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Le bulldozer de la nature ft. Twizzlers

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Mar 22 Sep - 13:14

Le bulldozer de la nature ft. Twizzlers Um0k

Le bulldozer de la nature

Feat Twizzlers


Un sourire illumine ton visage tandis que tu fixes Twizzlers, une lueur de légère folie traversant tes pupilles sombres. Si on ne te connaissait pas aussi bien, on aurait pu croire que tu te tiens prêt à lâcher une idée horrible qui retournerait ciel et mer, dévastant les nombreux camps qui décorent Arcadia Bay. Mais en vérité, il n’y a rien de tout cela… Pourquoi ?

Parce que tu n’es même pas capable de faire de mal à une fleur

… Parce que tu veux montrer à ton ami Pirate, l’une des nombreuses merveilles que Mère Nature a à offrir. Il n’est clairement pas prêt à découvrir ce qu’il attend… Un magnifique Rougegorge que l’on ne trouve qu’en Amérique, qui a trouvé en la tempête, une nouvelle chance de survie pour toute son espèce. C’est d’ailleurs le même combat pour tous les êtres-vivants, qu’ils soient mammifères, reptiles, amphibiens, insectes, ou encore végétaux. Et l’on inclut bien sûr les humains dans le lot qui eux aussi, sont des animaux et sont forcés à réapprendre à vivre comme leurs ancêtres, à la Préhistoire.

Et toi, mon petit Neoephe tu jubiles comme jamais tu n’as jubilé de toute ta piètre existence. Toi, l’ancien SDF qui trainait dans les rues et dont le problème principal était de parvenir à poser ta tente au milieu du parc sans que les flics ne viennent te battre avec leurs matraques… Toi qui rêvait d’un monde où la nature reprendrait enfin ses droits et où l’homme serait enfin obligé de vivre en harmonie avec elle, et de la respecter parce qu’après tout… c’est et cela restera sa maison. Et on ne brûle pas sa maison, hein ?!

Comme tu as faillis le faire avec ta tente, un jour ? A cause d’une cigarette mal éteinte ?

Tu ne peux réprimer un ricanement tandis que tu observes ton ami qui te regarde en te demandant ce que tu peux bien lui vouloir. Cette fois, ce n’est pas pour se mettre une murge, comme à l’accoutumée, que tu es venu le trouver. C’est pour lui montrer autre chose.

-Twizz, Twizz… Tu vis ici, entouré de la nature, sans même te demander ce qui peut bien vivre au milieu des arbres. Et bien aujourd’hui, je vais te le montrer !

Tu t’exclames. Bien sûr, tu laisses apparaître toute ta joie quand Twizzlers accepte de te suivre, curieux de découvrir ce dont il ne soupçonne pas l’existence. Aussi guilleret qu’Actéon, tu emmènes le Pirate jusque dans la forêt.

-Je vais essayer de te trouver un Rougegorge d’Oklahoma ! Mais il faut d’abord s’enfoncer un peu plus dans la forêt pour réussir à en trouver un, ou un nid ! En attendant, regarde ces plantes !

Tu montres quelques végétaux qui se sont remis à pousser après la tempête, persuadé que Twizz te suit, tandis que tu t’enfonces à travers les arbres. Et puis, au bout de quelques minutes, tu te redresses, remarquant que le Pirate n’est plus derrière toi.

Bravo m Tu as réussi à le perdre, avec du bol, il est tombé dans un piège à loup et succombe de ses blessures !

