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Des fleurs pour Pissenlit ✿ ft. Steel

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T-rex
Bénie par Josiane
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Avatar Anya Forger (dessin de Mum♥♥♥) // Rue Penelope (IRL)
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Dim 17 Mai - 13:49




Des fleurs pour Pissenlit


Steel et moi, le 24 avril 2020




Jour clair malgré la pesanteur étrange qui plane en ombre sous les yeux soucieux et sur les fronts maltraités de contrariétés. Deux jours que tous les fantômes se sont évanouis quand la musique s’est arrêtée, deux jours qu’elle espère se réveiller blottie tout contre papa. Mais aucune barbe-qui-pique contre la joue, pas plus que l’odeur de la mousse à raser bon marché. Seulement la sueur sur l’oreiller de trop tourner et tourner encore.

Jour clair oui, mais pensées emmêlées, imbriquées. Le soleil haut perché dans le ciel et T-rex en contrebas qui s’évade, qui change, qui cherche. Qui se trouble un peu aussi, mais qui oublie, et qui repart de plus belle. Elle découvre les limites, elle les trouve, les repousse, en fabrique de nouvelles. Poussée par la force invisible d’un inconscient abîmé qui cherche papa à chaque ombre, chaque angle, chaque silhouette sur l’horizon. Elle part en expédition comme s’il était là à son côté, invincible de sa présence. Aujourd’hui elle veut trouver des fleurs pour Pissenlit. T-rex la sent moins bien que d'habitude. Alors des fleurs : mais pas des fleurs banales, pas celles qui poussent sauvages au pied des arbres de la cour de Blackwell, elle en veut des spéciales, des rares, des magiques, comme le trésor d’une grande quête. Des qui-soignent, des qui-font-plaisir. Elle espère. Elle espère aussi l'impressionner quand elle lui racontera qu’elle est partie toute seule sans les adultes pour les cueillir dans la nature. Parce que c'est son amie.

Alors elle est là, T-rex, sous le soleil haut qui chauffe la nuque. Elle glisse sur l’horizon, traverse la voie ferrée, vagabonde bille en tête tout droit, tout droit, toujours plus loin, jusqu’à la plage, jusque dans le sable, et elle voit les baleines et les oiseaux plus loin, et elle s’arrête ; parce que c’est beau, parce que c’est incroyable. Mais elle se rappelle la quête et les fleurs et papa peut-être caché tout près, et elle voit le bosquet qui grimpe sur les hauteurs, elle voit les arbres, les buissons, les fleurs fraîchement écloses du printemps encore jeune. Alors elle s’élance, elle court sans avancer très vite du haut de ses petites jambes, elle fend l’air joyeuse, rigole, hume l’odeur humide de la clairière, sans s’inquiéter, sans réfléchir.

Puis l’émois de la quête fantastique retombe un peu, elle se calme, et prend le temps d’observer. C’est beau les rayons de lumière qui percent à travers les feuillages. C’est calme. Elle déambule quelques temps, s’enfonce au milieu d’herbes plus hautes quand la couleur d’une fleur interpelle le regard. Plus rien ne compte que les pétales colorés et les senteurs délicates, elle ne remarque pas le manège des arbustes et des branchages, ni celui du sentier capricieux. Elle en cueille de toute sorte, de toute forme, multipliant les découvertes sans chercher à ordonner, à trier, à choisir. Bouquet carmin nappé d’or blanc et bleu dans la main, elle estime sa quête accomplie. Ca devrait plaire à Pissenlit.

La petite fille revient sur ses pas finalement, essayant de se rappeler le chemin du retour vers la maison. Le sentiment qui s’enroule alors autour de sa gorge est pénible et pernicieux. Il étrangle doucement l’orgueil et asphyxie l’exaltation de l’aventure en solitaire ; elle ne se rappelait pas que le sentier tournait à gauche, et ce grand arbre qui ressemble à une main, il était là avant ? N’aurait-elle pas pu tourner ici normalement ? Elle déglutit et remue l’épaule d’un côté pour chasser un frisson. Et l’angoisse de se sentir perdue étire les minutes pour qu’elles semblent comme des heures, transforme la fierté en inquiétude sourde qui amplifie les bruits alentours. La brise qui fait bruisser les feuilles lui semble inquiétante, comme le grognement d’un monstre endormi. Finalement parce qu’elle n’est rien d’autre qu’une petite fille, la peur peinte sur le visage éclate en quelques sanglots rentrés, discrets, des hoquets de panique qui jaillissent avant de se calmer aussitôt. Et alors que quelques larmes orphelines percent sous les yeux, elle entend le bruit lourd de quelques pas non loin et le coeur s’accroche à ce qu’il cherche sans cesse sans le dire, à ce qui le rendait invincible plus tôt : “Papa ?”




