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jeux d'ego (⁂) capharnaüm & sweetie

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Mer 1 Juil - 17:01
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SUGGESTIVE
Invité à se faire coiffer chez Capharnaüm, Sweetie éprouve encore du remord face aux nombreux refus passés. Ainsi, il prend beaucoup de retard pour se rendre chez lui et invente une mauvaise excuse pour sa venue, mais n'en présente aucune pour son retard. Il cherche à le titiller.
307 WORDS
Le soleil déjà bien levé mais pas à son apogée, il peut deviner qu’il est assez en retard. Son nez pointé en l’air vers l’astre lumineux, il le repose nonchalamment vers la route, les mains dans les poches. Pourtant, Lukas est une personne fortement bien organisée et a connu des retards à de rares exceptions, à cause d’importants problèmes. Mais cette fois-ci, il n’a aucune excuse et cela ne semble pas le déranger car il n’augmente pas le rythme de sa cadence. Il le ralentit, même.

En fait, on peut même dire que Sweetie a consciemment calculé ce retard, souhaitant expressément se faire désirer par son rendez-vous. Après tout, ce dernier l’a rejeté maintes fois il y a encore un mois de cela, donc il ne doit certainement pas lui montrer qu’il soit faible. Toutefois, le célibataire ne peut retenir son propre instinct. Il s’est laissé séduire, au bout d’une vingtaine de minutes, peut-être. Mais il reste encore fine bouche et demande des preuves.

Le temps qu’il perd le long de la route le conduit à réfléchir à une excuse pour sa venue. Il ne doit certainement pas venir exclusivement pour son hôte. Il doit le rendre jaloux. Il trouve une panoplie de mensonges, qu’il pourrait éventuellement rétorquer tout le long de leur rendez-vous.

Je pensais qu’il y aurait plus de femmes. J’étais surtout venu pour ça. Je suis un peu déçu.


C’est le premier qu’il sélectionne lors de son entrée dans ce « salon ». Ses perles glacées par le dédain balayent rapidement la pièce pour faire semblant de traquer une présence féminine. Les bras croisés, il repose son regard froid contre son hôte, attendant patiemment ce qu’il puisse lui délivrer comme réplique ou service.
Il sait très bien que Capharnaüm le juge comme un homme à femmes et a volontairement opté pour cette réplique railleuse.
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Ven 3 Juil - 17:43
jeux d'ego
La tempête, le chaos et le désastre de la ville justifient-ils désormais le manque de ponctualité ? Certainement pas. Et pourtant, c'est bel et bien un retard qui estinfligé au plus sublime des coiffeurs, ni plus ni moins Ezekiel, rebaptisé sobrement Capharnaüm. Oui un retard. Un impardonnable retard par le plus impardonnable des clients. Ou faut-il parler de « futur » client ? Puisque le cher et tendre Sweetie n'a pas encore eu l'honneur de passer sous les ciseaux de sa noble personne. Et maintenant qu'il lui offre ce privilège, le voilà qui ose le faire patienter ! Ou peut-être ne viendra-t-il pas ? Après tout... Capharnaüm n'est pas bien sûr qu'il ait dit oui, il a simplement pris pour argent comptant sa prise de rendez-vous, ne songeant pas une seule seconde à ce qu'elle puisse faire l'objet d'un refus. Sweetie l'a tellement de fois imploré, supplié, prêt à sacrifier sa vie pour qu'on prenne soin de ses mèches chocolatées (à deux ou trois détails près de légère exagération), alors pourquoi laisserait-il passer une si belle occasion ? Ah oui... Peut-être parce que le coiffeur s'est montré quelque peu « inaccessible » les premières fois. Le nœud du problème est peut-être, mais vraiment PEUT-ÊTRE, ici.

Et il soupire bruyamment, faisant pencher sa chaise en arrière sur laquelle il a posté son royal derrière. Les yeux rivés au plafond, tanguant dangereusement pendant qu'il maudit ce bad-boy de bas étage certainement plus occupé à faire les yeux doux à la première minette venue plutôt que d'honorer ses obligations.

Mais c'était sans compter sur cette voix caverneuse qui le fait remettre sur pied et détourner le regard. Il est là. Et un sourire satisfait se dessine lentement sur les lèvres d'Ezekiel. Ses jambes se croisent délicatement, avant qu'un de ses coudes ne vienne s'appuyer sur son genou et son menton se poser au creux de sa paume.

« Je peux porter une robe si tu veux. Ou bien un ensemble de lingerie. Paraît que le porte-jarretelles me va à merveille ! Et je dis ça en toute modestie. »

Répondre à la provocation par plus de provocation. Et sur ces entre-faits, il se lève, marche élégamment vers une autre chaise.Une vieille à roulettes, plus confortable que celle sur laquelle il était à l'instant assis, même si en fâcheux état. Qu'il tourne vers lui dans une invitation on ne peut plus clair.

« Mais ça risque de te distraire, tu vas tourner la tête dans tous les sens et une de tes charmantes oreilles risquerait d'y passer. Ce serait dommage tu trouves pas ? »

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Lun 6 Juil - 21:37
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POINTLESS
Sweetie prétend ne plus avoir besoin des services de Capharnaüm, désormais. Il est même étonné que ce dernier ne lui propose que seulement maintenant. Il est assez peu réceptif aux blagues que lui rend Capharnaüm mais tente d'être aussi exubérant.
390 WORDS
Il semblerait qu’il ne soit pas le seul à vouloir jouer à ce jeu moqueur. Toutefois, Sweetie estime que son interlocuteur ne peut disposer de ce droit puisqu’il l’a bien assez fait dans le passé. Ainsi, il répond avec une neutralité déconcertante puisqu’inappropriée à son hôte, ses yeux ne le regardant même pas mais observant plutôt autre chose : Une des seules chaises disponibles pour les clients mais sur laquelle, pourtant, réside le postérieur du coiffeur. En définitive, il regarde en sa direction mais pas le vagabond, directement.

Ça m’intéresse pas, de toute manière. Je suis pas venu ici pour te voir fanfaronner en talons.


L’idée ne lui paraît, cela dit, pas absurde, ce pourquoi il n’éprouve aucun étonnement face à cette idée cassant les codes. Il hoche simplement les épaules et se positionne sur la place qu’occupait précédemment Capharnaüm. Cela dit, il ne se positionne pas de telle sorte à être traité mais plutôt comme s’il s’apprête à poser cartes sur table.
Ses pieds conquérant pleinement le sol.
Ses phalanges croisent le fer, dans une poigne tout aussi dure.
Son dos voûté vers son adversaire, le sourire doucement vainqueur.

Oh parce que tu comptes vraiment t’occuper de mes cheveux, maintenant ? Après m’avoir presque hurlé dessus de ne plus te harceler ?


Sweetie a sa version des faits et elle est probablement exacerbée, en effet. Or, son impression sur ces moments reste encore en travers de sa gorge car selon lui, Capharnaüm n’a jamais voulu le coiffer par pur caprice. Il ne lui a jamais évoqué la réelle raison. À moins que sa rencontre ratée avec la reine soit vraiment un facteur important mais dans ce cas, ce type manquerait cruellement de clientèle.

Pourquoi je dirai oui maintenant ? T’es en manque de clientèle maintenant ou quoi ? Après tout, j’aime bien mes cheveux actuellement, j’ai pas de raison de les couper. T’as quelque chose à me proposer, en échange ?


Si Capharnaüm veut vraiment le défier, Sweetie n’est jamais contre, même s’il ne s’agit pas de son domaine. L’extravagance n’est pas non plus inconnue au Green s’il la couple avec son arrogance démesurée. Il a beau ne pas apprécier ses longs cheveux atteignant, désormais, un peu plus haut que sa mâchoire, il sait pourtant les mettre en valeur et se pavaner, en les repoussant vers l’arrière, d’une main.
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Mer 8 Juil - 19:25
jeux d'ego
Oh, c'est terriblement amusant ce regard déterminé, cette façon de s'imposer... cette attitude de mâle dominant. C'est tellement lui, tellement l'aura que dégagerait n'importe quel garçon doté d'un physique aussi agréable que le sien et de l'intelligence relativement modeste de n'importe quel citoyen moyen américain. Ah quoique, voyons, il s'agit toutefois ici d'un sujet de sa majesté. Mais à croire que les comportements d'un homme de ce type n'ont pas de frontière.

Alors Capharnaüm s'appuie légèrement sur la table jouxtant la chaise sur laquelle Sweetie vient de s'assoir. Une simple table récupérée à la va-vite lui servant à étaler ses divers accessoires pour sublimer ses clients. Sa hanche se colle donc dans un mouvement détaché, et ses bras se croisent sur sa poitrine. Sourire au coin alors qu'il ne lâche pas du regard le brun conquérant.

« Quoi, tu voudrais que je m'excuse ? Que j'implore ton pardon pour t'avoir dit simplement non ? Que je m'agenouille devant toi pour m'absoudre de mes pêchés ?! » Une main vient se coller sur son front dans un geste mélo-dramatique dont il a secret, regard désormais rivé vers le plafond « Oh mon Dieu, s'il-vous-plaît, pardonnez mes offenses - » Il s'arrête un instant avant d'interroger du regard son potentiel client « C'est bien ça qu'on dit hein ? Pardonner mes offenses machin truc ? T'es un bon chrétien toi, tu dois connaître ça par cœur nan ? Bref. J'en étais où ? Ah oui ! »

Et Capharnaüm se redresse, ses mains se joignent devant lui, mimant une fausse prière. Et d'une voix plaintive, le voilà qui reprend, avançant de quelques pas, lentement vers Sweetie.

