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coups de gueule (⁂) rage & sweetie (end)

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Dim 1 Nov - 19:03
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SHITFACED
Sweetie s'est vu confié une mission par Rage : Se battre avec des vagabonds afin de récupérer des armes. C'est un échec total et seul Rage arrive à réparer la situation. Ils prennent la fuite grâce à la voiture de Rage. Silence pendant quelques instants avant que Sweetie avoue qu'il n'apprécie pas être ce sauvetage même si, en réalité, il n'apprécie pas d'avoir perdu. Il demande à sortir de la voiture pour aller se bourrer la gueule et oublier sa défaite.
380 WORDS
FT. @RAGE
Aucun mot n’a jusque-là été prononcé. Ils sont barrés par les bras que croisent Lukas, contre son thorax. L’autre, doit être concentré sur sa route, c’est tout. Il y a juste des sons pour les occuper. Celui du moteur filant à toute allure pour fuir l’échec, d'abord. Puis, les reniflements grotesques, pour empêcher le sang de couler encore depuis son nez, déclenchent aussi les petites plaintes machinales liés à ça. Il n’a pas de quoi se moucher. Et même si ça aurait blessé davantage son nez, que de réaliser un tel effort, ça ferait bien moins mal que cette situation.

C’est honteux. Il ne supporte pas ça. Il a l’impression d’être un gamin de dix ans, ramené de l’école, après s’être battu avec un de ses camarades. Sauf qu’il n’a pas gagné. C’est son tuteur qui a réglé la situation ; avec des coups de poing plus brutaux, histoire de donner l’exemple, bien évidemment.
C’est rageant. Alors que lui peinait déjà à esquiver les coups de la baston générale, Rage n’a eu besoin que de décocher un poing à chacun. Il s’en mord la lèvre, elle aussi bien amochée. C’est une belle gueule parfaitement cassée, aujourd’hui. C’est une grande gueule qui s’ouvre enfin.

Tu m’as refilé ce boulot, à moi seul. Pourquoi t’es venu ? En plus, le but, c’était pas de les dépouiller ? Tu voulais pas des armes ? Là, on repart avec rien. Hormis mon coquard et mon nez presque cassé.


Il est bel et bien exaspéré mais ce n’est pas la vraie raison de son agacement. Il n’en veut, tout compte fait, pas vraiment à Rage de l’avoir aidé. Il s’en veut à lui-même de ne pas avoir été capable de mener la mission à bien. Ce n’était pas sa première mission en tant que gros bras et c’était pourtant un énième échec.
Il recroise les bras, ne voulant exposer davantage l’échec. Il finit même par se taire. S’autoriser de maigres plaintes ne lui est certainement pas permis, au vu de ses résultats.

Dépose-moi là, ça va aller. J’vais aller en ville, prendre… Des trucs. Merci pour le tour.


Il ne digère pas la défaite. Il n’admet pas la cuite qu’il compte se prendre pour tout oublier et juste repartir de plus belle, comme d’habitude.
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Dim 1 Nov - 22:06

Coup de poings fermes


Evidemment qu'il l'avait testé. Evidemment qu'il l'avait suivi jusque là. Rage est con quand il le veut, mais Bones a été clair, il ne fallait pas laisser Sweetie trop près de sa liberté. Ou lui laisser l'illusion peut-être ? Rage se foutait royalement de l'intégrité du brun, mais il était certain que son cul lui plaisait. Et plus que ça, d'ailleurs. Mais Rage ne l'avait pas empêché de l'envoyer se faire manger des mandales alors qu'il aurait pu être capable de rétorquer, il en était certain. .. Peut-être que le blond n'était pas aussi doué qu'il ne le paraissait pour jauger les capacités de ses hommes.

Sa boatmobile n'était qu'une voiture vrombissante dont les carcasses de jet rouillé recouvraient les portières et le capot en une pointe à peine dangereuse. Il n'était pas certain de jouer les bélier avec sa propre bagnole, mais l'idée lui plaisait de le faire.
Une main sur le volant, il se frotte le bout du nez, tout pensif alors que les propos de son voisin chatouille ses oreilles, le sortant de ses réflexions et de sa concentration sur la route.


- P'tain, essuie toi le nez ou je vais le faire si tu continues comme ça.


Rage lui somme cette requête sans pression, sans hausser la voix ou sans se montrer sévère. Simplement, le son du reniflement lui donnait la nausée. Lui seul pouvait renifler dans ce genre de cas, parce qu'il l'avait réellement mérité, mais lui. ..C'était tout bonnement honteux.
Au moment où le brun lui demande de l'arrêter sur le rebord de la route, non loin de la ville, le blond braque et tourne brutalement le volant pour se glisser sur la chaussée graveleuse, la fumée du sol embrassant la voiture quelques instants.
Puis il verrouille les portes et croise les bras derrière la tête avant de fermer les yeux, sourire aux lèvres :


- Pourquoi tu voulais être gros bras, déjà ? Rappelle moi dans quoi tu es doué, honey ?
 
©gotheim pour epicode


résumé:

Note : merci pour la réf à René, jtm !
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Lun 2 Nov - 6:52
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SIDESLIP
Il s'attendait éventuellement à un petit sermon mais pas à ce que Rage questionne aussi paisiblement ses compétences et son importance au sein de l'équipe. Vexé, Sweetie lui reproche presque de mal faire son boulot et lui donner des missions qui n'ont rien à voir avec ce qu'il imaginait. Il s'énerve, ne voyant de toute façon pas comment il peut s'améliorer, de toute manière. Mais remarquant qu'il va trop loin, il se ravise et dit l'opposé : Il se perfectionnera.
453 WORDS
FT. @RAGE
Comme si ça pouvait bien lui plaire, que son nez saigne autant.
Comme si ça pouvait bien lui plaire, d’être gros bras. Vraiment, c’est quoi cette question à la con et qu’est-ce qu’elle venait faire là ?

Attends, c’est quoi ça ? C’est un second entretien d’embauche ?


Ses pupilles surprises et encore plus béantes que lorsqu’il dû s’accrocher à la poignée de la portière lors de ce dérapage trop serré, il ne prend même pas le temps de se recoiffer les mèches bataillées par la bagarre et ce tête-à-queue ; si ce n’est vulgairement les plaquer vers l’arrière. Jusque-là, Rage a passé l’éponge sur ses multiples échecs en ce qui concerne des bagarres donc il ne se doutait pas que le lieutenant puisse les lui reprocher maintenant. Clairement, il ne pouvait plus fuir ses lamentables fiascos, la portière fermée.

Si je peux me permettre, tu m’as pas tenu au courant que je devais me battre avec des gens dans ce boulot. J’pensais que c’était le rôle de Trickster, d’embaucher des gens pour ça.


C’est bel et bien le rôle du lieutenant bagarre mais pas seulement, c’est faux : Il était plus ou moins au courant que ce genre de missions pouvaient lui être assignées, même si Rage a sans doute oublié de lui en faire part. Après tout, c’est un peu la définition de l’expression « gros bras ». Sweetie joue juste au plus bête qu’il ne l’est, volontairement, de ces prunelles innocentes.

J’imagine que tu m’as embauché parce que j’ai les gros bras. Qu’est-ce que tu veux que je te dise de plus ?


Il soupire ce qu’il n’ose pas avouer. En réalité, Sweetie n’a que très rarement, au cours de sa vie — si ce n’est les derniers jours, donc — déclencher de bagarres ou même participer à une. Même du temps où le britannique était chez les greens, en tant que policier, il a eu tendance à fuir les combats, quitte à laisser s’échapper quelques personnes qu’il jugeait comme de petite frappe et rien de plus.

J’en sais rien, en quoi toi tu me trouves doué ! J’ai l’agilité. J’ai les stratégies et l’intelligence. J’ai les muscles. J’ai la patience. Je peux même carrément plaire s’il suffit de manipuler quelqu’un. Mais tout ça, ça a pas l’air de t’intéresser. C’est juste toujours jouer des poings ! Écoute, je m’améliorerai et ça ira.


Toute son énumération s’escalade en colère noire, avant de retomber automatiquement, acceptant comme d’habitude sa condition, simplement. Sa paume s’écrase contre son visage blasé. Il n’aurait même pas dû hausser un peu le ton. Il détourne le regard et finit par regarder l’extérieur, attendant juste de se faire virer et qu’on n’en parle plus. Ça réglerait bien des emmerdes, tiens.
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Lun 2 Nov - 18:34

Coup de poings fermes


Un second entretien d'embauche. Un sourire compulsif se faufile au coin de ses lèvres, prit par surprise par un sentiment d'amusement. .. Et puis, le reste de ses propos achèvent la menace qui se fait brutale : celle d'exploser de rire devant tellement de conneries du genre. Il frappe même le volant d'une main avant de serrer le cuir de l'appareil avec une violence inouïe.