Résumé:
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Mer 20 Mai - 16:36
Marchant encore et encore, explorant toujours ces terres considérées comme des plus mystiques. Tu ne comprenais pas le pourquoi du comment de ce nouvel univers auquel vous aviez dû vous habituer en quelques mois. D’abord la barrière puis les récits sur des phénomènes étranges en certains endroits. Tu avais été sceptique jusqu’à voir toi-même les limites de ce nouveau monde qui était le vôtre, jusqu’à voir toi-même la pluie de granite ou les baleines volantes. Autant les enfants pouvaient trouver ca merveilleux en ton cas tout n’était qu’intriguant avec un côté des plus malsains. Tu étais persuadé de n’avoir le bagage culturel concernant bien des phénomènes scientifiques là où tu n’avais fait la moindre année d’université mais tu ne voyais par exemple même à travers la science comment une baleine était apte à flotter. Tu étais malgré tout bien plus terrifié par les rumeurs sur la centrale électrique de par l’importance capitale du lieu et ce qu’elle pouvait représenter. La civilisation ne tenait qu’à un fil déjà bien malmené par l’environnement en lequel vous deviez maintenant évoluer, composer avec en plus la débilité profonde de la bande à Bones…

Tu broyais du noir alors que tu avais entrepris de retourner à la civilisation après une expédition tout sauf rentable en les bois. Une boussole en mains alors que tes deux cerbères t’accompagnaient comme à leur habitude. Sifflotant un petit air qui faisait rappeler une certaine musique country que Gaheris adorerait. Tu ne tardas à ouïr quelques bruits en la direction où tu te dirigeais, des sonorités qui ne correspondaient pas à une grosse silhouette, du moins tout sauf à un ours, une entité plus petite. Ce n’est qu’après avoir passé quelques arbres que tu entendis cette fois une petite voix s’élever. Un papa résonnant en cette parcelle de la forêt, tu ne tardas à tomber nez à nez avec une gamine, seule de surcroît à première vue même si le seul mot que tu avais entendu de sa part supposait le contraire.

« - Qu’est ce que tu fais ici toute seule ? »

Tu fis un petit tour sur toi-même afin d’observer les environs à la recherche d’une autre personne qui aurait pu t’échapper mais rien. Pas une seule personne, pas un quelconque bruit supplémentaire qui aurait pu appartenir à un autre individu. Tu remarquas bien rapidement que la petite avait en ses petits doigts quelques plantes ou plutôt des fleurs. Au moins il y avait un avantage à tomber sur une gamine, tu savais qu’elle ne pouvait appartenir aux pirates à moins que Bones se soit rabaissé à recruter des mangeurs de sucreries. Tant que ca avait pas l’âge de fumer de l’herbe ca devait pas l’intéresser.

« - Ton père n’est pas loin que tu l’as appelé ? »

Ca te dérangeait pas de devoir veiller sur elle le temps du retour de monsieur mais devoir toi-même la ramener quelque part ca c’était un peu plus dérangeant là où tu avais d’autres activités de prévues. Tu laissas tes deux chiennes se rapprocher de la petite fille, ces canidés ayant clairement compris qu’il ne s’agissait d’une menace, il n’y avait pas mieux qu’un animal pour calmer les anxiétés d’une petite.

« - Tu t’appelles comment d’ailleurs ? »

Autant savoir à quel surnom elle répondait car tu avais vraiment beau chercher tout autour de vous tu ne trouvais aucun autre être vivant que cela soit bipède ou non. Tes cabots n’ayant ressenti une toute autre odeur qui aurait pu être différente de celle de la gamine. C’était pas ouf tout ça te disais tu, si seulement les greens ou les chevaliers pouvaient parfois faire plus attention à leurs rejetons, quoi que elle pouvait être aussi une petite vagabonde mais cela était moins probable à tes yeux. Tu espérais au moins être tombé avec un de ces enfants qui n’est pas trop chiant car fallait pas se voiler là face, l’éducation c’était plus ça de nos jours… Allez avec un peu de chance tu allais juste à devoir la raccompagner et elle serait sage comme une image. Des fois on se disait bien qu’est ce qu’on avait pu faire au bon dieu…

Spoiler:
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Ven 22 Mai - 17:13




Des fleurs pour Pissenlit


Steel et moi, le 24 avril 2020




Cœur battant, sanglots sous les côtes, larmes au menton, elle inspire dans un reniflement inquiet. Elle balaye d'une main le trouble salin qui perle sous les yeux pour voir un peu plus clair ; elle découvre une silhouette imposante, beaucoup trop pour que ce soit celle de Papa. C’est juste un grand monsieur, avec deux chiens, grands eux aussi.