« Je vous en prie, pardonnez moi, j'ai vraiment été un vilain garçon, un très très vilain garçon. J'ai osé, oui, OSE, dire non à ce charmant jeune homme. J'ai refusé de coiffer ses belles mèches chocolatées. Quel blasphème ! Comment me faire pour me repentir ? Dites le moi, je vous en prie ! »

Désormais arrivé jusqu'à lui, le voilà qui se laisse tomber brutalement pour s'agenouiller face à lui. Ses mains se séparent finalement et son coude se pose machinalement sur l'un des genoux du Pirate. Son visage se pose dans le creux de sa main, dévisageant l'autre dans un ricanement non dissimulé.

« J'ai absolument rien à te proposer Sweetie.
Rien.
Nada.
Que'tchi.
Par contre, on sait tous les deux – toi et moi – que ces pointes qui rebiquent sur tes oreilles 
» Et il se permet de joindre les gestes à la parole en faisant valser quelques mèches de cheveux du bout de ses doigts, se moquant pas mal de la proximité qu'il instaure et d'un potentiel envahissement de l'espace personnel de l'anglais « c'est absolument a-ffreux. Donc à toi de voir. Si tu veux ou non passer sous mes doigts de fée. Si tu veux briser encore plus les cœurs sur ton passage. »

Et il termine sa démonstration dans un sourire charmeur. Sans oublier de papillonner des yeux. Tout cela pour tenter d'amadouer celui qu'il souhaite à tout prix faire passer sous ses ciseaux.

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Lun 13 Juil - 14:35
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RISKY
N'appréciant pas que Capharnaüm puisse s'en sortir aussi facilement et jugeant plus être un de ses cobayes, Sweetie est d'accord pour ne pas recevoir de rémunération avant sa coiffure mais le menace de lui faire payer si la coiffure est ratée, à son goût. Pour cela, il a été dégoté une paire de ciseaux pour rater la coiffure du coiffeur, en cas de besoin.
463 WORDS
FT. capharnaüm
Tout le jeu que lui livre l’acteur amateur a de quoi profondément le dégoûter. Pourtant bien calé sur sa chaise, pieds ancrés sur le sol, sa position dominante, digne d’un charognard, est assez vite déstabilisé par cette mise en scène grotesque. D’autant plus que les adjectifs que Capharnaüm le parent sont tout sauf véritables ; ils font presque mal. Encore une fois, on le compare à deux types de profil qu’ils ne supportent pas : le beau bon samaritain mais surtout le garçon de chœur pieux.

Rien de tout cela n’est vrai et à peine le clown termine son spectacle et tente de conclure un marché sans équivalent, Sweetie recule, cette fois-ci, appuyé contre le dossier du siège. Ce repli lui permet de libérer ses mèches critiquées par des doigts inquisiteurs. Pourtant, il se ravise assez vite en courbant une nouvelle fois le dos et tutoie du doigt, lui aussi, la poitrine de l’homme à ses genoux.

Alors écoute moi bien.


Vraisemblablement, il ne l’a pas écouté, effectivement, pour lui dire que ses pointes ne sont pas impeccables alors que lui en est satisfait.

Je me suis déplacé. J’ai fait l’effort. À toi de me rendre la pareille. Parce que clairement, c’est pas garanti qu’avec ton matos, ça se conclut en franc succès.


Son doigt dérive, justement, vers l’atelier de fortune de Capharnaüm, déballé plus loin devant ses yeux. Bien qu’audacieux, il est assez frileux quand cela concerne sa mise en beauté et ne souhaite pas être soumis aux coups de ces instruments qu’il juge rudimentaires ; lui qui avait l’habitude de dépenser le prix fort pour ce genre de service. Être le cobaye de tels coups de ciseaux devrait lui être rémunérés.

Le jeune homme se redresse pour examiner de plus près le matériel professionnel. Il se munit d’une paire de ciseaux et l’inspecte, sceptique. Les deux orifices entre ses deux, il revient vers Capharnaüm. Glissant furtivement ses doigts entre une épaisse mèche écarlate mais aussi les lames, Lukas se met à dépeindre un air faussement innocent sur son visage.

Ça coupe vraiment ce truc ?


Sa concentration portée contre le fragment de cette chevelure, il reporte ses orbes contre la victime de cette farce, un sourire simple et yeux clos. L’amateur retire la paire de ciseaux de la captive mais les agite de manière menaçante devant le regard de celui qui essaye de menacer.

D’accord, pas d’échange maintenant. Mais t’es prévenu, si tu me rates, j’hésiterai pas à te poursuivre et te rendre le double.


Ce chantage taquin peut être rangé dans l’humour de mauvais goût du jeune homme. Nul n’est sûr s’il compte vraiment accomplir cette vengeance mais il range l’arme dans la poche avant de son jeans pour sceller le contrat ; toujours sans accord.
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Mer 15 Juil - 18:56
jeux d'ego
Capharnaüm bouderait presque. C’est qu’il n’aime pas qu’on lui dise non, qu’on fasse de la résistance. D’habitude, c’est lui qui se fait désirer. Et il préfère largement quand ce sont les autres qui s’agenouillent devant lui. Mais Sweetie a décidé de lui en faire baver, de lui rendre la monnaie de sa pièce. Cela pourrait être compréhensible mais aux yeux du coiffeur, c’est simplement un outrage. Et il se retient de justesse de ne pas tout envoyer balader... parce qu’il en a besoin maintenant, affreusement besoin, de passer ses mains dans les mèches sombres pour les coiffer. Ca ne s’explique pas et il ne s’attend pas à ce que l’autre cherche à comprendre. Personne n’arrive véritablement à entrer dans sa tête et à analyser avec justesse tous les rouages de ses réflexions. Il s’agit de son monde, de ses désirs, de ses attentes. Et il agit en fonction de toutes ses impulsions qui le guident sans véritablement s’attarder sur ce qui est acceptable ou ne l’est pas.

Mais il y a bien une chose qui n’est absolument pas acceptable, vraiment pas, c’est qu’on menace de lui couper les cheveux. Et pourtant, Sweetie a osé. IL A OSE. Et ses yeux se rétrécissent en deux fines fentes. S’il pouvait, il l’assassinerait du regard. Mais il lui accorde au moins une chose, ce garçon n’est peut-être pas si emmerdant que ça et sait rendre les coups. Son culot le rend bien moins ennuyeux qu’il n’y paraît. A croire que le nouveau Pirate a encore des choses à lui révéler… Et c’est bel et bien la raison pour laquelle il a fait en sorte de l’amener jusqu’ici, découvrir un peu plus sous cette surface trop lisse.

« Donc j’en conclus que je n’ai pas l’autorisation de te raser les cheveux ? » qu’il répond amusé tandis qu’il se relève.

D’un mouvement gracieux et digne d’une pub l’Oréal, il balance une de ses mèches vers l’arrière avant de poser lourdement son regard sur celui qui semble prendre un peu trop ses aises.

« Je comprends que tu sois jaloux de ma belle crinière – qui ne l’est pas ? – mais essaie d’y toucher une nouvelle fois et tu peux dire adieu à tous les Sweetie Junior qui attendent impatiemment dans le fond de tes testicules que je prendrais grand soin d’écraser. »

Menace lancée tout sourire, il sautille même sur place, on pourrait presque penser qu’il ne vient pas d’évoquer la possibilité de castrer purement et simplement son potentiel client. Mais pas besoin de s’attarder plus longtemps sur un tel point de détail. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Et il se glisse derrière le jeune homme pour faire tourner la chaise brusquement et le mettre ainsi face au miroir. Bien que légèrement fissuré sur un angle, celui-ci est resté dans un état quasi parfait. Un petit miracle dans le chaos. Miracle que Capharnaüm s’est empressé de dérober.

Du bout de ses doigts, il effleure légèrement la peau de la nuque qui lui est désormais offerte, s’abaisse légèrement vers l’oreille, prêt à lui susurrer des mots doux.

« Comme tu m’as l’air teeeeellement doué pour m’attraper mon matériel, pourrais-tu me passer le peigne et le spray qui se trouvent juste en face de toi ? »

Il lui suffirait de pas grand-chose pour les attraper lui-même pourtant, de se décaler et de se pencher pour les atteindre sur la petite table qui leur fait face. Mais c’est plus amusant ainsi.

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Sam 18 Juil - 13:12
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FEARFUL
Sweetie ne l'avoue(ra) pas mais les menaces de Capharnaüm l'affectent légèrement pour qu'il veuille encore y répondre, finalement. Il souhaite imposer le rythme en ordonnant au coiffeur de se reconcentrer mais il cherche toujours à l'intimider — quitte à le faire taire — à lui présentant une de ses armes après lui avoir donné spray et peigne.
413 WORDS
FT. capharnaüm
La vie imprudente qu’il mène n’est que trop bien représenter par les armes rangées aussi dangereusement dans un simple pantalon. Un revolver dans la poche arrière, une paire de ciseaux dans l’avant. Or, Sweetie ne semble pas craindre les coups de feu ou entailles qu’il peut s’infliger. A-t-il peur des autres pour déglutir quand un rasoir incontrôlable se dirige vers lui ? En tout cas, Sweetie n’apprécie pas qu’on puisse le toucher avec un manque de permission pareil et balaie l’idée de Capharnaüm comme il repousserait l’outil imaginaire.

Concentre-toi. J’ai l’impression que tu prends rien au sérieux. Que ce soit la menace ou la coiffure. Je me demande si j’ai bien fait de venir, même.