Après l'avoir laissé parler, laissé couler toute l'amertume qui semble regorger son être, Rage fixe la glace à moitié brisée du devant de la voiture, le regard vide. Puis il fait rouler sa tête sur le côté, pour que ses prunelles vertes rencontrent celles, bleues, de Sweetie.
Quel numéro celui-là. Une belle gueule pour une grande gueule.

Rage était à deux doigts de justifier la raison du pourquoi il l'avait envoyé seul. Il était à deux doigts de lui donner une réponse sensée, bien que téméraire, à ce caneton du monde des pirates. Il n'était pas le dernier à être arrivé, pas le dernier des rookies et pourtant, son petit doigt lui disait que Sweetie n'avait strictement rien à faire.. dans son monde.
Le blond semble prendre une position confortable, assis quasiment sur le côté du siège pilote, tout en s'amusant à fixer l'un de ses hommes.


- L'intelligence, neeh...  
 
Et il laisse en suspens ce simple constat, un peu taquin, un peu farceur.



- Alors quoi, tu te proposes de faire la pute maintenant pour nous ? Après, j'en connais un ou deux capables de ce hautfait pour jouer le cheval de troie.  
 

Un sourire étire ses lèvres pulpeuses, dans l'amusement le plus torve. Il continue sur sa lancée.



- Un pirate, un gros-bras, ne se plaint pas de sa condition. C'est une régle à laquelle tout le monde se plie. Tu as le corps, la constitution et la force pour accuser les coups, et les rendre. ... ... Oh et puis, merde.
 
Puis, sur un coup de tête, comme toujours, Rage s'agite en lâchant des jurons. Il déverrouille les portes et sort de la boatmobile avant de s'abaisser pour lui souffler de sortir de là.
Et une fois que Sweetie éxecute l'ordre, il fait jeter sa veste bomber kakie, ne dévoilant qu'une piètre chemise blanche froissée et déchirée, certains boutons manquant même à l'appel. Il lève les deux poings et envoie :


- Je compte à trois. Si tu ne me montres pas de quoi tu es capable, tu auras une bonne raison de rénifler toute la soirée.
 
Un.

©gotheim pour epicode


résumé:
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Lun 2 Nov - 23:46
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TIME TRIAL
(en italiques, les pensées de Sweetie) ; il juge rage et les pirates comme des idiots de première pour réclamer des poings mais fait franchement moins le fier lorsque rage commence son décompte. Pris par une sorte de stress mêlé à une envie de montrer de quoi il est bien capable, il plaque Rage au sol, en esquivant un potentiel coup. Mais Rage pourrait bien lui rendre puisque Sweetie n'a pas vraiment attaqué : Il est juste assis et fait le beau alors que clairement, il est encore plus en position de s'en manger une.
510+ WORDS
FT. @RAGE
Il s’est bel et bien fait virer. Du moins, juste de la voiture, pour le moment. Le voilà maintenant debout, dehors, en train de faire face à un gars qui est censé être son patron et pourtant, lui demande de lui en coller une.
Alors, oui, intelligent, plus que toi en tout cas, pauvre con. Pourquoi t’oses rire de ça ?
Vraiment, il ne comprend pas cette logique si bien qu’il en hoche négativement la tête, les mains dans les poches. En fait, c’est bien une logique de pirate. Sa mentalité de green parle, oui, mais c’est bien son propre mépris qui se manifeste, à la suite. Il finit par rouler des yeux et soupirer devant autant de stupidité.

Pourquoi avoir ouvert la porte alors que j’aurais juste pu filer ? Heureusement que t’es le boss et que je suis quelqu’un de plus patient que toi.


C’est peut-être ça qui pousse d’ailleurs Rage à commencer son décompte, bien trop rapidement. Le premier chiffre du décompte a déjà sonné. Il fait bien moins le malin. Il n’a réfléchi à aucune tactique donc doit bien vite trouver quelque chose. Ne connaissant après tout pas de quoi Rage est bien capable, il est possible qu’en plus d’un poing qu’il a promis, il finisse par vraiment se faire virer. Ça pèse vraiment comme une épée de Damoclès, cette histoire de boulot...
Ni une ni deux, la course contre le temps permet à son esprit compétitif de s’éveiller et battre à plates coutures, d’un unique coup, ses soucieux questionnements et la hiérarchie. D’un unique coup, il emporte Rage entier. C’est grâce à une grande vélocité qu’il réduit la distance entre lui et son adversaire. Afin d’éviter le moindre coup de poing — car bien évidemment, Rage aurait pu lui en administrer un, ce n’était pas interdit — Lukas courbe instantanément le dos lorsqu’il s’approche de sa cible et finit par la plaquer au sol.

Sweetie se retrouve facilement en position de force désormais, maintenant plaqué sur l’autre. Le tout pourrait s’enchaîner. Ça serait parfaitement déloyal et ça pourrait être son genre, grand opportuniste qu’il est. Mais il se redresse, semblant être maintenant assis contre l’abdomen de sa victime et sans rien tenter de plus.

Qui est-ce que tu traitais de « pute » tout à l’heure ? C'est moi qui vient de te prendre par surprise, là.


Extrêmement satisfait, il arbore un séduisant sourire, embelli de plus bel lorsqu’il essuie une énième coulée sanguinolente, après avoir, encore une fois, recoiffé ses mèches rebelles vers l’arrière. Il en finit par rire mais pas aussi cruellement que son bourreau de tout à l’heure, qui a poussé un fou rire moqueur.
À croire que Sweetie ne fait que prendre tout ça pour un jeu, lorsqu’il s’agit de bagarre. Les conséquences d’une bataille de poings sont bien trop importantes pour lui alors il préfère en oublier les responsabilités en voyant cela comme quelque chose de bien simplet.

Pourtant Calico lui a bien dit qu’il regretterait de ne pas accepter les conséquences qui manquent de lui exploser en pleine gueule. Là, maintenant, tout de suite. Rage n’est certainement pas hors d’état de le nuire.


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Mer 4 Nov - 22:42

Coup de poings fermes


..L'insolence de Sweetie n'était qu'un détail, parmi les autres failles du brun. Et Rage ne comprenait pas pourquoi personne ne s'embêtait à lui enfoncer les rouages de la survie plutôt que de le laisser brailler comme un adolescent agacé par les prémices de la vie.
Il se masse la nuque après avoir dénominé la séance de fight improvisée, n'apprehendant rien d'autre qu'une lâcheté redondante. Il espérait si fort qu'il agirait, car il ne voulait pas le cogner. Il adorait frapper ; seulement ceux qui le méritaient. Il n'était pas certain d'assurer que lui, il le méritait, en l'état. ...


- Deux.


Il n'a pas le temps de réflechir à autre chose qu'il le voit bondir sur lui pour le projeter au sol. Cette prise fut des plus intéressantes, accompagnée d'un effet de surprise de son plus bel effet. .. Et Rage n'avait donc rien vu venir, si bien qu'il se retrouve plaqué au sol avec une panthere bleue sur le corps. Il n'aurait pas pu récidiver, peut-être esquiver mais là n'avait pas été le propos. Cet assaut plait tout de suite au lieutenant qui se voit sourire d'emblée de jeu, le coeur sous l'adrénaline.

Il souhaite d'ailleurs l'ouvrir, mais Sweetie rétorque encore ; seulement voilà, il ne fait qu'attiser l'envie de jouer dangereusement avec lui. ... Le sourire goguenard, tordu par la provoc et l'amusement, il effile entre ses dents, presque... pernicieux :


- Tu veux une médaille, bébé ? T'es encore qu'une pute pour moi tant que tu ne m'auras pas empêché de te prendre à revers. ..  


.. C'était stupide, il était plus allumé, chaud comme un lapin et surtout trop de bonne humeur depuis qu'il avait foutu quelques pains aux assaillants de tout à l'heure, plus que enervé et sérieux. De fait, sans rage, il était incapable de le retourner pour le plaquer au sol.


- T'es lourd, c'est plutôt un bon point par contre. Essaie de poser tes fesses sur les autres pendant un combat et n'hésite jamais. .. Enfin je te conseille de le faire que lorsque ton assaillant est seul. Un autre aurait le temps de te coller une balle dans la tete ou de te frapper par derrière.
 

Le blond redresse l'une des jambes et tamponne gentiment avec celle-ci le dos du brun. Une voiture passe en vitesse sur la voie routière, suivi d'un klaxon ... on ne sait pour quelle raison que celle de la situation. Cocasse, indécente... ou provoquante.
Puis, pris d'une longue méditation, durant laquelle il s'essuie calmement - mais mal- le torse parce qu'une goute de sang était tombée sur sa chemise blanche, il demande un peu fourbe :


- Est-ce tu as une arme sur toi ... ? .. Et ... peu importe ta réponse, est-ce que tu peux essayer de me tuer, là, maintennat ? Tu as le droit de m'étrangler, d'enfoncer une lame dans le coeur ou alors, juste, de me ruer de coups.
 