T-rex le regarde sans pouvoir vraiment le dévisager à cette distance, car les yeux font défaut, mais si les yeux sont défaillants les plisser corrige un peu l’handicap. Elle pince des paupières donc, quand il la questionne une première fois ; Que fait-elle ici ? Elle ne répond pas, arrondit le regard et la bouche, inspire un dernier sanglot d’enfant. Il a l’air d’un capitaine pirate avec sa barbe poivre-sel et son regard qui perce la peau et sa voix qui résonne dans un timbre si grave qu’elle ne se rappelait pas en avoir entendu comme ça déjà. Peut-être l’imagination travaille-t-elle déjà à amplifier ses caractéristiques, mais la petite fille se fige, perplexe et anxieuse. Elle l'imagine avec une jambe de bois et un crochet à la place de la main.

Et son père il est là ? Elle le cherche des yeux comme s’il allait apparaître de derrière un fourré, mais non. Non il n’est pas là. Elle serre le bouquet comme le trésor qu’il est, comme si les bêtes qui s’approchent pourtant avec douceur allaient s’en emparer. Elle a un peu peur au début, cette môme qui a pas l’habitude des animaux, et ça doit se lire sur son visage qu’elle est pas sereine et tendue comme un arc. Elle est bien incapable d’esquisser ne serait-ce qu’un geste alors elle attend, elle attend sans pouvoir observer, ferme les yeux lorsque les bêtes l’atteignent en prévision d’un choc qui n’arrive pas. La respiration reprend quand elle ouvre un oeil, plus l’autre, et elle sent les truffes fraîches qui relèvent les odeurs de sa peau à nu, elle sent la chaleur sous les pelages brillants, elle sent la langue humide qui témoigne la bienveillance. Elle finit par tendre une main timide, curieuse sous la terreur reptilienne, et s’apaise du malheur qui n’arrive pas.

“Non. Mon papa il est au parc.”
Mort dans le parc, enterré dans le parc. La conscience aiguë éclot sans crier gare et ne dure pas, ne s’ancre pas, elle est mécanique, elle est réflexe. La seconde d’après déjà, l’espoir se dissout dans une croyance erronée et macabre, témoin terrible du déni qui fait tenir debout : elle cherche de nouveau la silhouette familière dans les branchages, espère qu’il arrive pour la prendre sur son dos courir jusqu’au château.

Son nom à elle ? Elle se risque à une caresse sur la tête soyeuse d’un des animaux. S’ils calment un peu la peur, elle reste méfiante du charisme un peu effrayant qui émane chez ce grand monsieur qui ressemble à un capitaine pirate. Mais elle est un courageux chevalier, et les chevaliers ne ploient pas le genoux devant leurs ennemis. Elle inspire, cherche le courage. “Je m’appelle Charlie mais je suis le chevalier T-rex. T’as l’air d’un pirate. T’es un pirate ?” Elle le transperce d'un regard en coin, un air trop concerné peint sur le visage, grotesque chevalier du haut de ses jambes trop courtes.




Résumé:
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Lun 25 Mai - 3:14
Au début tu avais hésité à ordonner à tes deux chiennes de revenir à tes côtés voyant la petite inconfortable. Il lui fallut un temps d’adaptation normal là où son état devait l’empêcher d’apprécier la situation normalement. Pour toi c’était facile de voir quand un canidé comptait faire de vous son petit quatre heure, les babines retroussées pour montrer les dents, les grognements. Tu dissimulas donc ta réaction à la première prise de parole de la gamine, son père au parc ? Tu connaissais Arcadia Bay relativement bien et le fait d’énoncer ceci te troublait un peu. Si elle l’avait appelé plus tôt et qu’elle venait de te répondre ça il y avait un petit, non un gros problème. Un enfant ca n’avait pas la même façon de décrire certaines choses qu’un adulte et ce jours de paroles pour toi ca te rappelait des troubles, un important décalage entre la réalité actuelle et ce que le bambin racontait. Ca devait pas aller fort pour elle, encore moins que tu le pensais même si elle ne tarda à se montrer incisive à sa façon. Tu soufflas du nez pour à la fois exprimer un amusement et un profond ennui concernant sa présentation et le fait qu’elle te colle l’étiquette de pirate.

Tu te demandais parfois si les pirates avaient le monopole du corps d’armoire à glace même si en réalité ils étaient plutôt dans la catégorie bambou ou coton tige pour certains… Tu te mis dès lors à sa hauteur pour lui répondre afin qu’elle puisse avoir un tant soit peu confiance en toi.

« - Non je suis Bruce mais on m’appelle Steel, je bosse avec George et les autres commerçants en ville. »

Passant une main dans les poils d’un de tes animaux de compagnie, le gratifiant d’une petite caresse. Tu reportas ton attention vers celle qui se dénommait T-Rex, un peu curieux intérieurement de savoir le pourquoi du comment concernant son surnom.