Et il se tait, mimant une moue mécontente plutôt qu’une peur certaine, les bras croisés et son dos s’écroulant contre le dossier du siège. Cette dernière action fait justement vibrer la chaise, comme pour imposer Capharnaüm de s’atteler à la tâche mais ce dernier poursuit les intimidations sur lesquelles le Pirate soupire. Il joue la lassitude pour se donner de la confiance.

Et la même musique éreintée s’échappe de ses lèvres lorsque le coiffeur s’approche trop près, à en faire frissonner sa nuque, mais, à priori, pas assez pour se munir de son équipement. Ne fouillant pas assez discrètement dans une de ses poches, il déguise, à l’intérieur, sa main infiltrée, avant de l’extirper et attraper les requêtes du vagabond.

Ayant préparé son tour de magie, il décide de le présenter. Violemment, il lance, par-dessus, son épaule, la bombe à l’aveuglette. Reste à savoir si Capharnaüm est capable de la réceptionner puisque le tir est loin d’être précis. Mais avant même qu’il ne puisse la récupérer, il lui tend aussi furtivement le peigne, maintenant fermement dans sa poigne, gantée d’un poing américain récupérée quelques secondes plus tôt.

Si tu pouvais arrêter de me prendre pour un servant, ça m’arrangerait. Arrête de me causer et fais ce que tu as à faire.


Il n’a pas frappé le coiffeur, il lui a juste donné son peigne à ce dernier. Toutefois, il a bien voulu donner cette illusion qu’il est capable de l’attaquer, en revanche, avec son arme.
Il n’a pas peur des armes qu’il manipule mais celles des autres, peut-être un peu. Pas forcément de ce rasoir mais de la promiscuité avec laquelle Capharnaüm joue. Il ne cesse de se rapprocher de Sweetie, voulant percer plus que couper. C’est sans doute pour cela qu’il lui a demandé de se taire.

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Ven 24 Juil - 11:20
jeux d'ego
Ne rien prendre au sérieux. Cela pourrait être son crédo. Si ce n’était pas aussi long, cela aurait pu aussi être le nom de son salon de coiffure. Sauf qu’il n'y a pas de jeux de mot débile à faire. Peut-être que cela pourrait simplement être son épitaphe ? Ezekiel Pearson, dit « Capharnaüm », ne rien prendre au sérieux, bisous. Ouai, ça sonne bien. Il devrait peut-être remercier Sweetie de lui donner une idée aussi délicieuse. Mais légèrement morbide. La mort est suffisamment présente autour d’eux depuis quelques mois. Et malgré son manque flagrant dé sérieux, Capharnaüm parvient parfois à rester les pieds sur terre et faire preuve de lucidité.

Mais ses réflexes, eux, sont aux abonnés absents depuis un certain temps. Et le spray passe à quelques centimètres de son visage sans qu’il ne parvienne à le saisir au vol. Avant de chuter lourdement par terre. Alors forcément, Capharnaüm grogne.

« Maaaaiiiiis ! T’as vraiment de la chance que j’sois sympa, je te l’aurais foutu bien profond sinon pour avoir osé le balancer comme ça ! Tu sais ce que c’est au moins ? Hein ?? Gros malin va ! »

Il se penche pour récupérer le pauvre malheureux qui n’a pourtant aucun dégât à déplorer. Il s’agit d’un spray après tout. Pas d’un lustre en cristal. Mais son nez est toujours froncé, ses sourcils aussi, dans une mine mécontente légèrement sur-jouée comme il en a le secret. Et il attrape sèchement le peigne désormais tendu. Son regard s’appuyant un instant sur cette main étrangement habillée.

« Oh je savais pas que t’étais du genre à aimer les bagues ! C’est bien Sweetie d’assumer sa part de féminité. Des mecs comme toi, ça me redonne espoir en l’humanité. »

Mais c’est un rappel à l’ordre, il l’a bien compris. C’est qu’il ne doit pas oublier qu’il s’agit désormais d’un Pirate, sans foi ni vergogne. Même s’il doute encore un peu de tout ça et que Sweetie est justement là pour éclairer ses doutes. Mais quoiqu’il en soit, face à lui, Capharnaüm ne ferait clairement pas le poids avec ses petits poings.

« Allez chéri, on bouge plus maintenant, et on passe aux choses sérieuses. »

Et sans attendre, il vaporise les mèches sombres de quelques coups de « psshit ». Il n’a malheureusement pas le luxe d’offrir un shampoing digne de ce nom et se contente d’humidifier simplement les chevelures d’une eau devenue si précieuse. S’adapter encore et toujours. Une habitude dans ce monde en pleine reconstruction. Puis quelques coups de peigne pour démêler, et étaler l’eau jusqu’au bout des pointes.

« Ah, par contre… j’vais avoir besoin de mes ciseaux. »

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Ven 24 Juil - 17:51
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OBVIOUS
Lorsque Capharnaüm parle de bagues, Sweetie pense directement à l'alliance qu'il porte. Il répond de manière plutôt virulente et s'en sépare immédiatement, tout comme son poing américain. Néanmoins, elle reste sur le comptoir et pour éviter d'en reparler, Lukas s'exécute à tendre les ciseaux qui viennent de sa poche (j'ai pas décrit qu'il se tortillait mais oui) et provoque (encore) Capharnaüm, lui rappelant que le client est roi.
380 WORDS
FT. capharnaüm
Plongé dans le miroir plutôt que derrière lui, il ne porte pas d’attention aux plaintes du coiffeur et à sa énième menace. Avec tout le lot qu’ils se sont balancés aujourd’hui, une de plus ou de moins aurait le même effet : De quoi garder captif et attentif mais continuer le jeu de répliques.

C’est plutôt vers les fissures lézardant le miroir qu’il dirige ses yeux, comme si on pouvait y lire encore plus la vérité en travers.
Chacun à sa propre contemplation. Capharnaüm peut désormais lire ce qui est inscrit sur les phalanges du Pirate, à cette distance.
Argent cabossé par les coups contre or martelé pour le style, c’est évident que ce fin anneau puisse être remarqué, une fois que le poing peut être analysé d’aussi près.

Se sentant clairement démasqué par la découverte involontaire de cette alliance encore au doigt, Sweetie écarquille les yeux mais, surtout, s’insurge en tentant de répliquer maladroitement.

Tu peux parler, féminin ! Tu t’es vu ?


Médiocre défense mais elle dû être spontanée pour tenter d’être virulente. C’est dans le style de Capharnaüm d’être ainsi. Lui est à l’aise avec ce qu’il est. Pas Lukas. Échappant une pouffée de lassitude, il dégante l’arme d’argent de ses phalanges mais aussi la bague, de ses doigts ; il pose le tout sur le comptoir.

C’est pas une bague, crétin.


Puis il regarde ailleurs. Ses mèches se foncent sous l’humidité comme sa provocation s’enfonce. Le vagabond semble avoir toucher à une corde sensible mais que Sweetie ne compte pas laisser apparente trop longtemps, au risque de devoir en parler.
Pour détourner l’attention, le jeune homme relaie cette fois-ci, lestement, les ciseaux, sans animosité. Du moins dans les gestes. Il trouve le meilleur sujet qu’il peut pour écarter celui de l’anneau.

Et depuis quand c’est le coiffeur qui doit choisir de la coupe, dis-moi ? Tu m’as l’air vachement sûr de ton coup, avec un client aussi sceptique.


Bras presque croisés, ses jambes le font à la place. En effet, il lui tend la paire de ciseaux, laissant les lames pendre vers le bas. Sa tête est aussi projetée vers l’arrière pour attendre une réponse de la part du coiffeur. Mais la bonne puisque même avec ces yeux farceurs et ce sourire taquin, il le défit.
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Mar 28 Juil - 15:41
jeux d'ego
Comment ne pas s’esclaffer de rire face à telle réplique ? Féminin, masculin, Capharnaüm assume toutes les parts de sa personnalité. Mieux encore, il n’hésite pas à mettre en valeur ce genre dont il n’a pas été attribué à la naissance mais dont il admire toute la beauté. Et d’ailleurs, pourquoi les cheveux longs et le maquillage seraient réservés aux filles ? Absurde ! Alors Sweetie peut bien lui balancer une remarque bien senti sur son physique, ça glisse sur lui comme du gloss sur les lèvres. Et il ne peut que rire à ça. Car s’il ne rit pas, il pourrait avoir envie de faire une grosse bêtise sur ses cheveux pour lui faire regretter d’être resté au siècle dernier. Une grosse bêtise comme... lui dessiner un cœur à l’arrière du crâne. C’est qu’il maîtrise plutôt bien le rasoir Capharnaüm. Et Sweetie n’a pas encore les yeux derrière la tête qu’il n’y verrait que du feu. Mais il retient ses pulsions meurtrières et se concentre plutôt sur les atours du Pirate désormais posés devant lui.

« Ah oui en effet, ça, c’est pas une bague.
Mais une alliance.
N’est-ce pas ?
»

C’est qu’il oublie souvent que Sweetie, il n’était pas tout seul chez les Greens…

« Des nouvelles de ta chère et tendre maintenant que t’es passé chez l’ennemi ? J’ai cru l’apercevoir la dernière fois, elle avait l’air de se porter comme un charme… »

Oh que c’est bas. Oh comme c’est petit. Mais Capharnaüm veut comprendre. Et tous les moyens sont permis pour qu’il décèle le vrai du faux dans cet étrange manège que le brun a enclenché. A-t-il vraiment « abandonné » sa fiancée ? Que s’est-il passé pour qu’il opère un tel changement de cap ? Le coiffeur meurt d’envie de savoir. Et il sait d’avance qu’il sera bien compliqué de tirer le vers du nez de celui qui persiste à vouloir ronchonner à la première occasion.

