Dis, emmène-moi voir au-delà du temps
Vu qu'le temps c'est de l'argent
Et que l'amour n'a pas d'prix
Elle n’a pas d’ami, Lust.
Elle n’a que des nuits agités.
Des draps froissés.
On s'épanouit dans les ébats qui n’ont plus de sens.
( Ils n’en n’ont jamais eut.)
( Jamais.)
Parce qu’en trouver un, c’est difficile tu sais.
Penser à l'après.
Créer des liens.
Elle n’en est pas capable.
C’est des attentes.
Des choses qu’elle est incapables de donner.
Parce qu’elle n’a rien a donner.
Rien du tout.
Elle est si vide Lust.
Vide de sens.
Vide de tout.
Il n’y a rien.
Peu importe combien l’on creuse.
Il ne faut pas rêver au conte de fée.
Pas avec elle.
Les baisers d’amour, ceux qui transforment.
On aurait tort de les laisser exister.
Et ce qui le fait le plus peur Caprice.
C’est que quelqu’un s’en rend compte.
Tant qu’elle choisi, ce n’est pas grave.
Tant qu’elle detruit, alors c’est qu’elle garde le controle.
Elle se moque bien des mots et des insultes formulés trop hauts.
Ca n’a pas d’importance.
Il n’y a pas d’enjeux.
Mais si on s’attachait Caprice.
Si on s’attachait, vraiment.
Vous auriez tant a perdre.
Elle aurait tant à perdre.
Elle, la salope en manque d’amour.
Elle se briserait, un peu plus.
Et la porcelaine est déjà tant fissuré.
Un choc de plus, et il n’y aurait plus rien à présenter.
Elle tient a peine debout.
Flotte dans les vêtements.
Se fait mal avec ses propres os.
Se fait mal avec sa propre haine.
Mais l’amour blesse plus encore.
Alors le choix, ca fait bien longtemps qu’elle la fait.
Elle ne demande jamais les départs.
Elle laisses les autres les formuler.
On a su faire des mots des poids habillement situé sur vos tranchés.
Pour que l’on crache plus que l’on ne susurre.
Pour qu’on bannisse alors que les bras sont encore enlacés.
Elle fait fuir les désires ardents qu’elle provoque dès la moindre trace de sincérités.
Alors qu’est ce que tu fou là Mésange.
Il ne t’ont pas prévénu tous autant qu’ils sont ?
Mésange, barre toi avant qu’il soit trop tard.
Ne vois tu pas tracés les distances de sécurités.
De cette voiture en morceau on ne s’approche que pour des lambeaux de peau.
Es-tu si désespéré ?
Quand as tu pensés Mésange, que frapper à la porte du diable serait une bonne idée.
Toi qui cherche tant à déployer tes ailes, tiens tu donc de nouveau à te les faire couper ?
Elle s’est renseigné sur toi Mésange.
Elle le fait toujours. Ca rend les faiblesses plus lisibles et les airs étonnés plus naturel dans ces jeux de séductions dont on a appris bien des secrets.
Elle sait que tu vagabondes, elle sait que tu papillonnes.
Elle sait les douceurs que tu laisses lorsques tu sillonnes de baisers.
Elle sait que tu te perds.
Comme elle
C’est bien pour ça qu’elle ne sera jamais en mesure de t’aider à te trouver.
La tête en vrac, le coeur abîmé, sur une banquette arrière où on a trop crier.
Crier le mal être, crier les corps qui cherchent à exister.
On relève ce qui reste de nous pour voir ton visage lorque tu te fais si polie.
On ne la dérange jamais, tu sais bien, Caprice. C’est elle, toujours, elle, qui dérange.
Ouvre la porte en veillant a ce que tu t’écartes, tu vois, elle se fait deja si attentionné.
Attrape le bras et t’attire à sa suite.
C’est son être tout entier qu’elle décale pour que le tiens puisse y trouver sa place. C’est si petit. Cela force la proximités.
Mésange Mésange Mésange.
Envole toi, le piège va se refermer.
«
Jamais. »
Mésange, Mésange, Mésange.
«
Est ce que je peux faire quelque chose pour toi ? »
Est ce que tu veux quelque chose de moi ?
Je pourrais tout te donner, sauf ce que tu es venu chercher.
Alors dit moi que les désires tu n’en a pas.
Que tu en as trop.
Que l’on consume l’aurore en devenant son étrange reflet.
Dit moi Mésange, ce qui t'amène ici.
Ce qui a guidé tes pas vers ce lieux critiqués.
Dit moi, je t'offrirai la nuit.
Elle sera belle tu sais.