En fait, Rage connait déjà la réponse, et pour cette raison, il renchérit :

- Mais t'as pas les couilles de le faire. ... T'es chez les pirates, mais tu agis comme un enfant fuyard. Tu ne sais ni tenir une arme, ni penser comme nous. T'es qu'un puceau qui a probablement laissé crever l'un de ses proches pendant la tempête parce qu'il ne pensait qu'à sa gueule.
 

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Jeu 5 Nov - 14:07
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LESSONS
Il a l'impression que Rage le drague, encore, mais là, il ne se fait pas prier pour dire que c'est extrêmement dégueulasse et mal formulé. Le coup de klaxon le fait moyennement réagir, Rage est plus virulent à ses yeux. L'entendant critiquer sa manière d'avoir traité ses proches, il le prend vraiment (mais genre vraiment) très mal et tente d'avoir l'ascendant physique, encore, en lui écrasant le haut du buste sans ménagement et lui pointe un revolver non chargé. L'arme et le froid mépris sont des bluffs pour ne pas montrer la colère dont il est pris.
466 WORDS
FT. @RAGE
S’il veut une médaille ? Il ne croit pas si bien dire. Sweetie est bien trop compétitif pour ne pas hurler ses victoires. Il pourrait rester éventuellement, plusieurs minutes, assis de cette manière, sur quelqu’un, si aucune personne ou élément ne ferait de sous-entendu là-dessus ; à commencer par Rage, bien entendu.

Attends, c’est vraiment un conseil ? Non parce que j’ai plus l’impression que c’est un compliment raté sur mes fesses. Tu joues les professeurs mais à ce compte-là, c’est plutôt moi qui devrais t’apprendre quelque chose en drague.


Parodiant son délicat visage amoché d’une grimace rebutée, elle s’estompe vite lorsqu’un klaxon railleur leur passe sous le nez, se transformant, plus exactement, en yeux ronds. Mine parfaitement déconfite, sa moue hésite entre les deux réactions précédentes : La satisfaction d’avoir le dessus sur son lieutenant ou le dégoût d’être vu ensemble. En tout cas, cela ne le garde pas figé puisqu’il se redresse, prêt à lui offrir une main pour se relever. Mais Rage n’a pas dit son dernier mot. Oh, il est même capable de faire pire qu’un groupe de pirates entiers agglutinés dans une bagnole.

Qu’est-ce que tu… racontes ?


Il ne le connaît pas. Pourquoi il parle de ça ?
Intérieurement, ça bouillonne.
Il tempère.
Extérieurement, c’est glacial.
Lui relevé et Rage toujours au sol, Lukas ne se gêne pas pour écraser lourdement — comme il l’a si bien relevé — son pied contre sa cage thoracique, se fichant bien de briser une côte. Tour de magie derrière son dos, Lukas extirpe de sa poche arrière une arme à feu qu’il pointe droit vers la victime du jour. Concentrant son regard comme s’l visait, il ne fait cependant rien. Il doute que Rage ait peur pour réclamer un ironique suicide.

Je sais tenir une arme. Je vois juste pas l’intérêt de te tuer. Voilà la différence.


Il le tient en joue et ne détache pas son regard de sa cible. Mais Sweetie n’a pas de munitions ; comme personne à Arcadia, après tout. Il est juste très bon acteur donc très bon bluffeur. Toutefois, les accusations que porte Rage sur sa lâcheté l’entraîne excellemment bien à ce rôle.

Donc, lieutenant ou pas, je t’autorise pas à décider qui j’ai, je dois tuer ou non. Le premier truc que je vais t’apprendre c’est de fermer ta gueule avant de parler de sujet dont tu connais absolument rien.


Dominant son patron de toute sa hauteur, Sweetie en arrive au paroxysme de son dédain. Son expression n’est pas furieuse, mais plutôt carnassière. Une fureur qu’il métamorphose en roguerie.
Il ne connaît même pas sa relation avec Bushbaby, de la bouche de l’espion, en tout cas. Il en aurait entendu parler, via des rumeurs, donc ?
C’est lamentable. Quel gamin, quel mouton, de croire à des conneries pareilles.
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Mer 25 Nov - 14:03

Coup de poings fermes


..Il n'a pu s'empêcher de sourire de toutes ses dents aux propos du brun. Lui apprendre quelque chose en drague ? ... mais il est  toute ouïe. Pourquoi ne le fait-il pas au lieu d'attendre ?
Malheureusement dans l'attente, Sweetie s'est refroidi et ca s'est senti. Bien. C'est ce que Rage voulait. qu'il réagisse autant à sa "drague" qu'à sa provocation. S'il pouvait le mettre à terre, le briser et l'humilier, le blond le ferait. Si la seule manière d'exploiter le potentiel du beau brun était de l'acculer alors il était prêt à se salir les mains, à se salir tout court. Rage se fichait éperduement de l'avis de ses hommes, il se fichait d'autant plus qu'on ne l'aime pas ou qu'on le considère avec autant de mauvais intérêt. Mais... il tendait à imposer le respect entre tous.
Seulement, est-ce que Sweetie comprenait que durant ses "leçons", le respect n'était plus de mise ?
Lorsque le pied écrase sa poitrine, Rage est ... surpris. Agréablement surpris mais à la fois très mal à l'aise. C'est que ca lui rappelle quelque chose, de très enfoui dans ses souvenirs. Son rythme cardiaque s'accélère. On l'a déjà humilié et soumis de cette manière et il a déjà eu par le passé une côte cassée, malgré son obésité passée.
Il prend sur lui, se rappelle qui il est, et qui il a devant lui. Il ne connait pas bien Sweetie, il ne sait pas s'il peut être aussi dangereux que certains de ses rivaux, mais pour l'instant, c'est un match amical qui partait seulement en live, rien de plus.
Habituel.

La tension qu'il ressent dans l'action d'être tenu en joue est autant un excitant d'adrénaline qu'une menace latente. Rage ne bouge pas du tout, et observe. Il aime la position dominante que son acolyte arbore, le port altier plein de confiance qu'il présente. ..Sweetie... pourrait presque le convaincre. Etre crédible. Seulement voilà, avoir un intérêt à tuer quelqu'un.

N'est pas une bonne réponse.

Rage lui agrippe le pied qui s'impose sur lui, et le tourne sur le côté brutalement, lui fait faire un 45° tour de degré pour le déstabiliser et le faire tomber. Douceur ne peut forcèment se retenir à quoique ce soit puisqu'il n'y a rien pour se retenir, par contre il ne se préoccupe pas de comment il échappe à ce mouvement acrobatique. Le lieutenant en profite seulement pour se relever vivement et l'agripper à la poitrine pour retourner la situation entre eux. Et l'écraser de tout son poids. Il le surplombe, à califourchon sur lui, le bassin sur le sien, les mains déjà à la recherche des deux poignets de Sweetie pour le neutraliser.

Le blond sourit, plus qu'amusé, plus qu'excité. il adore. Qu'il soit stimulé sexuellement par le corps bien foutu du brun était une chose ; mais la domination le grisait jusqu'aux trippes, ca le tordait de plaisir. La lutte de force nourrit son manque d'adrénaline, néanmoins il est à deux doigts de l'étrangler. D'oublier la raison du pourquoi ils sont là.


- Hais-moi de toutes tes forces, honey. Ta place n'est pas parmi nous, tu es un paon robuste au milieu des faucons. Il ne faut jamais hésiter de tirer, même si tu n'as pas d'intérêt à tuer ton opposant, tu tires à côté de son oreille pour l'assourdir, tu lui plantes une balle dans l'épaule pour le blesser, ou tu le tues juste pour le plaisir, tu ...


Une autre voiture passe et cette fois-ci, elle semble s'arrêter. Des hommes en sortent dans la précipitation, et Rage n'a pas le temps de réflechir, il relâche Sweetie pour se redresser et prendre l'arme du brun pour tirer sans l'ombre d'un scrupule sur la tête de l'un d'entre eux. Seulement, aucune balle ne sort. Le blond avise l'engin, penaud et regarde les deux hommes et la femme, avant que celle-ci ne les aborde en pointant, elle, son arme :

- Vous allez nous suivre.  

©gotheim pour epicode


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Ven 18 Déc - 20:10
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Il se fait contrôler par Rage et ça l'énerve encore plus mais il reste placide et hautain puisqu'il pense avoir encore une carte maîtresse : Son arme non chargée qui lui offrira quelques secondes pour rendre un coup à Rage. Or, Rage l'utilise contre un groupe d'intrus. Face à l'air de Rage, Lukas ne s'empêcher de rire de la situation. Il pense ne pas être celui qui doit suivre ce gang mais juste Rage.
430 WORDS
FT. @RAGE
Son despotisme n’est que de courte durée. Sa rancune, elle, en revanche, ne fait que grandir, encore et encore. Elle se nourrit, néanmoins, de diverses choses. Ces accusations sans fondements et maintenant cette raclée qu’il se prend méchamment, le crâne résonnant contre le sol. Ça aurait presque pu résonner creux puisqu’il faut vraiment être bête pour croire une seule seconde qu’un lieutenant comme Rage se laisse autant faire par un sous-fifre. Il mord ainsi la poussière mais serre surtout des dents pour résister à une colère plus violente mais surtout au contrecoup.