Et il attrape les ciseaux avant que celui-ci ne change d’avis et lui dérobe à nouveau.

« Mon salon, mes règles, chéri. »

Amusé, il lui tapote le bout du nez avec l’index, comme s’il s’agissait d’un môme de 5 ans. Avant de lui forcer à redresser normalement sa tête, fixant son regard dans le sien à travers le miroir.

« La plupart des clients ne savent même pas ce qui leur va réellement. Ils suivent les modes, les avis de ceux qui n’y connaissent rien… ne connaissent pas la nature de leur cheveu et s’imagine que tout est possible à partir du moment où ils le demandent.
Mais pas d’hypocrisie avec moi.
Personne ne m’exige rien.
Et je me charge de rendre tout le monde plus beau
. »

Et le premier coup de ciseau part. Sans ciller, sans trembler. Juste quelques bouts de mèches brunes qui flottent puis tombent délicatement au sol. Et un sourire satisfait du coiffeur.

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Mar 28 Juil - 21:02
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Sweetie veut vraiment éviter le sujet sur sa fiancée. Il lui répond rapidement mais quémande presque qu'on lui coupe les cheveux. Cependant, lorsqu'une seule mèche tombe au sol, il ne peut s'empêcher de bondir vers l'avant et critiquer le travail d'un sourire narquois. Il réalise qu'il n'est plus en position de le faire, cela dit et s'avoue, pour l'instant, vaincu, en se taisant. Toutefois, cela lui permet aussi de ne pas parler de ses affaires.
445 WORDS
FT. capharnaüm
Une des poignées des ciseaux retenus par un seul index, l’outil devrait donc bien osciller. Pourtant, Sweetie les tient fermement tout comme il maintient ces propos. Il souhaite s’atteler hâtivement à cette coiffure et passer les sujets plus épineux et dangereux encore comme la rupture avec son ex dont Capharnaüm semblait même être au courant avant même que l’ex ne puisse lui évoquer par la métaphore de l’alliance égarée sur un comptoir.

Grand bien lui fasse. J’en suis libéré aussi, tu vois. Donc j’imagine que c’est pour le mieux.


Il détourne les yeux et marque une longue pause. Néanmoins, le client ne change pas de posture. Il souhaite, réellement, changer de sujet. Il n’est pas venu pour ressasser des cauchemars donc il tend encore, mais cette fois-ci, avec un sourire radieux mais suppliant, la paire de ciseaux. Il en retire une chiquenaude contre le nez qu’il n’apprécie guère mais peut-être plus qu’une poursuite du tabou.

Ainsi donc, il vaudrait mieux se plier aux règles plutôt que chercher à les défier. C’est ce que lui annonce le professionnel. Il n’a pas le lieu de choisir.
Après tout, Sweetie a eu l’habitude avec ses jeunes années donc il pourrait recourir au plus simple en exécutant ce plan. Toutefois, il considère qu’il s’agit d’une période révolue et le destin lui a bien fait comprendre en l’envoyant chez les Pirates. Il est sur le point de remettre en question Capharnaüm lorsque ce dernier, soudainement, signe brutalement le contrat entre eux. Yeux exorbités, Lukas ne peut s’empêcher de se pencher vers le miroir pour constater les dégâts.

T’as le don pour mettre à l’aise, toi. Ça explique toute la foule qui se trouve derrière ta porte.


Il pointe premièrement son reflet dans le miroir puis, dans un second temps, ladite porte. Malgré son incertitude quant au résultat, le mécanicien ne peut s’empêcher de sourire de façon insolente, dans cette situation. Agaçant. Il veut encore se moquer du manque de clientèle et effectivement, la trop grande curiosité se couple à son envie de prendre les rênes.
Cependant, comme dit, le marché est passé et Sweetie ne peut reculer. Il est, effectivement, entre ses mains manipulatrices et n’a pas le contrôle.

Okay, c’est bon. Je me tais.


Le bavard zippe sa bouche et jette l’illusoire fermeture éclair au loin et se laisse donc prendre au jeu du client patient. Néanmoins, il n’attend qu’une seule chose : Que Capharnaüm finisse ce qu’il a réalisé. Et plus il se taira, plus le travail sera fini rapidement, moins il y a de chances que des sujets inconfortables se glissent à nouveau à son oreille.
Il préfère encore entendre le son cinglant et menaçant des lames.
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Jeu 30 Juil - 15:28
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Son sourcil se relève. Sceptique il l’est. La rupture serait-elle donc aussi simple que ça ? Pas de remords, de culpabilité, de tristesse, de colère ? Rien de tout ça ? Vraiment ?! Serait-ce donc si chiant à mourir ? Quelle déception. C’est plus amusant quand on se sépare avec des cris et des pleurs, avec des objets qui se fracassent et des cœurs qui se brisent.

Mais Capharnaüm n’est pas dupe pour autant. Sweetie est certainement aussi doué pour cacher ses émotions que pour envoyer des piques à chacune de ses phrases. Patience est mère de toutes les vertus… Bien que cela ne soit toutefois pas la point fort du coiffeur, il est prêt à attendre sagement pour pouvoir gratter cette surface et en découvrir plus sur l’histoire entre le Pirate et la Green. Digne d’une romance d’Arcadia Bay en plein chaos.

« Une chose t’a peut-être échappé Sweetie, mais il n’y a pas foule dans les rues non plus. Tu te rappelles quand même de ce truc là, tu sais… aaah mince, cette chose là, tu vois nan ?!
Mais siiii tu sais !
Ah ça y est, j’ai retrouvé !
La tempête !
Tu te souviens ?! Ce majestueux événement météorologique qui a trucidé la plupart des habitants !
Alors forcément… ça réduit la clientèle
. »

Il affiche une mine contrite, plus embêté par la perte de son chiffre d’affaires que par toutes ses âmes qui se sont envolées. A vrai dire, il évite généralement de penser aux morts et préfère se concentrer sur les vivants. Il se demande d’ailleurs comment le choix a été fait là-haut sur qui devait y passer et sur qui avait l’opportunité unique de vivre dans un tel merdier. Et il se demande comment lui-même a-t-il pu se retrouver dans la 2ème catégorie.

« C’est vrai que c’est bien dommage que cette jolie bouche dise autant de conneries. »

Un autre coup de ciseau part. Et des cliquetis habiles se succèdent tandis que les mèches tombent les unes après les autres. C’est vrai que la longueur lui va bien, mais il devenait indispensable de couper ces pointes qui se barraient dans tous les sens.

« J’ai bien quelques idées en tête pour empêcher que tu continues à l’ouvrir.
Te rouler une pelle aurait été certainement très efficace.
Mais peu pratique pour te couper les cheveux. Niveau coordination, tu te doutes bien que ça aurait été compliqué.
Par contre, l’idée de te bâillonner…
Alors ça…
Oulalalah, regarde, ça me donne même des frissons.
»  

Amusé, il lui passe près du nez son bras pour qu’il se rende compte par lui-même.

« Se faire bâillonner, c’est plus un truc de Pirate que Green d’ailleurs ?! On sait bien que les Greens sont quand même pas connus pour être les plus funs, alors que les Pirates… Petit coquin va ! J’comprends mieux pourquoi t’as changé ton fusil d’épaule. »

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Ven 31 Juil - 15:09
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Ne pouvant garder sa promesse trop longtemps puisque roi du bavardage, les provocations de Capharnaüm pour le faire sont complètement loufoques qu'il en bondit de sa chaise. Il reconnaît être sans pouvoir ici mais surtout ne pas pouvoir faire taire Capharnaüm. En vérité, Sweetie semble bien comprendre que le coiffeur cherche à avoir quelque chose sous ce lit de menace. Il est prêt à en dire un peu mais juste pour être tranquille par la suite. Il laisse un chouilla de son ego de côté ouah.
388 WORDS
FT. capharnaüm
Roulement des yeux ou sourcil sceptique, la comédie peut lui soutirer ces réactions mais certainement pas des mots. De toute manière, il n’a pas à argumenter sur ce constat. Capharnaüm a raison et plutôt que le reconnaître, lâche comme il est, il préfère garder le silence. Probablement le garde-t-il car la disparition est devenue encore plus tabou qu’autrefois, en ces temps ?
La bouche ne dit donc plus de conneries. Elle mimique des sons autant approbateurs que l’inverse. Il a foutrement raison et fait passer ça pour de l’évidence.

Mais ce sont des lapalissades suivies de foutaises. La première intimidation, à coup de langue, n’effraie absolument pas Sweetie ; presque habitué à ce genre de provocation enjôleuse. Mais la seconde partie lui arrache un bond puissant de sa chaise, repoussant les mèches sur ses épaules contre le sol. Il en ferait tomber le meuble tellement ce genre de propos l’effare mais reste maître de sa colère.

En tout cas, que ça soit Green ou Pirate, j’ai jamais rencontré plus dérangé que toi.


Au moins, il lui laisse ce bout d’information, peu convainquant cela dit.

Tu mériterais que moi, j’te bâillonne, tellement tu parles. Mais…


Concédant silencieusement qu’il n’est clairement pas à sa place pour avoir son mot à dire, il soupire bruyamment et ne défie plus le vagabond du regard, l’échappant de côté. Ses épaules s’affaissent. Il n’est pas au summum de sa force. Sa victoire ne peut pas être pleine comme d’habitude et le combattant doit tout simplement céder un peu de terrain à son adversaire.