-… Twizz ?!!!
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Résumé ::
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Lun 28 Sep - 1:17
Sur la terre nueIl aurait pu te dire, il aurait pu te le dire si fort tu sais Neoephe, que ton monde ne lui correspond pas. Qu’aucun monde ne lui correspond jamais, jamais vraiment. Et il aurait pu te le dire, te dire qu’il ne te comprend pas, que toutes tes idées, toutes tes élucubrations lui passent au dessus, qu’il en a un peu rien à foutre de ce que tu lui racontes, que la dernière espèce de fougère que tu as découvert ne lui arrache même pas un frisson. Mais il a regardé tes yeux et il a vu l’étendue de ce qu’on lui refusait, il a vu l’immensité de la passion qui t’anime et qui lui est tellement étrangère qu’elle en paraît irrespirable. Alors il te dit rien, il se contente de te suivre jusqu’où tu voudras aller, il pourrait te suivre partout, c’est pas spécialement qu’il te fait confiance, c’est pas spécialement qu’il a hâte de découvrir l’oiseau machin-truc que tu veux lui présenter, c’est plus parce qu’il prend la distraction là où elle est, et que ça le rafraîchis, Twizzlers, de te voir si enjoué pour une chose si petite, il se sent défroissé de lassitude, détendu de plénitude. Le sourire de coin s’arrache de son visage auréolé, la lumière du jour tombe sur lui sans percer la nuit dans ses yeux et le grondement du rire bas et grave qui meurt dans sa gorge roule sur tes paroles, qui tombent juste.


« La dernière fois que j’ai voulu vérifier ce qui vivait derrière les arbres, je suis tombé sur un mec le pantalon aux chevilles. » Il échange avec toi un regard amusé, anticipant ton outrage et le provoquant peut-être un peu. « Il arrosait les plantes à sa manière, si tu vois ce que je veux dire. »


Tu la vois peut-être, Neoephe, la distance qu’il met entre toi et lui, entre lui et le reste du monde, entre lui et la Terre. Parce qu’il n’y a rien à aimer, il n’y a rien à voir qui ait de l’intérêt, il n’y a plus rien qui en vaille vraiment la peine, s’il y en a eu un jour. Et pourtant il la sent jaillir de toi, bouillonner à la surface, cette énergie qui te rend si toi, qui t’appartient tellement qu’elle en devient une partie de toi reconnaissable de tous, reconnaissable pour lui, entre mille. Et comme d’habitude avec toi, il n’arrive pas à empêcher cette énergie de s’infiltrer, de le contaminer, de le rendre vivant, enfin. Alors dans la forêt, dans cet endroit qui semble à toi, il t’écoute et il te suit, mains dans les poches, grimace aux lèvres lorsque sous ses semelles de garçon de la ville s’écrasent les fleurs que tu aimes tant. Et pourtant il ne fait pas exprès, c’est juste qu’il ne sait pas prendre soin des choses, qu’il ne sait pas voir ce qui est important. Enfant de la ville, être de béton concret et immuable il reste imperméable à la beauté des choses qui l’entourent si tant est que c’est trop vert.


« C’est quoi un rouge- un oiseau ? Neo il y en a plein en ville des oiseaux. »


Mais tu vas trop vite pour lui, tu le noies dans tes paroles qu’il boit à la source, qu’il écoute dans un sourire qui ne bouge pas, mais tu connais trop bien ton chemin pour penser un seul instant que Twizzlers, lui, ne connaît pas cet endroit, pas bien en tout cas, et qu’il a pris le mauvais chemin. Parce que Twizzlers c’est ça aussi, l’imprévisibilité du spontané, oh il t’écoute, il te voit et il t’entend, il écrase de ses gros souliers les restes délicats d’une nature qui reprend ses droits. Il ne fait pas attention au nombre de pousses qu’il bouscule sans s’excuser, lui l’être délicat ne fait pourtant pas dans la délicatesse, il s’enfonce entre les arbres en rangs serrés tandis que ta voix se fait lointaine, il ne t’a pas oublié, tu es simplement passé au second plan de son intérêt devant la lumière qui filtre à travers les feuilles et surtout, surtout les piaillements incessants qui semblent tourner, tourner autour d’un même point, dans un arbre là-haut.