Il aurait bien une centaine de choses à répondre à cet argument qu’il faut impérativement tuer quelqu’un. Pour Sweetie, il a entièrement tort mais il a peut-être raison sur un point. Il n’appartient pas à leur monde puisqu’il n’adhère pas parfaitement à des idéaux aussi chaotiques. Il n’adhère pas non plus à l’autre extrême des greens et se retrouve justement coincé entre ces deux étaux, à en cracher du sang, une fois ses côtes étouffées.

Il ne se considère clairement pas en situation de danger, même dans cette posture et se contente de fixer Rage avec défi ; sans sourire, néanmoins. Il connaît mieux la situation et pourra très bien se servir de ce pistolet vide pour la renverser et ne plus commettre les mêmes erreurs que tout à l’heure.

Montre-moi tout ça. Tire pour voir.


Il s’exécute, quelques secondes plus tard, mais sur une toute autre cible et sans réfléchir sur la nature de ces nouveaux intervenants que Sweetie a délibérément ignoré pour se concentrer dans son duel de regard. Il aurait cru que son adversaire en aurait fait de même puisque c’est presque ce qu’il a fait pour la première voiture. Mais il les prend pour cible et « tire ».
Le seul son qui sort de cette attaque c’est un pouffement de rire. Merde, il ne peut vraiment pas s’en empêcher. Il est à quelques instants de hurler de rire jusqu’à ce qu’il constate que les trois personnes les prennent justement pour cible. Interloqué, il se rend surtout compte que la femme face à eux met en joue Rage plutôt que Sweetie qui, après tout, se retrouve déjà dans une fâcheuse posture.

La justice finit toujours par tomber.


Même dans cette situation, il ne peut s’empêcher d’esquisser un sourire malicieux. À vrai dire, c’est une revanche qui lui plaît bien. Non, Sweetie n’a pas du tout conscience qu’il est aussi sommé d’être confronté à la justice et balance Rage comme il balancerait un morceau de viande à une foule de lions pour prendre la fuite.
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Lun 21 Déc - 18:24

Coup de poings fermes


..La tête aussi lourde qu'une enclume, il cherche tant bien que mal à combattre le poids affolant de ses paupières. Il ne se souvient rien de ce qui lui est arrivé, mais son instinct le pousse à s'éveiller rapidement lorsqu'il constate que le lieu clos dans lequel il se trouve ne lui est pas familier.

Au contraire, l'état miteux et humide lui offense les sens olfactifs, et dans un second temps, son dos lui parait engourdi. .. ou ses bras peut-être? Il prend conscience de la posture dans laquelle il se trouve. D'un regard, il constate ses membres attachés en arrière, une masse en prime l'empêchant de se mouvoir comme il l'entend.
Il bouge dans un élan brutal ses épaules pour tenter l'impossible, et saisit enfin que son dos embrasse celui d'un autre.

Dès lors, il plisse les yeux et se foudroie d'insultes mentales en rassemblant tous les récents vestiges de sa mémoire, qui lui vinrent comme une gifle en pleine gueule.
Le coup de gausserie de Sweetie lorsque son tir a fait choux blanc, le coup de feu porté à son encontre... et la violente rixe qui a suivi par la suite pour finir endormi. Car ca n'avait pas été un simple tir dont il avait été victime, on l'avait shooté à coup de tranquilisant. Et à en juger la situation, il semblait que Sweetie en avait été aussi la cible.
La question le taraude maintenant de savoir pourquoi ils ont été enlevé, ligoté et sequestré dans un endroit qui a toutes les tristes caractéristiques d'une cabane au fond d'un jardin.
Fait d'autant plus surprenant, nulle bride retenait sa bouche.

- A l'odeur, et au vu des circonstances, je dirai que mon petit rookie est accroché à moi, je me trompe ?

Rage effile vite fait un sourire, bien que préoccupé par sa position et celle de son homme de main, ou de ce qui lui sert de pirate. La contrariété est d'autant plus grande quand il se souvient du flingue déchargé.


- T'es vraiment qu'un froussard doublé d'un menteur, franchement ... Qui porte des armes non chargées de nos jours ?

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Mar 22 Déc - 23:45
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PUNCH-DRUNK
Se réveillant après Rage, Sweetie ne perd pas une seconde pour le blâmer bien qu'il soit encore assez hagard. Il s'explique et légitimise ses torts alors qu'il enfonce Rage. Cependant, il se rend compte que la situation n'est pas si désespérée.
400 WORDS
FT. @RAGE
Ses paupières lui brûlent plus que ses narines, dorénavant. Il peine à émerger dans ce nouveau contexte, comme si, inconsciemment, il ne veut pas le découvrir. Après tout, il niait déjà très bien la possibilité d’être enlevé par ces individus. Il en reste même à ce stade, en fin de compte :

Qu’est-ce que t’as bien pu faire pour qu’on se retrouve dans ce pétrin ?


C’est dans un murmure qu’il prononce cette phrase, la tête affaissée, comme pour dissimuler dans l’ombre ses nombreux coups humiliants au visage qu’on lui a porté, au total, aujourd’hui. Ou peut-être était-ce hier ? Ils n’ont aucune notion du temps passé. Par réflexe, il tente de se masser le crâne pour digérer la situation mais ses mains sont ligotées à celles de son compère, au courant donc, de chacun de ses faits et gestes. Si lassé de la situation, il soupire bruyamment pour le faire savoir à Rage.

La majorité des gens n’ont pas munitions. C’est juste un flingue pour menacer. Si tu l’avais pas pointé devant ces types, on en serait pas là. Mais j’aimerais vraiment savoir ce qu’ils avaient pour déjà contre nous pour nous rendre une petite visite en premier lieu. Et vu toutes les merdes dans lesquels tu nous fourres, ça m’étonnerait pas que t’en aies encore créé.


Il conclut par un second soupir, plus long mais ne laissant pas à l’occasion à Rage de répliquer. Naturellement peu confiant en autrui, il doute recevoir une réponse viable de sa part et préfère penser à des alternatives plus positives. Du moins, puisqu’il semble en vouloir autant à Rage, il lui en incombe la responsabilité.

Dis-moi que tu as un plan parce que la seule odeur que je sens, c’est ta sueur. Tu t’es pas lavé depuis combien de jours ?


Éventuellement, Lukas pourrait actuellement faire de l’humour s’il n’était pas encore un peu sonné. Éventuellement, il pourrait lui aussi trouver une solution. Pour le moment, il se contente déjà de comprendre son environnement et la situation en posant autant de questions. Ce qui est sûr, c’est que leurs assaillants en ont peut-être beaucoup contre eux, pour ne pas leur avoir accorder le moindre procès mais ils ont très mal fait leur boulot : Seuls leurs chevilles et poings sont liés et les poignets des deux hommes peuvent, avec un peu d’huile de coude et de lumière, être déliés par l'autre.
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Dim 27 Déc - 20:03

Coup de poings fermes



- Stop me foutre tout sur le dos, chéri, je ne sais même pas qui ils sont.


Ni pourquoi ils les ont enlevés, au vu de son expression réflechie. Il était rare chez Rage de réflechir, de revenir à son ancien lui, mais il n'était pas certain de s'en sortir, là tout de suite, s'il n'alignait pas au moins quelques neuronnes.


- Et à la bonne heure, tu es réveillé. ... Ce n'est pas toi qui entretiens son corps tous les matins pour épater la galerie ? Montre moi de quoi tu es capable.  


Ca changera de d'habitude, était-il prêt à lâcher, sans pourtant avoir l'envie de le balancer. Peut-être parce qu'avec cette foutue manie d'analyser les choses, il se met inconsciemment dans la peau du brun, et qu'il en arrive à comprendre la lassitude et la pression qu'il doit ressentir de la part des autres et des sup'.


- Et dois-je te rappeler qui t'a sauvé les miches tout à l'heure ?  


Il lève le nez sur la petite lucarne donnant sur la nuit.


- Ou hier. Peu importe.


Puis le brun le provoque encore. Encore et toujours. A croire qu'il n'a que ces armes-ci pour emousser le blond. Ce dernier est actuellement hermetique, trop préoccupé à se sortir de là, même si il réflechit aussi sur l'identité de leurs ravisseurs. Ils n'avaient pas l'allure des chevaliers, plus... des greens. Sauf la meuf en costard, elle devait s'être affiliée ? Il suppute mentalement en oubliant totalement et sa condition et le bambin qu'il se coltine derrière lui.
Un bambin au corps d'athlète.