Soupirant encore quitte à s’essouffler, il se rassied.

Arrête de me prendre pour un pigeon. Je sais très bien que tu me proposes pas une coupe gratuite. Pourquoi maintenant ? Crache le morceau plutôt que faire des ronds de jambes.


Sweetie est très loin d’être idiot et s’il a clamé une contrepartie avant la coupe, il sait très bien que c’est aussi parce que Capharnaüm veut en réclamer une à l’issue de cette séance de coiffure. Néanmoins, il n’arrive pas à comprendre ce qu’il peut apporter à un vagabond pareil.
Il est, visiblement, oui, prêt à lui en dire un peu, pour être débarrassé. Alors c’et si facile ?
Non, juste un peu. De toute manière, Sweetie est le roi de l’évasion. Son exode pour les Pirates l’a déjà bien prouvé.
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Mer 5 Aoû - 15:22
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Sans que Capharnaüm ne puisse rien voir venir, le brun se relève de sa chaise. A force de provocations en tout genre, il ne s’attendait plus vraiment à faire réagir Sweetie d’une aussi brusque manière. Mais le voilà pourtant qui le fait hoqueter de surprise, ciseaux en l’air, à deux doigts de lui avoir fait perdre une oreille dans la manœuvre. Grand dieu, c’est qu’il venait de lui donner la peur de sa vie à bondir ainsi comme une vierge effarouchée. Main sur le cœur, Capharnaüm se remet doucement de ses émotions, ne comprenant pas bien la fureur dans les mots du Pirate. Est-il aller trop loin ? Pour une simple histoire de…baillonnage ? Pour si peu ? Vraiment ?

Jésus, Marie, Joseph, ce garçon a donc encore tant à apprendre…

« Maaaaiiiis ?? » répète-t-il pour pousser Sweetie à finir sa phrase « T’aurais peur que ça te rende aussi dérangé que moi ? »

Pour être tout à fait honnête, ce mot ne lui plaît guère. Dérangé ? Qu’est-ce que cela peut-il donc bien vouloir dire ? Parce qu’il ne se conforme pas tout à fait à une norme établie bêtement, alors cela le rend dérangé ? Et Sweetie, dans toute sa bêtise, le juge ainsi pour avoir le courage de défier cette ennuyeuse normalité dans laquelle plus personne ne rentre véritablement ?

Alors Capharnaüm soupire, résigné au fait que cette brebis égarée ne pourra certainement pas être sauvée.

« C’est dommage ces œillères que t’as sur les yeux. Mais peut-être que les Pirates seront plus doués pour te les enlever… qui sait ! »

Il hausse les épaules, pas vraiment convaincu que les petits rebelles du coin puissent faire quoique ce soit pour ouvrir le monde bien étriqué de Sweetie. Et sagement, avec bien moins d’excitation, le voilà qui reprend le court de la coupe de cheveux, sans même se plaindre d’avoir ainsi été dérangé par le caractère tempétueux du garçon.

« Par contre, t’es pas complètement abruti et tu sais être perspicace, je l’admets.
Et c’est vrai qu’ici, on offre plus rien gratuitement, c’est la loi du plus fort. Faut arrêter de se leurrer.
Pourtant toi, le garçon modèle, l’homme parfait en devenir, t’avais quand même rejoint le groupe avec une certaine… morale ? Chiante la morale. Mais morale quand même.
Et te voilà maintenant chez les emmerdeurs !
Finalement, t’es peut-être pas aussi lisse qu’il y paraît ? Mais j’sais pas, y a un truc qui me… qui me j’sais-pas-quoi quand j’pense à tout ça. Alors aide moi à comprendre.
C’est aussi simple que ça mon prix.
Et après, tu pourras repartir d’ici avec ta belle gueule.
»

Son ciseau cesse de fendre l’air, et son regard se fixe à nouveau à travers le miroir pour le regarder dans les yeux.

« Et pas de mensonge chéri. Ou évite de trop me prendre pour un con ok ? Ca serait dommage qu’on dérape aussi près du but tu crois pas ? »

Ses cheveux sont toujours quelque peu en otages sous ses doigts. Plus pour très longtemps certes, mais Capharnaüm a encore deux ou trois tours dans son sac capable de faire regretter le Pirate de vouloir lui mettre à l’envers…

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Sam 8 Aoû - 10:42
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Passage aux aveux. Sweetie se retourne vers Capharnaüm. Il accepte de s'ouvrir très légèrement puisque le coiffeur manifeste un autre intérêt qu'autrui : genre plus pour sa personnalité. Mais son statut d'espion le fait sauter des étapes et il le sait. Pour faire passer ça crème, il échange des sourires en même temps mais ça reste Capharnaüm...
525 WORDS
FT. capharnaüm
Voir les personnes selon un échiquier noir et blanc n’est pourtant pas sa manière de contempler les choses. Du moins, ce n’est pas quelque chose dont il veut. Même si Sweetie véhicule beaucoup de stéréotypes par sa bouche, comme il l’a prouvé avec ses remarques maladroites adressées à la personne androgyne, il n’adopte pas à ce genre de philosophie. Et c’est notamment parce qu’il représente lui-même un archétype auquel on le classe encore. De toute manière, n’est-ce pas à cause de cela que Capharnaüm l’a rejeté à maintes reprises dans le passé ?
Certes, la métaphore « avoir des œillères sur les yeux » pourrait correspondre aux conneries qu’il déblatère pauvrement et à longueur de temps, pour autant, Sweetie est loin d’être aussi intolérant. Il a conscience de mal agir, mal dire ; il suffit juste de l’informer.
En réalité, il pense que Capharnaüm est dans le même cas : Il se trompe en pensant que Lukas était une personne rangée au départ. Les Greens ne sont pas blancs, les Pirates ne sont pas noirs.

Pour commencer, m’appelle pas le garçon modèle. Si tu connaissais mes parents, il te tiendrait d’autres propos qui te ferait changer d’avis. Mais là, c’est pas la question.


Il racle sa gorge. Pourquoi s’est-il mis à parler de ses parents alors qu’ils ne l’importent pas vraiment ? Sans doute des tréfonds pour éviter de parler de son ex petite-amie, souvenir bien plus proche encore sur la table qu’il ne daigne regarder. Par chance, Capharnaüm ne l’a pas évoqué. C’est peut-être en échange de vérité pure ?

Pour autant, c’est quand même dingue de me prendre pour le garçon modèle et, aussi, pour un menteur. Bref, là, je te dis la vérité. J’ai rien à y perdre de toute manière.


Il sourit en même temps. C’est bien la preuve que Capharnaüm n’est pas peu ouvert d’esprit. Certes, son côté casseur de codes pourrait bien le mettre sur la piste mais le fait qu’il puisse visualiser deux visages en une seule personne prouvent qu’il est, effectivement, prêt à apprendre qui peut réellement être Sweetie. Assez secret, tout de même, cela reste difficile de se confier. Non il ne va pas mentir mais rester sibyllin dans le but de lénifier.

J’ai juste rejoint les Greens, au départ, parce que c’était plus facile à vivre. Mais j’étais pas à ma place. On me l’a bien fait comprendre. Maintenant me voilà chez les Pirates. Même si tu manques de trucs, ça reste un mode de vie plus simple. On pourrait presque dire que j’suis épicurien, non ?


Quelle lubie de penser qu’on peut encore l’être, dans ce monde.
Quelle lubie de penser que Capharnaüm pourrait se contenter de simplement ça.
Non, il n’a pas menti mais très franchement, cela manque de transitions, de raisons, pour expliquer son passage chez les Pirates. C’est tout à fait normal pour un espion qui se doit de garder sa couverture. Une couverture encore plus épaisse que ces sourires qu’il ricoche au coiffeur, vers lequel il s’est retourné puisque ce dernier est plus concentré sur les arcanes de Lukas que sa coiffure, dans l’espoir qu’ils puissent combler les lacunes lancées.
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Sam 15 Aoû - 18:22
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Oh ? Daddy and mummy issues ? Ca fait lever un sourcil à Capharnaüm. Ce ne serait pas le premier garçon croisé ayant connu des problèmes avec ses géniteurs mais le coiffeur n’avait pas imaginé jusque-là que ça puisse concerner aussi un jeune homme bien sous tous rapports comme Sweetie. A ses yeux, il continue d’être l’archétype du quaterback adulé pendant ses années lycée et du prom king pour couronner son règne. En somme, le gendre idéal à présenter à belle-maman et beau-papa. Mais comment être certain de rentrer dans leurs bonnes grâces si on ne parvient même pas à satisfaire les exigences de ses propres parents ? Et le coiffeur s’est égaré dans ses réflexions et imaginations sans s’en rendre compte.

« La vérité, toute la vérité, rien que la vérité ?
Merde.
» Il regarde furtivement autour de lui avant de grimacer exagérément.
« J’ai pas de Bible. Pas que ce soit un grosse surprise. C’est plutôt le contraire qui aurait été…
Bref, passons. La vérité.
Papa et maman seraient fier je suis sûr de voir quel garçon sincère et honnête tu deviens.
»

Oui, il ne peut se passer de rebondir sur la mention de ses parents. Quitte à prendre le risque de vexer à nouveau Sweetie, de le voir encore se renfrogner et grincer des dents, Capharnaüm parle parfois plus vite qu’il ne le voudrait. Mais n’en culpabilise pas pour autant.

