Hester • Oc Sas Milledge / Blue Sargent • The raven boys
Mandrille
Mar 9 Juin - 20:50
Ça part en sucette !
Quand on s'appelle Mandrille et qu'on se revendique comme "lesbienne de l'apocalypse badass", il y a finalement peu de choses qui nous font faillir. D'abord : les souvenirs et la nostalgie, celle d'avoir un père en vie, notamment. Ensuite une donzelle pas trop mal et une envie de s'envoyer en l'air. Et enfin, il y a le secret. Secret car à part papa, personne n'est au courant. C'est pourtant pas un secret super honteux et inavouable, c'est même beaucoup plus facile à assumer qu'une attirance pour le même sexe. Le truc en fait... C'est que c'est une faiblesse.
Et que ça, dans le tableau de femme forte et badass qu'affiche Jude : ça fait tâche.
Hypoglycémie, le mot fait peur en vrai. C'est pourtant assez banal, et au final, peu dangereux. Pas hyper pratique en cas d'apocalypse, certes. Parce-qu'en terme de bouffe, on fait pas la fine bouche et on prend ce qu'on a... Et faut avouer que dans sa position actuelle, Mandrille, se voit mal débarquer chez ses potos les greens et réclamer des féculents.
Alors, elle improvise, se débrouille. C'est pas comme si elle avait vraiment besoin des autres, de toute façon. C'est sans doute sa cinquième virée hors des murs depuis qu'elle a rejoint les géants verts, et la seconde fois qu'elle s'aventure dans ce supermarché décrépi. C'est lugubre - même pour faire de l'urbex. Vitres brisées, magasins pillés et c'est elle où c'est clairement des traces de caca dans ce coin, là ?
Jude retint un haut de coeur, elle jeta un coup d'oeil à Unnuaq, sa corneille apprivoisée qui voletait au dessus d'elle, lorgnant le sol à la recherche de mulots suicidaire. C'était toujours pratique d'emmener le piaf en virée avec elle, il la prévenait au cas de présence indésirée ou de pirates tellement courageux qui l'attaquerait pas derrière. Soudainement, elle s'arrête, l'oeil attiré par un bâtiment arc-en-ciel.
-Bingo se félicite t'elle.
Face à elle : une confiserie, ou plutôt ce qu'il en reste. La face rose bonbon est recouverte de dessins aux couleurs qui font mal aux yeux. La devanture est brisée bien entendu et un message écrit à ce que Jude espère être du ketchup suggère aux visiteurs d'aller se faire... ahum. Sympathique, et salutaire. Le truc bien avec les pilleurs, c'est qu'il sont souvent trop idiots pour faire finir correctement le travail... Alors Jude pénètre la confiserie, à défaut d'obéir aux messages aux lettres rouges.
L'intérieur est relativement sombre, et des crottes de rats recouvrent le sol : preuve ultime que ces satanés rongeurs l'ont pas attendu pour croquer du bonbec. Qu'a cela ne tienne, Jude vise les étagères les plus hautes (il serait con de s'intoxiquer en bouffant un crocodile aspergé de pisse de rat) et en sort quelques confiseries intact. Un petit rire éclate au fond de sa gorge. Des langues de chats, des boules à gommes et mêmes quelques-sucettes.... C'est le jackpot là. Elle enfourne le tout dans son sac avant d'entamer la suite de son exploration de la caverne aux merveilles.
Mais un croassement l'arrête, hérisse les poils sur son dos. Unnuaq. Et son ramage est équivoque : quelqu'un approche.
... Ou plutôt est déjà là - merci maudit piaf - alors que Jude se retourne, une silhouette bariolée pénètre la confiserie. Et la métisse, dépose sa main sur le couteau pendant à sa ceinture. Elle gorgne et sans attendre de signaux de l'autre, menaces :
-Toi, je sens que tu va me casser les bonbons.