- Si je dois t'aider et me placer dans une position particulière, dis le moi.  


Ce qui surprenait n'empêche avec Rage, c'est que la peur brillait.
Par sa totale.
ABSENCE.
Il ne paraissait pas déranger d'être sequestré et attaché.

La routine.

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Mar 29 Déc - 23:30
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FEES
Il déligote les liens aux poignets de Rage pour que ce dernier puisse défaire ceux à ses propres chevilles avant de lui rendre la pareille. C'était un peu bidon mais Sweetie compte bien sur cet acte pour que Rage arrête de le bassiner avec l'histoire du bar. J'ai lancé des dés mais ça a apporté aucun drama je suis deg. Du coup je t'ai tendu une perche, y a un Sweetie ligoté.
328 WORDS
FT. @RAGE
Non, il n’a pas de plan et encore moins d’excuses. Il expire sa lassitude et roule des yeux. Ce n’est pas comme s’il en attend beaucoup de la part d’une personne qu’il juge aussi écervelée. Et puis comme si l’aider une fois à mettre trois patates à un mec qui manque de l’étrangler serait une redevance à vie. Après tout, n’est-ce pas son boulot, tout simplement, de veiller sur ceux qu’il appelle ses « rookies » ?
Toutes ses pensées, le subordonné ne les émet pas à haute voix. Au pire, il les ronchonne alors que l’autre est en train de lui servir un baratin qu’il écoute à peine. La seule ligne qu’il retient, c’est qu’il doit à priori intervenir pour les sortir d’ici. Deuxième expiration blasée.
Mais au moins, ça éviterait, une bonne fois pour toutes, que Rage place comme impôt la bagarre du bar de tout à l’heure (ou d’hier). D’autant plus que les défaire de leurs liens n’est vraiment pas complexe. Bien qu’immergés dans le noir, Sweetie essuie les remarques de Rage le temps de quelques minutes et de quelques dénouaisons.

Tadam ! Un travail de gymnaste, c’est vrai. C’était éprouvant.


Son ton ironique est cinglant mais il aurait mieux fait de ne pas l’employer. Peut-être que l’obscurité et la naïveté de Rage ne l’ont pas aidé à cerner que c’était un jeu d’enfants. Sweetie lui doit donc toujours quelque chose. Enfin, pour le coup, c’est encore son équipier qui doit lui venir au secours.

Libère tes chevilles et rends moi la pareille. Après on se casse, j’ai pas envie de rechercher des noises plus longtemps à ces types.


Désagréable et impatient, Sweetie fait claquer la chaise de jardin contre le sol sur laquelle il est ligoté, comme si machinalement, il tente de s’en défaire, comme à son réveil. Avec une telle attitude, difficile de dire si Rage serait prêt à le délivrer ou savourer ce moment dont il n’a pas pu profiter tout à l’heure.
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Ven 1 Jan - 21:54
INTERVENTION POUVOIR SWEETIE
C’est énervant, à force.
Lancer des piques sur cet épisode au bar.
Parce que la honte s’immisce sous la peau et ça appuie un peu trop là où ça fait mal, là où l’égo n’apprécie pas grandement.

Tu ne veux plus en entendre parler, Sweetie.
Surtout que, tu vois, c’est le genre d’histoire qui nous suit jusqu’à la fin de notre vie. Et Rage s’en donnera sûrement à cœur joie, de le répéter, encore et encore, rien que pour en rajouter une couche.

Pourtant.
Pourtant, maintenant, Rage ne pourra pas en parler.
Il ne pourra plus. Impossible d’évoquer cet échec au bar.

Toi non plus, Sweetie.

Les mots ne se formeront pas très bien.
Ils n’auront aucun sens.
Aucun.
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Mer 20 Jan - 22:39

Coup de poings fermes


Comment il a pu laisser passer ça, finalement ? C'était à n'y plus rien comprendre. Il se serait bien masser la tempe, aurait bien croiser ses mains derrière la tête, s'il ne les avaient pas attachées dans le dos.
Il tentait vaillamment de se placer dans une situation susceptible d'aider l'athlétique Sweetie à la musculature souple, mais c'était sans compte sur l'esprit d'équipe brillant par son absence entre eux.
Le brun semble défaire ses liens comme on délace des chaussures. Rage demeure un moment circonspect. Ou penaud, au choix. Il fixe devant lui, sans donner de l'importance à tout autre chose.

Et, il comprend enfin la situation. Ce n'est pas son acolyte qui s'est libéré, de toute évidence, le jeu de mains ne pouvait décemment pas réaliser ce tour de magie. Rage se rendit compte de sa liberté. Il se pencha pour défaire en deux trois mouvements le noeux à ses pieds, et d'un bond se leva en expirant puissamment l'air qui lui manquait.

Manquer de liberté l'étouffait.
Trop.

Il se passe une main sur le visage pour détendre ses traits, bien que peu anxieux dans le fond. Juste... contrarié ?
Lorsque son regard pèse sur la silhouette de Sweetie, il soupire. On ne sait si de bien-être, de lassitude, ou d'autres choses.
Puis.

Il s'accole au mur qui fait face au seul sequestré, et il croise les bras.
Et il lâche. D'une voix aussi profonde que provocatrice.

- Merci.

La pénombre permettait difficile d'entrevoir la lueur moqueuse dans ses yeux verts, mais le sourire en coin lui était assez visible grâce au peu de lumière que laissaient filtrer les vitres sales.

Il penche la tête et croise cette fois-ci ses pompes, lui donnant cette impression de jambes plus fuselées et un port plus grand.

- Au fait, Sweetie. Tu veux bien me faire une promesse ?

Même s'il joue au con à l'instant, il n'est pas moins sur le qui-vive, prêtant -malheureusement- une oreille vers l'extérieur dans le cas où l'un des ravisseurs se rapprochait. D'ailleurs... il était tenté de se servir de Sweetie comme appât.

- J'ai un plan. Mais avant ça, peux-tu me dire ce que tu es prêt à faire pour que je te libère ?

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Jeu 28 Jan - 3:01
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ENTRACTE
Que Rage ne le libère pas directement l'agace, jusqu'à vouloir lui dire mais il est sous le retour de bâton de son propre pouvoir et ne peut pas en parler. Il se contente donc de refuser simplement, plutôt que rappeler qu'il ne doit plus rien. Il pense que, de toute manière, Rage a besoin de lui donc n'est pas en position de faire du chantage et en profite pour le mépriser, toujours un peu plus.
328 WORDS
FT. @RAGE
Qu’est-ce qu’il fout ? Pourquoi est-ce qu’il se met à jouer au paon, une fois libéré ? La vraie question c’est plutôt, qu’est-ce qui lui a pris de le libérer d’abord alors qu’il sait pertinemment, depuis le début, que Rage peut se jouer de lui ? Il lui a bien prouvé juste après l’altercation, qu’il vient d’ailleurs rappeler pour lui souligner que cet épisode peut être définitivement rayé.

Mec. Je t’ai libéré. Je vois pas pourquoi je devrais te faire une promesse alors que -


Sa phrase ne se conclut pas alors qu’il est certain que ses lèvres ont bougé. Serait-il trop sonné ? Ça n’a pas de sens puisqu’il a tout de même réussi à défaire les liens avec une facilité déconcertante que Rage doit, de toute façon, suspecter et mettre au défi, par conséquent, Sweetie. Ligoté et méprisé d’un regard plus haut, il cesse pourtant de s’agiter et se montre plus hautain pour compenser.

Je te promettrai rien, non. J’en ai assez que tu me foutes dans ces situations donc c’est pas maintenant que je vais te suivre à l’aveugle. Dis moi ton plan et je jugerai s’il tient la route.


Il est déjà assez tombé dans le panneau aujourd’hui. Chef ou pas chef, il s’en branle et n’écoute pas les ordres. Si Rage est capable de le garder attaché, alors c’est certain qu’il a trouvé une situation bien pire que celle dans laquelle il est actuellement. Autant qu’il crache le morceau.
Une autre chose sur laquelle Sweetie pense mettre le doigt : C’est que Rage réclame son aide puisqu’il a effectivement besoin de lui pour sortir. Autrement, il risquerait de se faire arrêter. Et de toute manière, Lukas demeure certain, encore, que le fautif de leur enlèvement reste le sous-chef pirate.

La patience de Sweetie est bien trop agaçante. Elle tente de retourner les choses et de mettre Rage au défi, au plutôt le coincer plus que le brun n’est ligoté. À défaut des mots qu’il n’a pas su entendre de sa propre bouche, il se met à siffler narquoisement. Alors qu’il demeure totalement imperturbable, il siffle un compte à rebours.
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Jeu 28 Jan - 14:21

Coup de poings fermes


Il le regarde, un instant. Déjà parce qu'il semble etre bloqué dans sa parole ; ensuite parce qu'il débite les pires provocations qu'on puisse provoquer dans sa situation.
Rage est un lieutenant à moitié respecté. Mais surtout, constamment sous le joug de l'affront et de la provocation. Il dégage cette aura de défi continuellement.