« Tiens donc, les Greens, dans toute leur moralité et leurs grands sermons, seraient de ceux à exclure les gens ? Une sacré petite bande d’hypocrites tu trouves pas ?
M’enfin. T’as pas l’air de leur en tenir plus rigueur que ça.
Tu m’excuseras tout de même de… rester un poil sceptique ?
»

Pourtant, il comprend en tout point le raisonnement de Sweetie et son envie de vouloir être plus libre. De vivre au jour le jour plutôt que s’enfermer dans une cage. Et il saluerait même le geste de Sweetie, de prendre son courage à deux mains, de remettre en question ses choix et de tout recommencer. Mais le Vagabond reste sur ses gardes, préfère laisser encore planer quelques soupçons. Tout en donnant le coup de ciseau final sur la chevelure brune.

« Et voiiilààà ! »

D’un geste brusque, il fait légèrement tourner la chaise sur laquelle son client est assis, afin de pouvoir lui faire face. Ses doigts emprisonnent son menton tandis qu’il admire le résultat de son travail. Et il affiche finalement un sourire satisfait.

« Bien mieux comme ça mon chou. Vraiment bien mieux. »

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Dim 16 Aoû - 14:55
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SEVERANCE
La remarque sur ses parents le fait réagir mais il n'y répond pas. Il est gêné lorsque Capharnaüm s'approche trop de lui et veut le percer à jour donc il le menace d'une mauvaise blague. Il prétend que sa « rupture » avec les Greens s'est faite pacifiquement et préfère critiquer le travail de Capharnaüm. C'est aussi un moyen de s'éclipser, à moins que le coiffeur lui offre quelque chose en plus.
460 WORDS
FT. capharnaüm
Dans un tout autre contexte, il prendrait vraiment la remarque sur ses parents pour une consolation. Or, là, il ne se leurre pas. Il se fout carrément de lui et a volontiers rebondit sur ce faux pas instinctif.
Il ne fait pas forcément confiance au vagabond, croyant à la rumeur que les coiffeurs sont justement des commères. Il s’est juste laissé emporter par les vagues dans lequel il a décidé de nager. Mais il rencontre un siphon plutôt violent, qui le fait ricocher contre ses propres parois.
La chaise tourne, retour au face-à-face.

Même la coupe terminée, il est toujours emprisonné par le coiffeur. Non pas par ses ciseaux mais par ses doigts autour de son menton. Par réflexe, le brun se hisse, dos plaqué et repoussé contre le dossier, depuis ses avant-bras posés sur les accoudoirs. Alors que dans le miroir s’est précédemment esquissé une grimace sur le visage de l’hôte, c’est au tour de l’invité de la réaliser maintenant, gêné par cette promiscuité.
Donc ce qu’il a donné ne suffit pas ? Il doit en dire plus avant de partir ?

Et à quoi ça peut bien te servir toutes ces infos sur moi ? Tu comptes les raconter à la prochaine mamie qui mettra les pieds ici ?


Cette blague lui permet de troquer les contorsions pénibles de ses lippes en un sourire carnassier et vengeur. Ce n’est pas si drôle mais ça le satisfait et ça le décomplexe assez rapidement pusiqu’après tout, Sweetie se doit de se présenter comme une personne aussi solide de corps que de cœur. Assez lâche, pourtant, il ne peut pas se permettre, en combat si rapproché, de fuir, cependant.

T’interprètes. J’ai jamais dit que je leur en voulais ou je leur ai tout pardonné. C’est même plus une sorte de… « rupture conventionnelle », tu vois ?


Sauf que dans ce genre de rupture, Sweetie n’a rien gagné hormis un déguisement d’espion et une clé à molette dont il ne sait même pas se servir.
De toute façon, Lukas pense ne jamais rien gagner, en dépit de son optimisme. Tout est trop peu pour sa grande personne.
S’étant redressé assez brutalement pour casser le rapprochement entre eux deux, il l’excuse en se regardant lui-même dans la glace, détaillant tous les passages des ciseaux sur sa chevelure boisée. Tirant sur plusieurs courtes mèches, ils épluchent simplement les défauts. Il ne les juge pas minimes mais s’en accommodent.

J’imagine que ça ira, ouais. Mais du coup, j’ai pas besoin de te payer plus en infos. À moins que t’aies autre chose à me proposer en retour.


Tentative de fuite qui peut, comme il le dit, être contrecarré par sa tentative de profit. Si Capharnaüm peut lui proposer quelque chose, il restera plus longtemps, pourquoi pas.
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Mar 25 Aoû - 12:46
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Un sourcil se lève. Avant qu’un éclat de rire ne réponde aux suppositions de Sweetie. Oui, ça le fait pouffer de rire de s’imaginer raconter les derniers potins aux mamies du coin. Malheureusement, ça manque de mères-grands dans le coin. Sans oublier que faire des mises en pli ne fait clairement pas partie de ses préférences en matière capillaire. Mais il s’accommoderait bien de jacqueter avec l’une d’entre elle et de distiller les dernières rumeurs à la mode.

« Si tu trouves une p’tite vieille que ça intéresse, passe lui mon numéro.
Enfin non, ça, c’est plus possible.
Mais balance mon adresse, j’serais grave intéressé par un plan potins, ça me manque un peu de plus baver sur le dos des gens, à croire que tout le monde est trop occupé à gérer des choses plus "importantes"
»

Il mime les parenthèses de ses doigts libres tout en roulant des yeux exaspérés. Faut dire que l’apocalypse a soudainement rendu les gens plus responsables. Ou tout du moins à donner de l’importance à ceux qui n’en ont pourtant pas. Ca l’amuse Capharnaüm de les voir tous s’affairer à droite à gauche, à essayer de donner un semblant d’ordre dans une ville qui ne pourra jamais redevenir ce qu’elle était. Et au fond, est-ce si grave que cela ? Peut-être pas tant que ça, le Vagabond en tout cas, il s’en accommode.

« Allons pour la rupture conventionnelle alors ! »

Il soupire, lui lâche finalement le menton, un sourire au coin des lèvres alors qu’il remarque bien que la promiscuité n’est pas son fort. Mais il ne s’éloigne pas pour autant. Son regard se traîne jusqu’au miroir pour croiser celui de Sweetie à travers le reflet.

« J’espère au moins que ça te plaît, parce que non, j’ai rien d’autre à offrir.
Quoique… je pourrais bien te proposer de passer une nuit des plus mémorables à te décoiffer mais mon p’tit doigt me dit que ça te ferait encore plus t’enfoncer dans la chaise.
»

Il ricane à nouveau. Pour finalement se redresser. D’un mouvement ample il balance ses cheveux en arrière et s’éloigne de son client pour se laisser tomber dans son vieux canapé déchiré. Il est temps de s’y prélasser après avoir tant donné de sa personne. Et comme l’a déjà fait remarquer le Pirate, la clientèle ne grouille pas aujourd’hui, il peut donc bien s'accorder une pause méritée.

« Tu es libre de vaquer à tes occupations joli cœur.
Mais n’hésite surtout à revenir ici. Maintenant que tu connais mes services et mes prix…
»

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Mar 25 Aoû - 20:28
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REVENGE
Sweetie est plus confiant qu'avant, la coupe terminée. Il n'est pas d'accord lorsque Capharnaüm le traite de pudique du flirt. Il lui montrer le contraire et lui donne une excuse même si en réalité, c'est plutôt une vengeance contre toutes les fois où le coiffeur l'a critiqué. Il propose donc d'offrir plutôt une nuit contre une promesse : Que Capharnaüm ne révèle rien à personne de leur échange. (par contre il dira jamais que c'est un espion, je précise)
426 WORDS
FT. Capharnaüm
C’est tout. C’est vraiment fini.
Il a gagné avec un vulgaire et énigmatique argument.
Il déglutit puisqu’il peine vraiment à y croire. Mais alors que les deux hommes se présentent tous deux face au miroir, regardant le reflet de l’autre pour se mesurer. Or, la réflexion de celui aux cheveux longs, déjà assez en arrière, derrière l’épaule du plus massif, se retire complètement du champ, ne laissant que l’image d’un garçon seul. Sa ride du lion s’intensifie.
Ça n’a rien d’une belle victoire si l’autre abandonne. Il n’y a aucune récompense hormis une coiffure qu’il juge perfectible et une promesse de représailles, seulement s’il le désire.
Ce n’est même pas une victoire, en fin de compte. C’est son adversaire qui l’invite à prendre sa revanche. C’est une défaite. Pour qui le prend-il, à le juger aussi timide ?

T’es pas mon genre.


Il s’est retourné lestement pour afficher son indifférence la plus totale. Il n’a, non, pas peur du flirt. Son froncement féroce s’est apaisé en paupières reposées. Il souffle sobrement ces mots acides.
Âpre vengeance, même. Il la prend donc déjà.
Après avoir été jugé comme repoussant lors de leurs rencontres préliminaires, c’est maintenant à son tour de lui renvoyer l’ascenseur. C’est à moitié vrai, donc : Capharnaüm pourrait être son genre si seulement il n’avait pas rabaissé son physique quand il était Green.

En fait, c’est plutôt à moi de t’offrir ce genre de service. M’amener pour une simple coupe en échange de bêtes informations, j’ai du mal à y croire.