RÉSUMÉ:
Mandrille cherche de la bouffe, pour contrer son hypoglicémie. Elle rentre dans une confiserie et prend ce qui est en état. Sa corneille l'avertit que quelqu'un est là, elle se retourne au moment où lolilopp entre elle la "menace"
Lollipop
no thoughts head empty
Éclaireur pas vraiment éclairé
Ramuda Amemura || Hypnosis Mic
Lollipop
Lun 15 Juin - 3:05
ÇA PART EN SUCETTE
et autres gourmandises
Chloe Moriondo - Lollipop
C'est un jour de plus dans les décombres. Un jour de plus à tenter de survivre depuis la catastrophe, même si on survit plus qu'autre chose. Ca ne fait pas si longtemps, mais on s'organise déjà. Berryl se promène, ça et là, à la recherche de boutiques intéressantes qui seraient encore debout, et qu'il pourrait tranquillement piller. Il entre, sort, les poches pleines parfois, les mains vides à d'autres moments. Il prend son temps. Car son véritable objectif se trouve au bout de l'allée de commerces. Dans le fond, tout là-bas, il y a cette petite boutique de sucreries dans laquelle il a passé le plus clair de son enfance à voler tout ce qu'il pouvait y prendre. Et lorsqu'au bout d'une demi-heure de fouilles - pas si acharnées que ça - il parvient enfin à l'entrée de la confiserie, c'est d'un air triomphant qu'il sourit. Malgré le premier abord peu - pas du tout - accueillant de la façade, il y entre l'air de rien, sa batte à la main et son Patate bien rangé dans sa capuche de sweat. Il y fait sombre, à l'intérieur. Pas assez pour réellement mettre Beryll mal à l'aise, mais assez pour déranger sa vue déjà peu arrangeante en temps normal. C'est qu'il met quelques secondes pour s'habituer à la semi-pénombre ambiante, et quelques unes de plus pour décoder ce qui l'entoure. Dans la pièce, pas grand chose n'a changé. Quelques étagères sont saccagées, le bureau de la caisse est cassé, l'endroit est plutôt sale et poussiéreux. Mais au centre, quelque chose fait tâche. Une silhouette féminine à l'air hippie se dresse devant lui, cherche sur les étagères, se retourne en entendant le cri d'un oiseau. Elle le remarque et, immédiatement sur la défensive, le menace. Lui il sourit, l'air amusé. A tous les coups, c'est une verte, la demoiselle. Ils sont marrants, les verts. Lollipop aime bien les tourmenter. Mais la jeune femme a l'air d'avoir de la ressource, et c'est ça qui le fait sourire. Le pirate la dévisage quelques secondes en riant, durant lesquels Patate ne bouge pas d'un pouce. Synonyme d'appréciation de la part de l'écureuil. De tolérance, plutôt. Et Beryll est de bonne humeur. Alors il prend le luxe de se laisser le choix. Il avance tranquillement, l'air de rien, tout en gardant une distance de sécurité avec l'inconnue.
"Jolie réaction."
Et il sourit.
"Ecoute mademoiselle, on peut faire ça de deux façons. Soit tu la joues chill, técartes la main de ton couteau et on se partage ce qu'il y a ici..." il fait tourner sa batte pour mieux la poser sur son épaule "... soit tu sors ton arme et on se tape dessus. Mais j'te préviens, je vais pas me retenir, et faut t'attendre à finir salement amochée."
Non pas qu'il ait envie de taper sur une jolie demoiselle pour lui déformer le visage. Mais il préfère la prévenir ; si elle a du cran jusqu'au bout, il se battra comme il aime se battre. Si elle se rétracte, ce sera sans doute signe d'intelligence et il accordera à Patate le bénéfice du doute. C'est un peu une façon de manifester sa bonne humeur, que de lui dire tout ça. Il s'éloigne un peu plus d'elle pour s'approcher d'une étagère, et attrape une sucette repérée en un coup d’œil - demandez à un fumeur de reconnaître des clopes dans la pénombre - pour la déballer et la glisser dans sa bouche, avant de recentrer son attention sur la jeune femme.