Il n’a pas plus remarqué que toi qu’il s’était éloigné assez pour que vous soyez séparés, le citadin laisse la place à l’aventurier et son sourire s’élargit quand il aperçoit justement ce sur quoi tu mettais des mots qui tombaient dans l’oreille d’un sourd, là-haut, il y a un nid, et dessous, il y a Twizzlers.
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Lun 2 Nov - 0:31
Le bulldozer de la nature
-Oui, c’est assez fréquent ça… Ca arrivait déjà en ville. Mais bon, l’urine est un bon engrais, à condition que l’on en abuse pas !

Tu dis sans même regarder Twizzlers, absorbé par les différentes plantes qui magnifient la nature. Tu finis par continuer à parler, disant à ton ami combien il est important de respecter la nature, de ne pas lui faire du mal parce qu’après tout, c’est notre maison et c’est idiot de détruire sa maison. C’est comme si l’on mettait le feu à son propre appartement. Ou pour toi, à ta tente. Non, complètement stupide ! Tu finis par te tourner vers Twizz qui pose une question. Tu es content qu’il pose une question, comme un professeur qui cherche à intéresser ses élèves. Tu l’écoutes alors avant de rire.

-Oui, mais ce n’est pas les mêmes oiseaux ! Il y a surtout des pigeons en ville, Twizz. Là, on cherche un oiseau qui se faisait rare à cause de la mondialisation des villes qui grignotaient un peu plus de terrain à la nature, détruisant de nombreuses espèces ! Il y avait aussi la déforestation, notamment pour l’agriculture !

Tu es encore partit dans l’un de tes monologues, rabâchant combien la mondialisation était horrible pour la nature. Tu as le regard vissé sur un arbre depuis de trop longues minutes et tu ne te rends compte que trop tard que ton ami a disparu. Tu paniques déjà, imaginant le pire : une rencontre fortuite avec un piège à loup. Alors, tu te dépêches et cherche partout le pirate, l’interpelant à de nombreuses reprises, retournant la forêt de fond en comble. Tu finis enfin par le trouver et, tu es frappé par une vision d’horreur : Twizzlers, un nid dans les mains. Là, tu pousses un cri aigue qui n’était pas censé sortir de ta bouche. Tu es horrifié, blême et figé.

-M-M-Mais… QU’EST-CE QUE TU FAIS ??

Tu t’exclames, perdant pour la première fois de ta vie ton calme. Il faut dire que c’est quasi impossible de te faire perdre ton calme. Tu fais quelques pas vers le pirate avant de t’arrêter, non, tu ne veux pas le brusquer de peur qu’il ne lâche le nid.

-…C-Comment tu as fait pour monter aussi haut dans l’arbre et attraper le nid ??? Il y a des bébés ? Oh s’il te plaît, ne me dit pas qu’il y a des bébés… Tu as fait tomber les œufs ??? Tu les as tué ????
Grimy


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Mar 1 Déc - 3:07
Sur la terre nueIl s’étonne toujours tu sais, Neophe, de tes connaissances et de la force en laquelle tu crois aux choses. Il admire la passion qui t’anime et il voit la lueur dans tes yeux, celle qu’on ne sait pas imiter et qui allume un brasier tout au fond des gens, un brasier qu’il ne connait pas et le laisse froid. Alors il hausse les épaules sans trop oser te regarder, parce qu’il ne sait pas juger les autres tu sais, il ne sait pas si ceux qui ouvrent leurs braguettes pour pisser contre un arbre sont pires que les autres, ni c’est parce que la mondialisation est passée par là. Twizzlers tu sais, il est né dans un monde où on attend personne, au cœur d’une grande ville dans laquelle il a grandi à l’ombre, il ne sais pas vraiment ce qui est bien et ce qui est mal, il ne comprend parfois pas tes limites et tes raisonnements mais il ne te le dira pas, parce qu’il n’a pas forcément envie que tu voies qu’au fond de lui rien ne brûle, jamais vraiment, jamais longtemps.

