i HATE this town ღ

ellie primrose

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ღ tsundere en puissance - ça devrait laver sa bouche avec du savon ou y remuer au moins sept fois sa langue dedans. ça parle trop mal à se croire au quartier mais promis promis elle peut être sympa une fois qu'on la connais derrière ses regards froids.

ღ intelligente et débrouillarde, la précarité et le manque de confort c'est clairement le cadet de ses soucis, elle a longtemps su se débrouiller seule après le désastre et son instinct de survie est très certainement plus fort que tout - ironiquement.

ღ bilingue, elle parle l'anglais et le sarcasme.

ღ avec elle qui aime bien châtie bien.

ღ trouves des belles choses même dans les plus laides.

ღ pourtant elle ne trouve rien chez-elle alors qu'elle-même se trouve particulièrement laide.

ღ son sens moral reste assez paradoxal, puisqu'elle oscille entre les Pirates et les Greens.

ღ femme forte qui hésite pas à se battre si on vient lui casser la tête, sans manière, elle est prête à soulever vos daronnes du haut de ses un mètre soixante-cinq.

ღ essaie de ne pas se soucier des autres ni de s'attacher.
résultat : c'est un échec total.

bienvenue chez les clowns.

ღ Tu habites à Arcadia Bay ou tu étais juste de passage ? on y est même née donc littéralement notre terter avec ou sans barrière on a jamais rien vu en dehors des murs de la ville parce que les voyages scolaires ça coûtais bien trop cher

ღ Tu faisais quoi avant la tempête ? lycéenne lambda la nobody et celle qui se faisait bully parce que jalousie

ღ Quels dégâts a-t-elle fait dans ta vie ? tempête ou pas on a déjà des blessures par contre les parents on en a jamais trouvé aucun signe

ღ Que faisais-tu lorsque la Tempête a frappé ? entrain de faire vos burgers dans un dîner pour gagner un peu de blé parce que pour faire genre on est friquée derrière l'écran de notre dernier iphone faut bien travailler en soumsoum

ღ Tu quitterais tout pour retrouver ta vie d'avant ? [  ] OUI   [X] NON

ღ Pourquoi et comment as-tu rejoint les Pirates ? parce qu'on a rien à perdre, parce qu'on sait pas bien faire et parce qu'on veut appartenir à quelque chose qui existe vraiment - et parce que la discorde à des airs de revanches sur une vie que l'on a pas choisie. il serait mentir que de dire qu'on se nourrit du chaos - ok les emos - mais c'est très certainement le groupe qui se rapproche le plus de sa façon de fonctionner. on s'est jetée dans le jeu de la course aux méfaits avant même d'avoir décidé de les rejoindre et petit à petit on a su trouver des relations pour s'y intégrer.

ღ De quelles activités es-tu en charge ? on se croit bonne à rien mais la gestions des stocks on peut au moins le faire. autrement notre temps libre on le passe à piller ce qu'on peut trouver et casser à la batte un maximum de choses.

ღ Comment se passe ton intégration au sein du groupe ? pas facile, parce qu'on a pas l'avidité des autres à foutre le zbeul et qu'on a eu du mal à trouver une utilité au groupe - on va dire que ça s'est fait tout en douceur.

ღ Que penses-tu des autres groupes qui s'organisent ?

greens ღ la bien-pensance incarnée - réparer, reconstruire, pour faire bien, pour faire mieux. en vérité on a rien contre eux, on aurait même pu les rejoindre et suivre leurs idéaux. malheureusement, on juge pas soi-même avoir droit à tout ça, à rejoindre une cause aussi juste que la leur ; les traces du passé indélébiles, on veut peut-être injustement faire souffrir autant qu'on a souffert, on s'est peut-être un peu trop réjouie de l'événement pour, honnêtement, se parer de vert.

knights ღ des idiots pas bien méchants, les simps, les gentils - tout ce a quoi on a envie de rouler des yeux, souffler, soupirer - ils ont au moins le mérite d'être facile à tromper ; on pourrait presque les apprécier malgré leurs excentricités.

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Génération Z full puissance - Ok Boomer quand ça l'intéressait plus - ça scrollait sur TikTok jusqu'a 4h du mat tout en se plaignant de sa vie sur Twitter - en vrai au bahut elle avait peut-être pas de pote mais sur insta elle était suivie par plus de gens que tu ne pourrais croiser dans la rue - on lui parle pas parce que bully rime avec jalousie.

Des grandes stories pour dire au monde de s'aimer quand au fond du lit ça retrace les lignes des cicatrices de la veille - trop peu au poignet surtout sur les cuisses, c'est plus facile à cacher une fois habillée ; parents toxiques qui répètent et bourre le crâne d'inepties comme les kilos en trop, l'inertie et la bêtise d'une ado.

Aujourd'hui pourtant, on a dix-huit ans, dans le monde des grands on y cherche sa place, une assez grande pour y contenir tout ce que tu es, tout ce que tu hais.