Sauf que Sweetie manque de discernement ou d'informations concernant le blond.
Il l'aurait délivré sans faire d'étalages s'il ne se renfermait pas dans son ego.
Et dans son indiscipline.

Et...Rage ne sait pas pourquoi, mais de la part de Sweetie, ca lui reste en travers de la gorge. Peut-être parce qu'il s'attendait à autre chose, qu'un déversement de bile insensée sur lui.

Mais au final, n'est-ce pas Rage qui manque de confiance envers ses hommes.

- Je voulais te libérer, te demander de faire semblant d'etre attaché, et les attirer pour les prendre à revers.

Cette justification déplait au blond. Un rictus amer force les plis de ses lèvres, et les sourcils, froncés, démontrent combien la situation le désintéresse.

- Je présume que tu n'as plus besoin de moi, que tu es assez grand pour te sortir du merdier.
Puisqu'on est quitte.


Rage lui tapote la tête, comme on le ferait à un brave garçon, et se rapproche de la sortie, s'agenouillant pour regarder à travers les fissures de bois qu'offre la cabane légèrement depenaillée.
Au loin, il perçoit une eglise délabrée. Mais où ont-ils atterri ?
Cette zone ne lui dit rien qui vaille.
Il tente d'ouvrir lentement la porte, mais une chaine se trouve autour de la poignée.
Il cherche son couteau et ne le trouve pas.
Bordel, son couteau fétiche volé à Buck !

Il cherche alors dans l'ensemble de ce qui constitue la cabane, déplace des meubles avec discrétion pour y trouver potentiellement un trou.
Bingo. Derrière un placard rempli d'objets de verres cassés et de ferraille, un trou de 20 cm de diamètre.
Avec de la patience, il cherche un outil qui lui permettent de casser le bois, sans rien trouver de tout à fait probant.

Qu'importe, il y va avec les mains, pètent les lattes en espérant ne pas attirer l'attention.

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Jeu 28 Jan - 15:31
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TANTRUM
Il se demande pourquoi Rage ne lui a pas simplement dit plutôt que jouer comme ça. Pensant être le plus mature, donc, il finit par céder à un compromis à condition d'être bien libéré : Il accepte le plan mais tente de le perfectionner pour avoir un peu plus confiance en l'idée.
410+ WORDS
FT. @RAGE
Bien qu’il devrait se sentir satisfait d’obtenir de telles réponses, complimentant (ironiquement) sa maturité mais aussi et surtout le plan dévoilé, les choix et mots de Rage le bouleversent. Lukas est capricieux mais surtout désabusé puisque l’autre ne lui laisse clairement pas son mot à dire et interprète. Il interprète peut-être bien. Même trop bien. Mais Sweetie n’a jamais dit qu’il ne respecterait pas le plan. Il a avoué vouloir le connaître avant de le suivre.

Mais t’es sérieux ? Pourquoi t’as pas juste dit tout ça plutôt et tu joues aux cachottiers ? Ça aurait été beaucoup plus facile, sachant qu’on a pas de temps à perdre.


Il s’interrompt parce qu’il aurait pu aller beaucoup plus loin dans sa plainte et le traiter de gamin, en guise de retour de bâton à ce tapotement infantilisant sur son crâne. On a pas de temps à perdre avec ça. S'il le pouvait, il se serrait pincer l'arête du nez. En réalité, c’est plutôt se montrer aussi énervé qui a tendance à le rendre aussi peu mature. Le souffle médité qu’il relâche en fait ce constat. Après tout, il ne peut pas émettre ses mille et un caprices, au vu de la situation : Ils sont obligés de faire des compromis.

Rage. Je suis bien conscient que je pourrais pas sortir sans toi, même si qu’on se le dise, je suis bien plus agile et discret que toi. Et inversement, du coup. Donc on va jouer à ton petit jeu des appâts mais libère-moi.


Ça l’agace tellement de tomber dans ce jeu-là qu'il en roule des yeux mais il doit admettre qu’il a plus de confiance en Rage qu’en ses ravisseurs, tout de même. Sweetie se sent, en réalité, de taille à affronter plusieurs personnes. Il ment partiellement. Mais augmenter le nombre de personnes dans son camp n’est pas de refus.

Au vu du travail pour nous ligoter, je pense pas qu’ils ont misé sur la sécurité. Au maximum, ils sont trois. Un ou deux rentreront. Je peux totalement en neutraliser deux. Ça te permettrait de les assommer avec ton truc.


Au plan que Rage a émis, il vient le compléter, comme pour essayer de se racheter. Bien qu’en réalité, il pense juste à le perfectionner. Ce pourquoi il lui indique même de se planquer, avec la tête, derrière la porte, plutôt que dans l’armoire. L’attaque fera moins de bruit et n’alertera pas l’éventuel troisième garde.
Il perfectionne, en réalité, ce plan, pour se l’adapter, et en être plus confiant que si c’était Rage qui imposait simplement ses règles. Après tout, Sweetie a bien fait preuves de compromis, l’autre peut bien en faire également.
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Jeu 28 Jan - 16:33

Coup de poings fermes


Tout affairé à agrandir le trou pour sortir de cet endroit, il l'entend répondre. Se justifier. ... Il ne retient que deux choses sur tout ce qu'il dit : conscient que je ne peux sortir sans toi" et "libère moi". Il avise un instant le trou qu'il a formé et jette un oeil analytique en faisant une ronde visuelle, mouvement de tête vers la gauche puis à droite.
Quel froid de canard, il commence à cailler.
Heureusement sa constitution (jeune) et sa tendance à avoir le sang-chaud, au premier sens du terme, lui permettent de ne pas faire le difficile.

Soudain, il entend des voix. Il demeure concentré quelques secondes, le temps de deviner leur nombre. .. ils sont trois ou quatre.
Il se recule brusquement pour replacer le placard contre le trou afin d'éviter de leur mettre la puce à l'oreille.
Et de toute façon...

- Fuck !

Jure-t-il d'une voix qu'il se veut feutré et indistincte. Il ne pensait pas qu'ils seraient quatre pour monter la garde. Puis, c'était quoi cet endroit, pense-t-il, ayant repéré aussi des habitations délabrées, semblable au sud de Arcadia bay.

Il revient jusqu'à Sweetie, l'écoute à peine s'il lui parle, et commence à défaire ses liens, vif, appliqué. Cette fois-ci, il en fait de même avec ceux des pieds, évincant le fait que le brun puisse le faire lui-même, puis... d'un coup, il parle, peu importe si Rage lui coupe la parole :

- Tu les entends ? Je vais me faire plaisir pour les bousiller. Fais semblant d'être attaché, je vais en faire de même.

Et il s'assoit une nouvelle fois sur la chaise, tout contre lui, dos à dos. Mains dans le dos, et tête basse.
L'idée de les prendre à revers derrière la porte avait été sa première idée mais ... s'ils voient Sweetie seul, ils pourraient comprendre et il ne voulait prendre aucun risque.

Il n'y avait plus qu'à espérer que personnes n'avaient d'armes à feu.

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Jeu 28 Jan - 17:34
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SHIT-SCARED
Il n'imaginait pas qu'il pouvait être quatre. Ça contrecarre ses réflexions et profitant qu'il ne soit pas pris pour cible, il prend la fuite. Il regrette automatiquement. (J'ai pas pu explorer cette partie mais il se demande pourquoi alors que Rage l'a saoulé et mérite pas) Discrètement, il revient à l'abri de jardin pour assommer une des deux femmes et lui voler son arme. Il menace les trois autres mais n'osent pas tirer.
555 WORDS
FT. @RAGE
Dans le feu de l’action, Rage n’écoute absolument pas les recommandations suggérées par son acolyte mais finit au moins par le libérer ; de quoi déclencher un soupir de soulagement chez le dernier détenu, qui n’a à peine le temps de tourner ses poignées pour les défouler. Il devrait donc les défouler autrement mais comment, sans armes ? Il serre autant les dents que les poings puisqu’il n’a pas été écouté mais aussi pour se préparer à l’échec dans lequel les entraîne Rage.

Et quel échec, effectivement. Un nombre pair d’ombres se profilent contre le mur maintenant éclairé par des lumières nocturnes.
Lorsqu’ils pénètrent tous les quatre dans le petit cabanon, Sweetie déglutit le surplus de confiance qu’il a en lui. Deux des types sont certainement plus grands que lui et Rage. Plus massifs, aussi. Ça ne marchera jamais. Qui sont ces types et qu’est-ce qu’ils peuvent bien leur vouloir ?

