’éviter la pluie
à croire qu’ils seraient mieux protégés des intempéries s' ils n’étaient pas ici - dans ce bâtiment si délabré qu’il laisse facilement tout passer malgré son nombre d’étages élevés

son regard se repose sur la fleur (le jaune c’est sa couleur préférée) et
il ne sait pas trop si ça l’énerve ou lui fait plaisir de la voir ici plantée - il n’arrive pas à penser
son regard se repose sur rain (ça fait un moment qu’ils ne s’étaient pas croisés) et
il ne sait pas trop si ça l’énerve ou lui fait plaisir de ne plus être isolé - il n’arrive pas à penser
il n’arrive pas
à penser
et ça
ça il sait que ça commence à l’énerver

putain le vent là. ta gueule. bâtiment de merde.
temps de merde. vie de merde.
t’as pas de la musique? ça casse les couilles la tempête dehors là. ah en vrai attend j’ai peut-être de la batterie.
alors il sort son téléphone de sa poche - 72 pourcents, c’est bien ça va gérer - et fouille dans ses musiques téléchargées sans trop savoir sur laquelle s’arrêter
à défaut de réussir à penser, au moins noyer ses idées dans un environnement sonore contrôlé
pour pouvoir juste tout ignorer
stagner et
continuer de ne pas avancer.

petit résumé des familles :
○ la fleur est cool, le jaune c cool, mais 8 est emo et les fleurs c pas emo
○ au fond il est content de voir rain hein, mais ça l'empêche pas d'hésiter à l'ignorer, et puis de lui parler trop mal jpp
○ il s'inquiète pr rain aussi mais c quoi montrer ses sentiments après tout
○ et puis il est salé pck le vent le laisse pas déprimer en paix alors il dit ta gueule au vent voilà déso pas déso november
○ et il propose de mettre de la musique histoire de plus trop entendre le vent vrmnt 8 n'a aucun respect pour toi nov mais moi je t'aime alors le tue pas stp

les fleurs du mal

ft. 8

si Rain éprouve des difficultés à se montrer gentil, à accepter s'inquiéter pour d'autres, il semblerait qu'il ne soit pas le seul. Comme un drôle de miroir déformé, comme un reflet qui a le même âge que lui. Ce qui est triste, c'est qu'avant, Eight n'était pas si gris, il avait cette lueur au fond des yeux, cette lueur qu'ont les gens qui rient.

C'était chouette de te voir rire Eight, pourquoi ça s'est éteint ? Pourquoi tu es devenu gris comme moi ?

Rain s'inquiète, ça vrille un peu dans son ventre, ça se tord les émotions, c'est chaotique et on ne sait pas trop quoi en faire. La pluie au dehors siffle et hurle. Elle assourdit tous les autres bruits et enferme l'observatoire dans une drôle d'ambiance.

Non, ça ne le regarde pas ce que tu fais là, alors il n'insistera pas. Au fond, il est un peu rassuré, il aurait pas su quoi dire si tu lui avais répondu, si tu t'étais confié. Il n'a pas les mots pour panser les blessures Rain, les siennes sont toujours à vif et les traces qu'il laisse sont ensanglantées, hantées par cette douleur sourde de vivre qu'on peine à dompter.

Il hausse les épaules.

- Je voulais voir la pluie d'en haut.

Pour le coup, ça, c'était vrai. Maintenant, s'il restait, c'était pour Eight. Son regard se promène autour de lui, il cherche un endroit où s'asseoir, secoue la tête, non pas de musique, pas de téléphone non plus d'ailleurs. Puis, soudain, il n'entend plus. Quelque chose, à l'orée de son champ de vision l'a frappé. Quelque chose qu'il n'a jamais vu avant, qui tranche avec tout ce qu'il connait. Il laisse tomber son sac. Dans son monde noir et gris, dans son monde duochrome, dans son monde manichéen, il y a une couleur.

Il s'agenouille - tombe presque - auprès d'elle.

- Eight Eight juste, s'il te plait, dis moi ... cette fleur là, quelle couleur elle a ?

Voix tremblante, balbutiante, presque une anomalie chez Rain, submergé par les émotions. Il ne sait pas ce qu'il ressent, quel drôle de sort on lui a jeté, dans quel chaos on l'a encore plongé. Mais pour l'instant, tout ce qu'il veut, c'est connaitre le nom de cette couleur - parce que c'en est forcément une - pour la graver à jamais dans sa mémoire.

Et du bout des doigts, il effleure un pétale violet, comme pour s'assurer qu'il ne rêve pas.

agora

rézumé:

INTERVENTION

Il te tourne autour pourtant Eight, tu devrais le sentir à défaut de l’entendre trop, il s’engouffre subitement dans ta capuche, la faisant tomber sur tes épaules dans un mouvement sec, il continue de hurler dans tes oreilles et tu pourrais presque sentir sa présence quand son air s’infiltre dans tes habites, te bouscule jusqu’à presque te pousser, te faire trébucher, te voir tomber. Tu la sens sur ta peau, la pression de l’air qui se fait plus forte, plus lourde et qui se calque sur le noir dans tes yeux. Tu devrais faire attention Eight, tu sais parfois ce sont bien plus que les murs qui ont des oreilles.