Il n’a pas peur, il demeure même absolument calme. Il n’a pas besoin d’agir férocement puisque dans cette houleuse atmosphère qu’il vient d’instaurer, il nage. C’est donc simplement qu’il vient s’asseoir, en compagnie de son rival, dans ce canapé, les mains derrière la tête. Le regard orienté vers son interlocuteur n’a pas besoin de le narguer puisque toute l’indécence du Pirate le fait déjà.

Donc si ça se déroule, mon prix…


Il insiste sur la possession d’un doigt.

… serait une promesse. Juste ça. En gros me jurer que t’avoueras rien de notre entretien. Et je peux même te filer d’autres informations sur moi en bonus, tiens.


Son index toujours pointé pour marquer la condition et passer le second contrat, il ne peut pas s’empêcher de rire gaiement.
L’atmosphère a vraiment changé. Alors qu’il était encore prisonnier des ciseaux il y a une minute, ne plus être le jouet du coiffeur le fait presque basculer vers une autre personnalité. Il a pris sa revanche et se sent ainsi plus maître de la situation.

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Ven 28 Aoû - 19:26
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De manière on-ne-peut-plus exagérée, Capharnaüm mime un poignard planté dans son cœur. Tout en hoquetant de surprise mêlée à de la gêne. Le voilà blessé, profondément blessé. Tant de rejet de la part de Sweetie. C’est insurmontable. Et comme mort, il s’étale un peu plus dans le canapé.

« Tu me brises le cœur Sweetie.
Comment peux-tu te montrer aussi impitoyable ?! N’as-tu donc aucune empathie ?
»

Il se redresse un peu, le regarde les yeux larmoyants. Enfoncés dans un coin du canapé, jambes repliées contre lui.

« Moi ? Pas ton genre ?? Je ne m’en remettrais pas. »

Enfin si, il s’en remettra très bien. Encore plus en voyant l’autre ne pas prendre ses jambes à son cou. Le voilà donc qui prolonge ses instants dans son piètre salon. Il n’aurait pas pu rêver mieux. C’est lui offrir là la délicieuse occasion de creuser un peu plus. Mais à dire vrai, le coiffeur ne sait plus qui mène la danse exactement. Aucun des deux n’est dupe, et chacun se laisse aller aux manigances de l’autre. Et cela en est foutrement grisant. Pas si ennuyeux que ça l’ex Green…

Et Capharnaüm l’observe avec malice, l’œil qui pétille devant ce manège incessant. Il se penche un peu en avant, vers celui qui a pris place à ses côtés. Ce n’est pas faute d’avoir voulu lui redonner de l’espace, mais s’il s’approche désormais de la gueule du loup, le Vagabond n’est pas prêt de se faire prier.

« Une promesse ? »

Circonspect, il l’est. Et un sourcil se relève tout en réfléchissant à cette étrange proposition. A ça, il ne s’y était pas attendu. Quelle mouche vient donc de piquer le Pirate ? Sa soi-disante « simple coupe de cheveux » lui aurait-il donné des ailes ?

« Et tu prendrais au sérieux ma parole ? Tu me fais tant confiance que ça… ? »

Oh que c’est douteux. Mais excitant aussi. Lui qui aime tant jouer ne se voit pas mettre fin à la partie pour si peu. Tant pis si ce n’est qu’un mirage, tant qu’il y a un soupçon de réussite…

« Une promesse alors. »

A ses risques et périls. Mais m’avantage sûrement de faire partie des mauvais garçons capables d’appliquer vengeance à ceux qui oseraient blasphémer, le coiffeur ne ferait clairement pas le poids face aux représailles des Pirates.

« Je te promets, moi, Capharnaüm, de ne jamais rien révéler - ô grand jamais - les informations sur toi et ta noble personne. »

Sourire carnassier. Et sa joue qui vient s’appuyer contre le dossier du canapé, ne lâchant pas une seule seconde le visage du Pirate.

« Oh Sweetie, Sweetie, Sweetie…
Tu es vraiment en train de devenir un vilain garçon.
»

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Sam 29 Aoû - 1:16
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BOY
Une énième fois, il menace Capharnaüm mais cette fois-ci, s'il ne respecte pas la promesse. Toutefois, il lui avoue qu'il le considère comme différent. Autrement dit, il trouve qu'il est possible de parler de lui-même uniquement avec Capharnaüm. Cela étant dit, il entame la scène olé-olé par un petit smack :eyes:
332 WORDS
FT. Capharnaüm
Le doute plane encore.
Il est même plus que légitime. Le marché n’est pas si équitable que ça et Capharnaüm n’est pas si dupe. Pourtant, bien au contraire, Sweetie y voit un intérêt crucial. À vrai dire, cet homme est sans doute l’une des premières personnes à sensiblement s’intéresser à lui depuis son arrivée chez les Pirates.
Avec un hochement de la tête vertical alangui, il l’analyse. Non, ce n’est certainement pas pour sa plastique qu’il est intéressé. Ses lippes esquissent un mince sourire lorsqu’il joue la comédie mais il n’y répond pas.

N’oublie pas que je connais ton adresse donc si j’apprends que t’as révélé des trucs, compte sur moi pour te couper les cheveux cette fois-ci. Enfin, encore, ça, ça serait gentil.


La rivalité plane encore.
Ils sont loin de devenir amis, d’après ses menaces chroniques. C’est donc difficile d’imaginer que Lukas veuille faire de son interlocuteur un confident.
C’est si difficile parce que sa pensée est plus malsaine qu’on ne l’imaginerait. Sweetie n’est pas « vilain » mais peut-être juste un « garçon ». Aussi autocentré que peu concentré, il ira répondre à ses besoins primaires sans se soucier de quelqu’un. Chez un enfant autant arrogant, ce besoin serait de parler de lui pour se sentir exister ; pour survivre.
Ce serait gros de dire qu’il se fiche que Capharnaüm persiffle des rumeurs à son sujet mais même ça, c’est mieux que ne pas être reconnu.

Je ne te fais pas confiance, non. Mais tu m’as l’air différent de la plupart des gens ici, c’est tout.


Si différent qu’en Capharnaüm, il ne reconnaît pas une personne mais plutôt une utilité. Après tout, leur premier marché s’est bien déroulé ; il a obtenu ce qu’il voulait.

Si j’ai ton aval, alors, j’me permets de signer le contrat juste là.


C’est peut-être à cet instant qu’il répond au côté vilain que lui a affublé le vagabond. Mais il reste encore un garçon pour juste tendrement sceller ses lèvres sur les voisines.
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Mer 2 Sep - 16:43
jeux d'ego
L’idée de se faire couper les cheveux par Sweetie ne le fait pas sauter au plafond. L’idée de se faire couper les cheveux tout court à vrai dire. Et même s’il ne s’agit que d’une menace – encore une – il ne peut décemment pas prendre les choses totalement à la légère. Si sa crinière flamboyante en dépend, inutile de prendre un quelconque risque. Et ce sont plutôt ses nouveaux collègues pour lesquels il s’inquiète. Bêtes comme ils sont, ils seraient capables d’ériger ça en une sorte de nouveau défi pour mesurer leur courage et faire preuve d’audace en espérant grimper les échelons auprès de leur big boss. Sincèrement, Capharnaüm a tout sauf envie d’être un objet de foire, il ouvre déjà suffisamment sa gueule pour se faire repérer.

Il hoche donc la tête, un demi-sourire pendu au coin des lèvres. Oui Sweetie, très bien Sweetie, à votre guise monseigneur. A l’écouter ainsi, il se demande tout de même s’il serait véritablement capable de faire preuve d’une quelconque brutalité. C’est que lui aussi ouvre beaucoup sa grande bouche, mais pas certain que son fond soit foncièrement mauvais pour agir de la sorte. Tout le paradoxe qui entoure sa personne et qui pique la curiosité.

« Différent ? Moi ?
Je suis flatté.
»

La différence, il la cultive depuis son plus jeune âge Capharnaüm. Il n’est toutefois pas certain que cette différence ait la même perspective du point de vue de Sweetie. Mais autant prendre le compliment à la volée, ils sont si rares dans la bouche du Pirate.

« Est-ce que ça fait de moi quelqu’un… d’unique ? »

Il cherche la flatterie, s’en amuse, joue sur les mots pour provoquer toujours un peu plus le brun. S’il devait être coupable du pêché d’orgueil, il emmènerait probablement Sweetie dans sa tombe. A deux au moins, ils s’ennuieraient moins en enfer.

Et ses yeux restent grand ouverts alors que l’autre scelle leur pacte des plus étranges par un baiser inattendu. Ses cils continuent à papillonner de surprise alors qu’ils se séparent. Son sourire s’élargit et le bout de ses doigts viennent effleurer les lèvres de Sweetie, celles qui, une seconde auparavant, se sont collées aux siennes.

« Et dire que les Greens ont pourtant dû te rabâcher qu’il fallait pas pactiser avec le Diable.
Mais heureusement que tu n’as plus de compte à leur rendre.
»

Son visage se penche vers lui, ses doigts courent de ses lèvres jusqu’à sa gorge, et ses murmures viennent se perdre au creux de sa nuque, là où les mèches brunes chatouillent son oreille.

« Qu’elle est belle la vie de Pirate…
Plus de d’entraves, plus de moralité…
»

Libérateur hein ? Et ses doigts qui descendent toujours plus, jusqu’à aller toucher cette main, là, juste à l’endroit précis où se trouvait cette bague - cette alliance - laissée à l’abandon, oubliée, mais peut-être pas tout à fait enterrée. Et Capharnaûm qui joue encore avec le feu, son sourire qui se perd contre la peau de son client.