La réponse se dessine rapidement. Lukas a donc raison depuis le départ : Les gardes restent dos à l’entrée et se contentent simplement d’avancer d’un mètre ou deux vers Rage, l’encerclant, uniquement lui. L’un agite sa batte dans sa paume, les autres ricanent. Avec toute cette ambiance pesante qu’ils installent, ils somment Rage de leur rendre ce qu’il leur aurait volé s’il ne veut pas le regretter. Ils ignorent totalement Sweetie qui a visiblement même l’autorisation de se retourner, pour les épier. Sans vraiment réfléchir, les liens défaits et aucun obstacle en vue, le plus lâche des prisonniers finit par prendre la fuite. C’est sans doute la pire idée qu’il puisse avoir actuellement mais aucun ne l’arrête. Il laisse même tomber l’affaire, s’étant presque douté de ça. Ils concentrent leur revanche sur Rage, d’autant plus menacé, d’ailleurs, à cause de la dérobade du sous-fifre, leur seule monnaie d’échange.

Pendant près de trente secondes, l’espion file à toute allure. Il pense que Rage pourrait difficilement en réchapper. Il est pris d’une certain pincement. Mais même à deux, c’était difficilement possible d’en venir à bout. Mais si leur nombre était réduit d’au moins un, il y a peut-être une chance. D’autant plus que personne ne semble positionné à l’extérieur du cabanon.

En grand héros, Lukas charge une des ennemis, dos à la porte d’entrée, toujours, avec un des pavés qu’il a récolté dans un tas, non loin de l’abri de jardin. Il parvient à l’assommer mais s’assure de la neutraliser avec toujours ce fameux pied contre le thorax. Il n’a pas visé le plus massif mais celle qui était armée, tout à l’heure. Il se rappelle d’où elle a rangé son arme pour l’en défaire aussi vite. À ses yeux, c’est une stratégie redoutable puisque directement, il met en joue ses adversaires. Toutefois, jusqu’au bout, ils ne le prennent pas au sérieux et le lèvent pas les bras.

Mec, on t’a vu tout à l’heure. T’as même pas été capable de tirer à côté, au moins, plutôt que sur ton pote. C’est pas à nous que tu la feras.


Vous êtes pas mes potes, justement.


C’est seulement sur ce dernier point qu’il a raison. Sur le reste, ils n’ont pas tort. Incertain, ils les visent tous, changeant de cible en une seconde. Il resserre et desserre la gâchette plusieurs fois. Il n’osera pas tirer. Revenir est peut-être la nouvelle pire idée qu’un couard pareil ait eue.
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Lun 1 Fév - 22:12

Coup de poings fermes


Il ne s'était pas attendu à tout cela.
Ou si, mais pas autant. Il avait mal calculé, il pensait ne voir là qu'une ronde.

Ceux qui les ont attaqués montrent une certaine masse, des montagnes sur pattes. Pas ça qui ferait peur à Rage mais à 3 ainsi que l'intervention d'une arme à feu, la combinaison ne l'emballait absolument pas.

Puis la raison de l'enlèvement se révèle à lui, et Rage... demeure totalement silencieux. Il lève juste les yeux, suffisamment pour les provoquer du regard, les fixer de ses iris verts à la lueur plus qu'insolente.
Il se prend le coup de poing en guise de réponse, mais il ne peut continuer en constatant la fuite de leur deuxième proie, moins importante que le lieutenant.

Rage tourne la tête pour le voir partir et reste. Interdit.
Les yeux fixant cette silhouette qui prend la poudre d'escampette sans demander son reste.
Il ne sait pas pourquoi la déception le gagne, quand l'un l'attrape par le col de sa chemise pour le soulever.
Littéralement.

Continue comme ça, pense-t-il, sentant la frénésie gagner son corps. Sa respiration s'était elle-même emballée, le souffle erratique d'une colère grandissante.

Qu'ils continuent, se ressasse-t-il, permettant ainsi d'alimenter sa Rage intérieure. Mais etait-ce vraiment à cause d'eux... ?

Et puis, il entend du mouvement vers la porte d'entrée, attirant son attention, tout à sa surprise.

- Oh.

Le blond fixe Sweetie, ahuri.
AHURI QU'IL NE TIRE PAS.

Il allait jouer le violon du sarcasme, mais la stratégie n'était pas la bonne.

- TIRE !

D'un mouvement brusque, Rage assène un violent coup de pied dans la rotule de l'un des deux robustes et un craquement se fit entendre par cette action, suivi d'un cri.
L'autre garde du corps l'assaille alors avec l'effroyable intention de le réduire en bouillie, mais Rage se laisse tomber par terre et contourne la chaise pour l'attraper ensuite et la fracasser sur le type... qui accuse le choc mieux qu'il ne l'aurait prédit.

C'est ainsi que le blond se fit attraper précipitamment par le géant, pour se faire après soulever, et projeter sur le sol, dans un jet de force surhumaine.

Est-ce que Rage a supporté le choc ? Plutôt bien, il a juste le souffle coupé, à l'instar de cette sensation ressentie après être tombé d'un cheval. En plus violent.

Et bien entendu, l'homme était déjà à deux doigts de charger et d'écraser tout son poids sur le Lieutenant, prêt à faire sa roulade.
Mais il attendait....

Quelque chose.
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Mer 3 Fév - 5:14
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ANARCHY
Il a du mal à tirer et ne le fait que lorsque les gens devant lui sont plus immobiles. Il tire à terre, près de Rage et du garde qui le retient prisonnier, pour voir le nombre de balles (tirage de dé) restantes et démontrer qu'il en ait capable. L'autre garde neutralisé par Rage tente tout de même de le faire faillir mais il esquive. Confiance upgraded, il peut se permettre de menacer l'autre s'il ne relâche pas Rage. À toi de voir pour ça !
391 WORDS
FT. @RAGE
Toutes les images s’emballent trop vite en un laps de temps bien trop court. Il n’a le temps de rien digérer. Cette remarque à son insu, cette attaque surprise du blond, la tombée d’un des molosses et la prise d’otage de Rage. Son viseur ne sait où se positionner et il change de cible. Passant parfois sur un garde, à peine décidé, puis sur Rage, par maladresse.
Il aurait dû tirer quand on lui a hurlé dessus. Il n’y avait pas autant de confusion que maintenant. Il était même prêt. Mais même si le cran entre son doigt et la gâchette s’est resserré à ce moment-là, rien n’est sorti.
Sweetie est beaucoup trop fier pour t’écouter. Même si la situation fait vriller une part de sa confiance en lui, son arrogance reste intacte. Il peut le faire, il suffit juste du bon moment.

Le lieutenant est prisonnier, non pas de ses bras, mais dans ceux d’un autre. La situation a changé : Rage n’est plus l’adversaire. Et pour autant, inconsciemment, ce défilements d’événements confus, ça l’amuse. Alors que tout le monde se fichait bien de lui, il y a plusieurs heures ou quelques minutes, les autres sont à terre, agonisants ou à se débattre, sans arme si ce n’est leurs poings. Lukas est le seul debout, le contrôle en main. Du moins, il préfère le vérifier. Un coup résonne à terre. Il a tiré pour voir si l’arme disposait bien de balles. À priori oui et c’est un coup de victoire qui dessine un sourire sadique. La balle est partie près de l’épaule de l’assaillant et près des yeux de l’encagé. C’est une simple démonstration mais cette fois, elle est bien partie.

La prochaine fois, c’est ton épaule. Puis si tu comptes toujours pas le relâcher, je compterai jusqu’à cinq et je toucherai l’autre épaule. Toujours pas, on recommence. Te plains pas si ça finit en marre de sang.


Il ne se sent pas capable de tuer un homme. Lui faire du mal, dans de telles circonstances, le dérange beaucoup moins. Sa méfiance s’est accrue et si l’autre, qui a été pourtant dégagé hors du champ de bataille par Rage, grogne et tente de le faire valser, il esquive en un saut, signe qu’il n’est pas aussi faible qu’on le pense. Reste à savoir si l’autre type compte bien lâcher Rage.
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Mar 9 Fév - 17:14

Coup de poings fermes


Le ricanement de l'armoire à glace ambulante leur fit froid dans le dos ; il ne sembla prêter aucun crédit à l'ex-green qui pourtant, le tenait clairement en joue.
Rage s'était quant à lui laissé attraper dans la seule optique de tester son rookie. Fourbe qu'il était.

La situation ne lui permit pas néanmoins de se dégager de sa cible, séance tenante. Au contraire, la poigne de son adversaire était telle qu'il se retrouvait finalement bloqué. Et l'intervention bancalement audacieuse et à la fois stupide de son homme de main le décevait, sans toute fois le surprendre réellement.
Dans un sens, il entrevoyait chez le brun un désir réel de paix ou en tout cas de non-violence, et par extension d'abnégation.
A moins qu'il ne s'agisse tout simplement de lâcheté, il ne le sut guère. Les secondes s'effilèrent bien rapidement et quand le coup partit, le sang de Rage ne fit qu'un tour. Les yeux ronds comme des soucoupes. D'une voix autoritaire, il maugréa :

- Tu veux nous faire tuer avec tes conneries ?!