Et semblant se mouvoir de pair avec le vent, la pluie redouble d’efforts, en quelques secondes ce qui s’apparentait à des gouttes devient mousson au creux de la pierre, comme pour vous atteindre le plus possible, vous laisser transis et gelés jusqu’à l’os. La pierre se fait glissante, l’eau ruisselle à vos pieds et ne se tarit aussi vite quand elle est venue, pile lorsque les doigts de Rain se déposent sur la corole, autour de toi Eight, rien n’est calme pourtant parce que le vent lui, reste toujours là.

• Lorsque tu touches/cueilles la fleur, celle ci te fait te repasser un souvenir de façon très précise. Mais toute fois de ton point de vue et non celui des autres personnes présentes si il y en a lors de la scène. Tu es le seul qui en a conscience.

• Le souvenir en question doit être un souvenir dans le thème qui t'a été attribué lorsque tu as tiré les dés.

• Cela peut être un souvenir récent comme ancien. Oublié de ton personnage ou bien très vif pour lui.

• La fleur est considérée comme un artefact, à chaque fois que tu la toucheras, ou que quelqu'un d'autre le fera, il revivra ce souvenir comme lorsque tu l'as vécu. ( Emotion/point de vue)

• Si la fleur est détruite, le souvenir disparaîtra par contre de ta mémoire, à toi de voir ce que tu en fais.

• Il t'est donc demandé de poster à la suite le souvenir en question, vécu par ton personnage.

• Tu peux être aussi précis que tu le souhaites, ce texte servira pour le recensements des fleurs qui arrivera bientôt, et sera donc la référence si quelqu'un d'autre que toi doit le vivre.

• Merci beaucoup d'avoir participé

Vous êtes les plus doux.

○ i'm a dumb teen boy, all i wanna do is quit ○
ving-quatre septembre ○ feat rain

il voulait voir la pluie d’en haut
ça l’aurait presque fait sourire eight
parce que
ça lui va si bien, à rain
c’est doux et poétique comme activité - comme rain, à sa manière
mais alan n’est
pas
d’humeur
à sourire
non il a juste envie de
se perdre dans ses pensées
réfléchir (trop), et s’isoler
mais
⠀il
⠀⠀n’arrive
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀pas
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀à penser -- le vent est trop fort
et quand il tente de l’ignorer il se fait plus violent encore
arrache sa capuche et hurle dans ses oreilles--
putain c’est quoi ça ??
il en oublie presque tout eight -- la musique qu’il n’a jamais lancée la pluie qui ne s’est pas encore arrêtée de tomber les fleurs qui ont sans raison poussé et
rain
qui s’est mis à lui parler
mais il ne l’a entendu qu’à moitié eight - trop occupé
à tenter de se défaire de s’éloigner du vent qui s’engouffre dans ses habits
et en regardant
il a l’impression que le vent ne tourne qu’autour de lui
rain rain lui a l’air absorbé
par une fleur
qui n’est
même pas colorée ?

y’a pas de couleurs. y’a que des fleurs noires, par là.
t’es sûr que tout va bien ?
il aurait voulu
s’inquiéter pour son ami
mais il y a toujours le vent qui à moitié l’assourdit
et cette
désagréable inquiétude
que tout est loin d’être normal
(et il
⠀n’aime
⠀⠀pas
⠀⠀⠀ça
il a jamais été doué alan
pour supporter ce genre d'événements)
et pourtant pourtant
il commence à comprendre que ça fait maintenant longtemps
que les choses ne peuvent plus être expliquées rationnellement
c’est parce que je t’ai dit ta gueule c’est ça ? t’es fâché, le vent ??
(si c’était le cas il pourrait simplement
s’excuser
et tout serait sûrement réglé
mais il n’a
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀pas
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀envie)
c’est pas comme ça que je vais m’excuser alors lâche moi ok ? lâche moi !
((((et au fond
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀il ne serait pas contre l’idée de suffoquer))))

petit résumé des familles :
○ rain = cool ; le vent = pas cool du tout
○ il est un peu saoulé par la situation et répond assez sèchement à rain sans le vouloir, désolée bro il t'aime mais t un dommage collatéral du coup snif
○ l'avantage d'avoir un pouvoir depuis des mois c qu'au fond les trucs chelous ça le surprend plus du tout alors il comprend qu'il a du énerver le vent...............
○ .......... et du coup rajoute de l'huile sur le feu pck c un petit débile
○ au passage il a complètement oublié l'existence de sa propre fleur, trop occupé à chercher un octogone avec november

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