Alors il se laisse fondre dans l’immensité de ce qui vous entoure, enfant des ombres un peu trop tangible pour ce monde qui semble l’avaler, il te laisse t’éloigner sans même se rendre compte de son geste, il dérive sous une canopée qui ne le protège de rien lais qui lui masque tout, et il croit bien faire tu sais, vraiment. Il croit bien faire quand il attrape ce nid, il croit te faire plaisir quand il te le montre et te le tend, parce que c’est ce que tu aimes non ? Les nids, les oiseaux, la nature. Celle qu’il écrase sans faire attention, celle qu’il n’a jamais appris à connaître et à respecter.

Parce que tu vois, Twizzlers il n’est pas comme les oiseaux, il n’est pas comme les pigeons, il n’a pas d’endroit où il appartient, il est presque comme le coucou qui vole son nid, il s’installe à où on veut bien de lui le temps qu’on en voudra. Et son sourire se fait plus discret, moins lumineux et pas parce qu’il prend en compte ce que tu lui dis sur la mondialisation. Il se fane devant le constat que rien n’est jamais à sa place, ou que lorsque que c’est le cas alors ça ne dure jamais bien longtemps.

Alors il est là et il pense avoir bien fait pour une fois, il croit avoir agi de la bonne manière, le nid au creux de ses doigts qui serrent si peu, si tu savais. Comme c’est délicat sous ses doigts, comme il fait attention de ne pas broyer cet objet pourtant insignifiant pour lui, si important pour toi. Et il te regarde comme un con Neo, il te regarde comme un enfant pris les mains dans le pot de confiture et il ne comprend pas. Tu pourrais presque voir le tremblement de ses doigts, le vertige qui l’habite et pourtant sa ligne de conduite ne faiblit pas, ne varie pas, ne change pas. Il est droit dans ses baskets, Twizzlers, il te regarde de ces pupilles d’orage qui gronde de brumes que tu ne peux pas comprendre et que tu vois à peine, et il te répond, comme un angélus tombe.


« Respire Neo, j’ai juste attrapé le truc vite fait. » Et au-dessus de lui, les piaillements se font incertains, au dessus de lui il y a des pleurs qu’il ne sait pas comprendre, que tu appréhendes peut-être mieux que lui, c’est plus facile quand on parle l’oiseau. Et lui, il regarde juste sa trouvaille d’un air satisfait, tu le vois jusque dans les plis autour de ses yeux, jusqu’à la lumière qui l’habite soudain. « Regarde, j’ai récupéré un nid ! »


Et tu sais, il ne leur a pas fait de mal, tu sais Twizzlers il est si délicat parfois qu’on a l’impression de rêver tellement lorsqu’on le connaît on s’attend à le voir écraser. Et il hausse encore les épaules comme un automate qu’on abandonne. « « J’suis assez doué pour grimper aux arbres, les oiseaux ils criaient fort alors je suis allé voir et puis voilà. »


Et il te colle dans les bras le fardeau maintenant trop lourd pour lui, lourd des conséquences que tu fais peser sur lui et qu’il ne voulait pas. Parfois Twizzlers tu sais, sa pensée va au plus rapide et au plus simple, et là il avait juste pensé bien faire, alors il regarde son méfait sans avoir l’air coupable, parce qu’il ne s’en veut pas et ne saura jamais s’en vouloir pour ça, sans réussir à empêcher son cœur de sombrer encore un peu, juste un tout petit peu.

« Respire Neo, j’ai juste attrapé le truc vite fait. » Il ne te regarde presque pas, il se détourne de toi parce qu’il n’a pas envie de voir ce qui brûle en toi, cette flamme qui menace de le brûler. Alors il te laisse le soin de regarder, de constater, il n’y a pas de bébés, que des œufs intacts qu’il a pris soin de ne pas secouer. « Il y a juste des œufs, j’aurais pas pris un truc avec des bébés oiseaux. »

Parce que tu sais, Neophe, même lui il est pas si con.
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