"Tu préfères quoi ?"
résumé:
- Lolli dépouille une par une les boutiques pour y récupérer les trucs sucrés - Il finit par arriver à la confiserie, remarque Mandrille - Remarque aussi que Patate réagit pas agressivement, ce qui veut dire que c'est pas une connasse théoriquement - Et puis il est de bonne humeur, donc il lui dit "ok sis, soit on partage soit on s'tape dessus, tu préfère quoi ?" - Pardon pour la musique et le manque évident de sérieux de cette réponse t'as le droit de marave Lolli
Hester • Oc Sas Milledge / Blue Sargent • The raven boys
Mandrille
Sam 24 Oct - 12:10
Ça part en sucette !
On dit qu'un animal, aussi sauvage, soit-il préviendra toujours avant de mordre. Et à juger par la position sans équivoque de la green : ses crocs sont prêt à se planter. Dans des confiseries ou de la chair humaine. Que lui importe au fond, si elle se doit se battre pour quelques-langues de chats... On parle ici de survie.
Alors de ses deux yeux tonnerres, Jude lorgne sur son adversaire. Ok, Nutty. Clairement l'autre aime la couleur, il l'affiche même. On est ce que l'on mange, hein ? Celui-ci est amateur de sucreries... Taille peu imposante au demeurant, mais musculature présente. Les papillons les plus colorés sont les plus dangereux à s'y méprendre. L'altitude moqueuse et fière de l'autre ne fait aucun doute sur sa pleine confiance, et il est difficile d'y déceler du bluff ou une réelle menace. Ça l'insupporte ça, Jude. Que le papillon essaye de la tromper, de la manipuler au détriment d'une réelle honnêteté : est t'il vraiment un adversaire à sa taille ?
Q'importe, au fond parce que les singes sont eux, connus pour les bouffer... Les papillons.
Alors fidèle à son surnom, elle grogne. Montre les crocs. Envoi de phéromones indicatifs : son territoire. Ses bonbecs. Casses toi ou je te casses.
-J'ai une autre proposition, Rainbow Dash qu'elle balance en sortant son couteau et en jouant avec, imitant la désinvolture de son adversaire. Tu traces ta route.
Le jeu ne dure pas, et bientôt le couteau prend une position des plus équivoque. Défense. Le corps de l'inuit se tend, se tord et bientôt son regard se durcit. Prête à bondir, à esquiver, à frapper. Prudente malgré tout. La batte du papillon lui offre une hitbox plus importante, mais Jude a confiance. Son agilité et sa force lui suffisent - et elle a spécialement choisi sa robe pour qu'elle se déchire en cas de mouvement brusque - aucun risque d'être gênée. Son regard s'attarde un instant sur l'autre, sucette en bouche. Elle voudrait lui sauter dessus, maintenant, sans crier garde - et lui arracher la sucette d'un bon coup de couteau dans la langue. Mais ce serait imprudent. Et glauque. Un bruit d'aile caractéristique attire son attention : son piaf est descendu, et regardes surement la scène d'un oeil curieux.
Là, où celui de Mandrille ne transmet qu'un seul message : décales, chacal.
À se demander qui est vraiment l'animal.