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Jeu 10 Sep - 19:20
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TABOO
Il pense cerner de mieux en mieux Capharnaüm et savait qu'il réagirait ainsi donc affiche un sourire satisfait. Bien qu'il ait pu accepter de parler avec Capharnaüm, il est assez vexé (sans pour autant vraiment le montrer) que Capharnaüm veuille seulement en savoir plus sur, presque, les autres plus que lui (ex, Greens, Pirates). Il aurait préféré des questions sur lui pour se sentir plus à l'aise et mieux le découvrir. Il décide donc de le faire taire par une remarque et continuer un peu sa drague. (dsl, je sais pas, son égocentrisme est encore monté d'un étage...)
470 WORDS
FT. capharnaüm
Il a beau être détonant, rien d’étonnant à la longue, chez cet énergumène. Il commence à cerner assez bien le personnage pour accorder plus d’attention, autant à l’autre qu’à lui-même. Ainsi, ça ne le surprend pas lorsque son interlocuteur se met à chercher la moindre piste, dans le discours de Lukas, qui serait à son avantage.
Il n’a retenu que la seconde partie du message délivré. Tu m’as l’air différent. Mais pas le restant de la phrase ; du moins il n’a pas réagi là-dessus. Sourire en coin indéniable lorsque Capharnaüm amplifie la chose en se qualifiant comme unique, cela ne veut certainement pas dire que Sweetie acquiesce.
Après tout, ils se sont laissés, sans s’y rendre compte, se glisser dans un stratégique jeu d’ego. Du coup, c’est plutôt de satisfaction, que le brun enchante ses lèvres : La satisfaction d’être intelligent, d’avoir su déchiffrer en Capharnaüm.

Est-ce vraiment de l’intellect ? À vrai dire, c’est bien l’une des rares fois où Sweetie pense savoir décrypter quelqu’un ; ou plutôt le comprendre. Aussi surprenant que ça l’est, lui-même en dodeline la tête. Est-ce qu’il a donné à quelqu’un ce qu’il voulait ? En l’occurrence, un compliment.

Si ça te fait plaisir, ouais, unique.


Qu’importe, il dit. Or, ça l’emporte dans des eaux, dans lesquelles il ne désire plus s’immerger.
Il n'aurait jamais dû s'aventurer vers l'autre. Il perd la main. Il perd ses défenses. L'autre essaye de l'abandonner et de creuser en lui. Intérieurement, Sweetie grimace.

Pourquoi encore parler de ces trucs avec les Greens ? C’est pourtant secret.
Pourquoi encore sous-entendre des choses sur sa relation avec son ex ? C’est pourtant tabou.
Et Sweetie ne compte pas démystifier de tels sujets. Tel n’est pas son but, de toute manière puisqu’il attend simplement de pouvoir exister, lui. Juste qualifié de Green, Pirate ou ex-fiancé, non, il est juste Lukas et pas ces sujets qui gravitent autour.
Tu ne veux pas savoir, par exemple, quelles chorégraphies, je sais interpréter et que je te le présente ? Ou bien même, si tu veux, à quelle heure je me couche et pourquoi ? Il y a beaucoup plus de sujets qu’on peut se susurrer plutôt qu’ébruiter des secrets.

Alors il les balaie. Il ne répond pas quand c’est au sujet des Greens et laisse même entendre dans un murmure que l’homme en face parle (de) trop. Quant à la main qui se languit sur une alliance imaginaire, il la rejette fermement. Il casse la quête pour résoudre le mystère mais dans un même temps, motive leur route ensemble.
Oui, c’est à son tour de prendre la main. Déposée contre le dos du vagabond, Lukas le rapproche davantage de sa peau, en réalité, plutôt que toute l’apparence qu’il représente.
Comme pour lui faire oublier le monde entier mais pas lui, aussi égoïste est-il.
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Mar 15 Sep - 15:14
jeux d'ego
C’est étrange ce silence, seulement coupé par quelques mots indifférents. Comme un moment de flottement, où chacun ne sait plus vers où aller. Et Capharnaüm ne sait pas s’il a effleuré un point sensible ou bien si la lassitude s’est emparée de Sweetie, mais quoiqu’il en soit, ce manque de réaction l’agace. C’est soudainement beaucoup moins drôle. Et le coiffeur est là pour s’amuser. Certes s’amuser aux dépens des autres… et la victime du jour se trouve être un Pirate à la susceptibilité délicate, à la personnalité plus complexe qu’il n’y paraît, et cela rend la situation plus délicate. Plus excitante aussi. Mais d’autant plus dangereuse et lassante. Car ni l’un ni l’autre ne veut céder, deux alphas qui tentent de conquérir un territoire qui n’obtiendra pourtant jamais de maître absolu.

Mais la bêtise humaine les guide. Elle se joue d’eux tels des marionnettes. Et Capharnaüm ne sait plus vraiment si tout ce jeu en vaut véritablement la peine. Pourtant, il ne dit rien, ne fait rien. Se laisse pousser par sa main qui le rapproche encore plus. Et cela lui fait tirer un nouveau sourire.

« Je parle trop et toi tu ne dis presque plus rien.
Mon dieu… tu crois que ça veut dire qu’on se complète parfaitement ?!
Ou alors…
»

Une pause. Son visage qui s’écarte pour plonger son regard dans le sien. Essayer de décrypter et de jouer encore un peu.

« Ou alors qu’on est beaucoup trop différent pour s’entendre.
Sniff… c’est triste.
»

Une moue attristée se dessine sur son visage pour joindre l’image à la parole. Et au fond, il n’y a qu’à les regarder pour se rendre compte de tout ce qui les sépare. Un simple coup d’œil pour en faire deux opposés. Mais les apparences… ah les apparences ! C’est qu’elles jouent souvent des tours. Et le Vagabond le sait, il ne se fera plus avoir par celles que dégagent Sweetie. Et sans être invité, voilà que le coiffeur prend un peu plus ses aises. Après tout, il est bien chez lui non ? Alors il se glisse sur les genoux du brun, l’emprisonne un peu plus. Plus d’échappatoire à moins que de faire valser la silhouette féline de Capharnaüm. Ce qui serait fort désagréable.

« Mais dis-moi… je pensais que tu n’accordais tes faveurs qu’à la gente féminine ? Je me suis encore trompé c’est ça ?
Ah Sweetie… un garçon plein de surprises.
»

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Sam 24 Oct - 19:38
PERSONA'S ICON
DISGUISE
Sweetie n'est pas énervé mais surtout déçu que finalement, Capharnaüm soit une personne qui se base surtout sur les apparences pour juger une personne. Il ne lui en veut pourtant pas puisqu'il est bien conscient que de nombreuses personnes le font, elles aussi. Mais Sweetie est aussi animé par une peur de décevoir aussi, en retour, donc il n'avoue pas pleinement sa peine et préfère montrer une attitude détendu lorsqu'il répond à ses questions.
415 WORDS
FT. capharnaüm
Une neutralité abstinente se brosse sur ses lèvres, suivi d’un hochement négatif, un peu las. Ce n’est pas qu’il est ennuyé du jeu mené par le coiffeur mais plutôt qu’il est déçu qu’il se raccroche à cette simple différence. Ce n’est pas parce qu’ils sont différents physiquement, lorsqu’ils s’affrontent du regard, qu’il faille forcément extrapoler.
En somme, Lukas n’est pas d’accord ; ils ne sont pas non plus de grands opposés et c’est en ça que ça reste intéressant. C’est pourquoi, Lukas, est aussi motivé à rester ici, avec un gars complètement barré en train de s’asseoir sur ses jambes et en sourire, plutôt que l’envoyer paître.

C’est si intéressant qu’encore une fois, il ne satisfait pas le désir cet homme qui, à priori, veut l’entendre. Il plonge juste ses perles azuréennes dans les siennes comme il pourrait y noyer ses désirs. Il voudrait lui dire encore de se taire et reprendre cette pause que Capharnaüm avait sur lui. Cependant, ça n’a pas l’air d’avoir beaucoup d’intérêt pour ce dernier qui accorde beaucoup d’importance aux mots. Ce n’est peut-être pas le cas de Sweetie mais étant assez mais pas aussi bavard, il pense pouvoir comprendre et ne tanche pas cette reprise du dialogue.

Et pourtant, ça serait bien mieux si Capharnaüm était aveugle.
Après tout, c’est peut-être ça qui pourrait le faire convaincre qu’il faudrait arrêter d’avoir recours aux apparences pour monter ses appréciations sur l’autre.

Perdu encore une fois, oui. C’est plutôt du « j’en sais rien et j’ai pas besoin de savoir ».


Il hésite entre un rire blasé et un soupir détendu. À la fois ses mains se portent une nouvelle fois derrière sa nuque mais il rejette la tête en arrière et sur le côté, ne maintenant plus l’eye-contact, comme s’il voulait échapper à une discussion où il n’est pas forcément à l’aise.

J’aime pas vraiment que tu me ranges comme ça. Je suis pas juste un beau gosse devenu bad boy pour faire tomber les femmes à mes pieds. À moins que tu fasses ça avec tout le monde ?


C’est plus de la déception que de la colère puisqu’il faudrait bien que Capharnaüm soit le premier à penser ainsi pour que ça l’irrite. Or, c’est bien l’énième à le faire soupirer. Mais timidement, encore, car même si c’est bien la il-ne-sait-combientième fois qu’on lui déboule ce genre de propos, il ne veut pas non plus décevoir en retour. Paradoxal de vouloir garder une bonne image mais aussi de l’effacer.
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jeux d'ego (⁂) capharnaüm & sweetie
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