« - Tu peux les caresser, elles ne mordent que les pirates. »

Tu tendis une de tes mains en direction de Charlie afin qu’elle la prenne, autant établir un lieu de confiance. Tu ne pouvais pas la laisser ici, autant un pirate au mieux tu l’aurais ramené pour qui sait le jeter dans une cave en garde à vue si tu avais connaissance de ses bêtises. Elle, tu comptais la ramener à Blackwell le plus rapidement possible alors que les adultes devaient se faire un sang d’encre de par son absence. Cela pouvait être une bonne occasion de voir certaines personnes, ton coéquipier flic crédule ou alors Arthur que tu avais aidé les premiers jours après la tempête. Vous aviez continué à entretenir des liens amicaux et à vous serrer les coudes, tout particulièrement par rapport à la peste de Bones.

« - Je suis aussi un ami d’Arthur et tes amis doivent se faire un sang d’encre de par savoir où tu es, tu veux bien me suivre ? Je vais te ramener au château. »

Bon à vrai dire elle n’avait pas vraiment le choix la petite, qu’elle te dise oui ou non tu comptais la ramener. Tu pouvais pas la laisser ici même si tu avais pas envie de traîner un sac à patate pleureur… Car bon les mioches des fois ca réagissait bizarrement et c’était pas aussi prévisible qu’un adolescent sur quelques points. L’adolescent son seul objectif c’est de casser les couilles à un adulte alors qu’un gamin c’est tantôt de la discipline tantôt l’incarnation du chaos sur pattes. Il était bon de noté que tu avais soigneusement évité le sujet de son père, on allait pas remuer le couteau dans la plaie sur un sujet qui paressait étrange, c’est pas très clair tout ça donc autant l’éviter et demander des réponses plus tard à un des baby-sitters des chevaliers.

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Sam 27 Juin - 22:01




Des fleurs pour Pissenlit


Steel et moi, le 24 avril 2020




Le regard s’adoucit, le corps aussi, signe que la réponse qui lui est faite la satisfait. Elle note dans sa tête : Bruce l’ami de George. “George c’est le facteur ?” les lèvres se meuvent synchrones avec la pensée qui les anime. La question en suspend, sans qu’elle soit véritablement importante, la petite fille reporte son attention sur les deux chiens près d’elle, elle écoute les explications, intègre les informations ; “C’est des filles ?” timbre crédule un peu étrange avant de remettre les pieds sur terre. “Elles s’appellent comment ?” La voix redescend en même temps que le regard vers les fourrures douillettes tandis qu’elle tend une main peu hésitante à leur encontre. Elle oublie d’attendre une réponse et glousse au contact agréable des poils contre sa paume libre qui décrit de gentils va-et-vient sur l’une des deux bêtes.

Le manège dure une minute ou deux et T-rex oublierait presque sa quête originelle si le bouquet de fleurs ne pesait pas sur son bras libre. Puis elle remarque la main tendue à son encontre, comme tant d’autres mains d’adultes depuis la tempête, sortes d’ancres sûres dans ce nouveau monde. Elle regarde Bruce, la tête légèrement penchée sur le côté, dans l’attente d’une parole à joindre au geste.

A l’évocation d’Arthur, la parole attendue devient argent comptant et la méfiance s’évanouit complètement, ou presque. Nouvelles règles ici bas, nouveaux standards, elle se rapproche, docile en apparence. “Ok, si tu veux. Je dois donner les fleurs à mon amie Pissenlit de toute façon.” C’était vrai, alors autant faire la route avec un nouvel ami à qui raconter des histoires fabuleuses de fée dans le lac, d’épée enchantée, ou juste pour l’entretenir sur les habitudes alimentaires de ses dinosaures préférés... “Et j’ai jamais eu de chien moi, mais j’ai mon dinosaure et il s’appelle Alcide et lui aussi je lui apprends à mordre que les pirates.” A peine ont-ils eut le temps d’esquisser trois pas qu’elle reprend de plus belle, comme elle sait le faire de manière si… caractéristique. “T’aime bien les dinosaures ? Je l’ai pas emmené avec moi sinon je te l’aurai montré, il court super vite.” Brève pause pour que la pensée rattrape la parole et qu’elle reprenne son souffle. “Enfin pour un brachiosaure. Si j’avais un vélociraptor c’est sûr qu’il irait encore plus vite !” Elle agite vaguement son autre bras maintenu en écharpe pour illustrer son propos et l’extase intellectuelle qu’il semble générer chez elle, sans un regard pour le chemin emprunté, bien décidée à seulement se laisser guider par la grand main qui enveloppe la sienne - et par l’adulte au bout de celui-ci.




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