RÉSUMÉ:
Mandrille est clairement pas coopérative elle propose à Lollipop de se casser et se met en position de défense, équivoque
Quelle adorable journée. Les rayons de soleil brillent, les bonbons pleuvent - pas tant que ça - et on peut même rencontrer quelqu'un avec du répondant au détour d'une étagère. Que demander de plus ? Il rigole de plus belle, le sale gosse, en la voyant jouer au même jeu que lui le temps d'une phrase. Sa bonne humeur grandit, s'étale, engloutit la pièce, rebondit contre les murs pour se heurter au sérieux du camp adversaire. Frigorifiant. Pourtant, la jeune femme aborde une tenue aux vibes sympathiques. Trompeusement sympathiques. Ou bien se méfie-t-elle de tous ceux qu'elle rencontre ? Compréhensible vu la situation, mais terriblement anti-fun. Pour autant, Patate, toujours caché dans son cou, ne hérisse pas le poil à la vue du couteau menaçant. Il semble au contraire curieux, et s'agite un peu quand l'oiseau de la demoiselle s'approche de la scène. Lollipop doit bien avouer qu'il ne se sent pas vraiment en danger de mort non plus, mais c'est inhabituel pour l'écureuil de ne pas celui des deux qui se méfie. En canon, les deux énergumènes scrutent la pièce, analysent le décor. C'est une petite pièce, sombre qui plus est. Ça n'est pas à l'avantage du pirate. Mais en face, elle n'en sait rien. Et elle a moins d'allonge, moins de carure. Ça, c'est un bonus pour lui. S'il parvient à éviter la lame, il peut s'en sortir assez facilement.
"T'as du cran, c'est giga fun ! Mais y'a un hic, tu vois..."
Son rire s'éteint partiellement pour laisser place à une moue attristée quand il lève son regard pour la fixer dans les yeux - jolis yeux.
"...C'est que j'ai pas du tout l'intention de m'tirer d'ici."
Et il amorce, sans prévenir, un coup de batte en fer vers l'un des bras de la jeune femme. Celui qui tient fermemant le couteau, bien évidemment, car si elle perd son arme, elle perd à peu près tout ce pourquoi elle est venue. Tout se passe vite. Il est rapide, le sale gosse. L'arme s'apprête à atteindre sa cible, il jubile en pensant la surprendre, mais là, c'est le drame.
"AÏE !! PATATE, TU FOUS QUOI-"
Il cri. La sale bestiole qui lui tient compagnie vient de lui mordre l'oreille au sang, lui faisant louper son coup. Le bout de la batte parvient tout de même in extremis à s'écraser dans la cuisse de son adversaire pour la déséquilibrer, mais il n'a pas le temps de s'en occuper car l'écureuil s'acharne à le tourner en ridicule. Il se tord pour tenter de l'attraper, en vain, ouvrant des brèches ça et là dans sa garde, jusqu'à se prendre un coup fatidique. La brulûre de la lame contre sa peau le ramène à son vrai problème - une nana sans doute aussi cinglée que lui, sans doute en soif de revanche pour le coup mal placé qu'il a osé lui asséner - et il bondit instinctivement en arrière, retrouvant un brin de sérieux.
"Putain."
D'un mouvement vif, il attrape le petit animal sur son épaule et le pose sur le sol, séparant équitablement son attention entre celui-ci et la louve qui grogne à quelques mètres.
"Bon maintenant ça suffit, ok ? C'est quoi ton problème ?"
résumé:
- Bon concrètement il se dit qu'elle a l'air cool mais il la prend vrmt pas au sérieux pardon il a aucun respect - Il amorce un coup pour la taper dans son bras dominant mais se fait mordre par écureuil pas content qu'on attaque è_é alors il loupe son coup - J'ai assumé qu'il arrivait tt de même à la toucher à la cuisse donc elle risque de douiller un peu pardon, et j'ai assumé qu'elle arrivait à le scalp vite fait pour rééquilibrer le match genre 1 partout mais j'ai pas précisé où comment je te laisse carte blanche (hésite pas à le taillader au visage ça va le calmer il fait trop le malin) - Il fait un bond en arrière genre TIMEOUT pour choper Patate et le poser à coté de lui et l'engueuler - pardon pour le temps de réponse et mon incapacité à avoir un brin de sérieux quand je rp avec Lolli
Hester • Oc Sas Milledge / Blue Sargent • The raven boys
Mandrille
Mar 23 Mar - 13:15
Ça part en sucette !
Ça en serait presque pathétique.