Quand bien même le Lieutenant était soucieux de Sweetie comme de leur propre survie, il exprimait souvent l'inverse dans les mots. Et son hésitation le rendait fou.
De toute évidence, la pseudo-cible de Sweetie ne comptait pas lâcher son emprise sur le blond qui perdit patience. Dans un accès de rage, il enfouit ses dents dans la chair du bras qui le maintenant et ne se fit pas prier pour tenter d'en arracher un morceau, faisant hurler l'enculé qui le tenait.
En même temps, une ombre apparut dans le dos de Sweetie et d'un mouvement malhabile, enfonça son couteau dans ce qu'on pensait être la poitrine du brun, mais ne visa finalement que son biceps.

Cette scène fit rater un battement de coeur chez le blond. D'abord immobilisé par la frayeur de perdre l'un des siens, son expression devint plus morne. On l'agrippa par ses cheveux pour l'ôter de sa tentative de blessure par morsure. L'adrénaline aidant, Rage avança le port de sa tête vers l'avant et par extension tira sur ses cheveux (quitte à en arracher plusieurs) pour se substituer de la prise de son assaillant avant d'attraper le bras qu'il avait mordu pour le tordre dans un sens qui décontenança et vrilla totalement l'adversaire. Après coup, le lieutenant fut libéré de son emprise et d'une mandale en pleine gueule, il l'acheva pour le mettre à terre.

Il bondit ensuite sur sa prochaine cible : celle qui avait osé attaquer son rookie par derrière. Il lui fonça litteralement dessus et quand sur la défensive l'autre homme de main l'agressa au couteau, Rage ne fit pas attention à la douleur qu'il reçut et attrapa l'arme à s'en faire saigner la paume pour retourner celle-ci contre sa proie et l'enfoncer dans son poumon droit.

Cette fois-ci la situation s'était complexifiée et empêchait tout bonnement que Rage prenne son temps. Il arracha des mains l'arme de Sweetie et appuya sur la gâchette pour achever sa cible, quand aucune balle ne sortit de sa chambre. Contrarié, il débita les coups en s'excitant sur la gâchette et finit par la jeter par terre avant de sommer :

- Ramasse-là, on s'tire !
©gotheim pour epicode


résumé:
Holiday
Agent double dose de Love
Agent double dose de Love
Métier infirmier
Avatar dick grayson (DC) + finn wittrock
Holiday
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Dim 21 Fév - 1:54
PERSONA'S ICON
HOT-BLOODED
Son tir n'impressionne personne. Rage doit prendre les choses en main et se mt à mordre son assaillant ce qui surprend Sweetie mais pas plus que le reste. Son bras est entaillée, il a esquivé un couteau dans le coeur. Rage s'emballe et rend l'attaque en triple. Sa victime morte, Sweetie panique mais ne fait qu'écouter Rage et s'enfuit avec l'arme. Il s'interroge sur ce qui est aujourd'hui bon ou mauvais. Grosse introspection à venir entre les deux bjr, la réponse fait transition j'imagine en vrai.
574 WORDS
FT. @RAGE
Ce n’est pas à blanc qu’il a tiré. La balle était bel et bien là et s’est bien plantée dans le sol. Mais c’est dans le vide qu’il a tiré. Son tir, si ce n’est surprendre un Rage hurleur, ne fait pas évoluer la situation plus que ça puisque l’assaillant du lieutenant ne bouge pas d’un iota ; même, il ressert sa prise autour de la nuque de sa victime. Toute la mise en scène de Sweetie ne fait trembler personne. Ça le fait trembler de colère. Mais pas une colère aussi grondante de celui qui porte le surnom adéquat.

Ce n’est probablement pas l’improductive décharge qui l’a fait réagir mais bien qu’on se foute d’eux, qu’on cherche à en faire encore des victimes. Et finalement, peut-être que ça aurait été mieux que rien ne se réveille en Rage.
Tout part plus vite que le shoot métallique à tel point que Lukas peine à suivre : il ne s’attendait déjà pas à cette morsure, l’attaqué non plus. Les yeux ébahis devant cette scène, sa méfiance ne vaut rien face à ça ; il ne détecte que bien trop tard que l’autre type, qu’il pensait, dans son outrecuidance, avoir plus ou moins neutralisé. Ce dernier revanchard tente de lui planter un poignard avec une telle franchise que Lukas la perçoit, moins aveugle, et tente de l’esquiver avec de pitoyables réflexes.

Le sang coule. On visait le cœur, c’est son bras qu’on transperce.
Le sang ne fait qu’un tour. Ce sont les doigts de Rage qui transperce l’attaque et tente de subtiliser, avec encore plus de franchise, l’arme du crime. Simple idiot spectateur devant le carnage, il ne fait que crier le surnom du lieutenant pour qu’il arrête ça. Pourquoi insiste-t-il autant ? Pourquoi a t’il fait ça ? Pourquoi est-ce qu’il a même voulu empirer les choses avec cette arme sans balle maintenant ?
Sweetie ne comprend rien et ne s’attendait pas à de telles proportions. Il ne s’attendait pas à autant de sang et de voir un homme écroulé. L’autre, immobilisé précédemment par Rage, hurle sa terreur et sa revanche. Le brun n’arrive pas même pas à faire ça. Il est beaucoup trop sous le choc.

La voix de Rage tente de le ramener à la raison. La fuite, oui, ça, il peut probablement le faire. Ses yeux sautent sur l’arme délaissée. Effacer toutes les preuves qu’ils étaient là. Mais tout le monde s’en fiche. Lukas n’a rien d’autre hormis de suivre l’auteur du crime.

Rage… Il vient de se passer quoi là ? T’as vraiment tué quelqu’un ?


Une question bien trop idiote qui ne mérite pas d’être répondue. Ils ne font que fuir ; fuir la réalité. Il n’y a personne pour arrêter ces fugitifs, comme il l’a remarqué tout à l’heure. Il n’y a aucun jugement qui tombe, comme l’espion pourrait s’y attendre pour avoir autant hésité à tuer.

Il ne sait pas s’il doit l’insulter ou lui demander s’il va bien. Lui ne va pas si bien, en tout cas.

La vie n’est vraiment plus la même. La vie chez les pirates est même encore bien plus différente.
Qu’est-ce qui est donc bon ou mauvais ? Il ne sait pas le dire. Il ne fait aucun jugement sur le meurtre de Rage.
Il s’en détache, bien entendu, aussi lâche qu’il est. Mais devrait-il aussi se détacher de ce qui est moralement acceptable pour être inclus en tant que pirate ?
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Dim 21 Mar - 22:03

Coup de poings fermes


Il s'en contrefichait de tuer ou non. Il ne s'agissait pas d'un clan d'enfants de choeur chez les pirates, et, décidemment, le blond en venait à sourire salement de la remarque de Sweetie.
Là. une question le tarauda : l'impact allait être puissant, il le savait :

- Qu'est-ce que tu fous chez les Pirates, Sweetie ? T'aimais pas la vie en vert, et t'aime pas celle en rouge maintenant ? Alors quoi, tu vas rejoindre les bleus chevaliers ?

Rage était encore dans un certain accès de colère. Avec Bm ou un autre, il aurait probablement eu moins de problèmes à gérer l'affaire. Dieu sait que pourtant il reconnaissait le courage de Sweetie, tout à l'heure, quasi-suicidaire. Ca l'éprouve.
Il ne pouvait même pas lui en vouloir d'avoir agi de manière aussi téméraire. Parce que dans le fond, s'il ne l'avait pas fait, Rage lui en aurait voulu ; ou au mieux, l'aurait zappé de son esprit.
Mais dans le fond, il savait le brun plus intéressant et investi qu'il ne l'avait pensé. ... sauf que vivre chez les pirates allaient naturellement le déconstruire..

Sa voix se montre un tantinet plus douce, car il souhaite aborder le sujet avec sérieux, tandis qu'ils s'éloignaient naturellement du camp des chevaliers... ou des greens.

- Tu vas finir par te brûler les ailes, mon petit ange. ... Tu n'es pas fait pour être pirate. Tu es fait pour coucher avec moi ou un autre, et tu es fait pour ... Juste plaire !

Ce que disait Rage était réducteur au possible. A l'instar d'un Ken et de sa barbie, il ne le voyait pas autrement que séducteur, charmeur au possible. sa belle gueule pour seul gage de maitrise.
Pourtant... quelque part au fond de Rage, il sentait que le brun était plus que ça.

- A moins que tu ne me caches des talents cachés.
Oui. Rage se fichait éperduement d'avoir tué quelqu'un. Ou d'être sorti d'un guet-apens. Là tout de suite, sa seule préoccupation, c'était Sweetie ; et peu importait s'ils étaient blessés ou non. Il voulait savoir la raison de sa présence chez les Pirates.
©gotheim pour epicode


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coups de gueule (⁂) rage & sweetie (end)
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