Cette comédie qui n'a rien de divine de deux gamins qui essayent de faire les grands. L'autre ricane, semblant prendre son pied, là où il devrait prendre ses jambes à son cou. Quel taré. Et elle se demande un instant si il est produit ou cause de ce monde qui n'est plus sien. Elle n'en a pas grand chose à faire pourtant, car l'inuit comme son adversaire tient son rôle : elle en oublie la menace de la batte, pour tenir fermement ses positions. Pas peur. Et elle sait bien qu'elle n'aura qu'un coup face au frappé de l'autre. Qu'une chance de survie, face à la violence du monde. L'instinct. Le réflexe. La survie. C'est bien là tout ce qui lui reste. Rien de bien transcendant.
Mais il faut le savoir, même elle, manquera cruellement de réflexe dans les pires situations.
Et voilà déjà l'arme du papillon qui s'abat, sur elle. Elle lève le bras dans un réflexe idiot : l'offrant à la charpie sucrée qui s'annonce dans cette petite confiserie. Et tout va trop vite. Son esprit pourtant aiguisé ne distingue pas ce qui gêne son adversaire et elle n'aura le temps de se poser la question alors que la batte frappe lourdement sa cuisse.
Shit.
La douleur caractéristique ne fait aucun doute, et un hurlement terrible s'échappe de sa gorge, alors que son appui gauche vacille. Elle enrage alors que l'autre semble en proie à un duel avec une ombre qu'elle ne distingue toujours pas. Elle hésite un instant à se jeter dans la mêlée : trop d'inconnues. La bestiole. Sa propre mobilité réduite. Et l'autre... Cet anonyme aux couleurs chatoyantes et à l'aura menaçante. Mais la batte continue de s'agiter dans un bordel sans nom, frappant des ennemis imaginaires. Pas question qu'elle ne soit un dommage collatéral dans une bataille chimérique.
À de rares occasions, pour maitriser l'inconnu, il faut s'y plonger aurait dit son paternel.
Alors, elle active son mode bersek et fonce dans le tas. Ses années de boxe résonnent en écho avec son corps qui esquive les coups de battes maladroits, là où sa propre gauche traîne, elle fait appel à la droite et fouette l'air de sa lame argentée. Et le contact de la chair l'enchanterait presque, alors qu'elle taillade la joue du papillon. Rien de bien profond : une égratignure de deux centimètres au maximum. Mais cela suffit à faire reculer l'autre d'un bond, se séparant de son agresseur : un simple écureuil à l'air malin.
Comme si il croyait à l'arche de Noé, voilà Unnuaq qui descendait de son perchoir en croissant et en se posant sur l'épaule de la jeune fille. Cette dernière n'y fait point attention, et continuait de fixer l'ennemi comme l'aurait fait un animal sauvage apeuré : en se rendant bien plus gros et menaçant que ce qu'il n'était vraiment.
- Bon maintenant ça suffit, ok ? C'est quoi ton problème ? s'exclame le papillon
Jude grogne face à l'intercade, mais son couteau s'abaisse soudainement. Comme si elle savait que chacun avait montré ce dont, il était capable et qu'était venu le temps de la négociation. On mord, puis on grogne.
- À toi de me le dire, Lady Rainicorn... Tu as essayé de me casser le bras. dit en s'abstenant de préciser qu'il avait réussi à briser sa cuisse, pas question de lui laisser penser qu'il avait l'ascendant. J'ai besoin de ses bonbecs, je les laisserais pas à un dégénéré comme toi.
Et Jude soutient le regard du papillon, montrant qu'elle n'était point prête à lui laisser du terrain. Situation inextricable. Bon courage pour la négoce.
-Premier arrivé, premier servi. grince t'elle des dents.
RÉSUMÉ:
Lolli arrive à pêter la cuisse de mandrille mais elle lui taillade la joue un peu, cheh elle blablate ensuite viteuf avec lui, lui faisant comprendre qu'elle abandonnera pas entre temps sa corneille vint se déposer sur son épaule
ça va le calmer il fait trop le malin)
