Mister Sandman, bring me a dream Make him the cutest boy that I've ever seen
C'était toi, n’est ce pas ? Il n’a jamais demandé depuis. Il ne sait pas vraiment pourquoi. Il ne sais pas vraiment a quoi il ressemblait vraiment, ce jour là. Il y a tant de souvenir, si peu a la fois. Eparpillé c’est ceux partagé avec toi qui sont pourtant les plus vifs. Tu as rencontré Tristesse. Tu as fait naître Mélancolie. Les jours se sont passé et dans un recoin du jours, caché derrière quelque nuages de pluie, il a enfoui les mots et les pensées. Il aurait voulu te demander pourtant.
C'était toi, n’est ce pas ?
Il a plier tant d’avion tu sais. Des bateaux aussi. Tant de moyen pour prendre le large, à votre façon. Il sait qu’il te le demandera clairement, il ne sait juste pas quand. Luci, allons faire voler les avions, largons les amarres de nos embarcations. Embarquons ensemble les égarés. Retrouvons nous sur les chemins de pensées.
Parce que. Parce que.
C'était toi, n’est ce pas ?
Et puis ce soir là, c'était elle. Et depuis, c’est nous, mais nous ne somme plus le bon nombre. Il y a eu des perte. Tu sais, Luci, ils ont beau s'appeler chevalier pirates ou greens. Il ne voit que des survivant. On en a perdu un de plus. Une. Il ne la connaissait pas. Pas vraiment. Il avait entendu des histoires, narré par des sourrire et des éclat de rire. C'était suffisant. Il ne lui faut pas grand chose.
L’ombre plane. Les doutes aussi.
Et les tiens? Est ce que tu vas bien. Ou vont tes pensées aujourd’hui.
Il est peut être temps, temps de s’installer à tes côtés. Tant pis si ce n’est pas sur un banc. Ce que tu choisis sera amplement suffisant. Regarde, il a même ramené des excuses. Des tas. Tu peux te servir, prendre ce que tu voudras.
Il a cherche ce qui pourrait t'être utile. Il n’est pas vraiment sur de ses trouvail. Pourtant dans le sac qu’il t’apporte, te dépose comme un présent, il y a de tout. De rien.
C’est son excuse à lui.
“ Je me suis dit que ça pourrait te servir.”
C’est pourtant lui qui t’a dit de venir. C’est pourtant toi qui es là. Alors il défait à peine la fermeture de sa sacoche. Juste assez pour t’inviter. Il y a beaucoup de bijoux de famille. Des métaux bien moins précieux aussi. Il ne doute pourtant pas de l’histoire de chaque morceaux.
Et alors qu’il regarde les nouveaux mots ajouté au mur. Les déclarations en hommage à celle que l’on appelait Batman. Il prononce sans même te regarder.
“ Tu vas bien ? “
Parce que soudain ça a plus d'importance que. C'était toi, n’est ce pas ?
Luciérnaga
no glasses who dis
ferrailleur
lance (voltron, par asterein / dee-woo (art), séraphin, anakin uwwwu)
Luciérnaga
Sam 26 Sep - 14:39
pillards down
c'était moi un peu en partie un peu plus que moi, probablement ça devait être mes espoirs, surtout mes envies, ce à quoi j'aspire tu vois ce que je veux dire ? et toi, alors, est-ce que c'était toi ? et nous, alors, est-ce que c'était nous ? un peu en partie pas tout à fait mais je pense, je crois, que ça peut le devenir c'est étrange à dire, j'ai l'impression qu'on a vécu dans un autre univers juste l'instant de notre rencontre c'était comme s'il n'y avait plus rien qui nous limitaient à part nous-même et quelle liberté que de sentir ça -être tout puissants dans notre vie à envoyer des avions en papier à tout ce qu'on ne veut plus être attaché emprisonné la prochaine fois, dis-moi ferons-nous des hirondelles ? des colibris, des colombes ? je pense que ça serait bien, ça ferait une suite logique, un préambule des plus beaux on peut aussi prendre le large avec des rêves et des idées dis-moi fais-moi juste un signe et j'irai je ferai je crois qu'on a plus le temps le Diable vient récupérer son dû c'est sa marque -les ombres et moi je suis terrifié jusqu'à ce que tu agites devant moi tous les soleils qu'on a fabriqué sur terre (l'or et l'affection) mes yeux s'attardent sur le sac, sur ce qui en dépasse, sur tout ce que ça veut dire (qu'est-ce que ça veut dire ? ça vient d'où ? est-ce que c'est à toi ? est-ce que c'est à d'autres ? est-ce que c'est important ? est-ce que c'est de la confiance ? est-ce que c'est de la peur ? est-ce que c'est du courage ?) moi je te regarde directement sur ton visage j'ai si peur que ça, ça ne me fait plus rien je suis désolé si ça te met mal à l'aise si ça te dérange si ça t'horripile mais vraiment je ah j'ai comme l'impression qu'on se connaît plus que les autres. ne t'inquiètes pas --mes iris sont douces j'espère qu'elles ne te rappelleront pas trop la mer, quand tu viendra les regarder j'aimerais éviter de t'y retrouver noyé englouti dans les si noires abysses les ombres l'Ombre comme un nouveau figurant de cette mascarade divine j'aimerais réagir à ton cadeau à tout ce que tu as fait pour récupérer ça aux pensées que tu y as mis mais c'est juste ----- tes mots et l'ambiance et les autres mots et le choc encore encore encore j'y arrive pas désolé désolé. pas vraiment. la voix qui déraille un violon qui sort une mauvaise note, glisse presque sur un sanglot la main se tend vers tous ces métaux c'est juste des pauvres atomes mis ensemble à quoi ça sert ? j'ai l'impression qu'ils ne savent plus garder de bons souvenirs et quand mes doigts s'approchent, ils ont envie de toucher les tiens (comme pour me rassurer me dire que c'est bien réel ici et avant les deux, vraiment, vivants) et toi ? je remonte mon regard comme pour dire je n'ai pas peur, vas-y, ou alors peut-être je suis terrifié, vas-y mais l'un parle de toi et l'autre parle de moi tu vois ? et en deux jours je n'ai jamais eu autant envie de croire que ça ira.
George
Rapide comme l'éclair
Postier à vélo
George
Dim 27 Sep - 19:44
Mister Sandman, bring me a dream Make him the cutest boy that I've ever seen
Tu es là. Je le suis aussi. Redessine dans l’espace une proximité que nous n’avons osé froler de nouveau. Nous ne sommes pas des inconnus. Mais rien n’est plus pareil. Je comprend qu’il n’y avait pas tant, auparavant. Je comprend que je ne t’avais pas vraiment regardé. Je comprend que je ne t’avais jamais vraiment écouté. Comme je le fais aujourd’hui. Je redécouvre tes lignes. Ta façon de te mouvoir. Je m'aperçois de tes peurs. Je découvre tes inquiétude et les tremblements dans ta voix. Je me rend compte de chose sur moi. Je me rend compte que tu ne met plus étrangé. Je me rend compte de la ligne que je t’ai fais franchir.
Je me rend compte que je refuse que ton sors me sois étranger.
J’aimerais Luci, j’aimerais tant t’offrir un futur plus radieux. J’aimerais, j’aimerais qu'à l’heure de retrouver celui que j’ai rencontré, se dessine des sourires. Des rayons de soleil pour chasser la pluie qui glisse parfois de nos yeux. J’aimerais te voir poser des mots moins abîmés sur le papier. J’aimerais Luci, j’aimerais que ce monde t’offre des trésors bien plus beaux que ce que je t’ai ramené. J’aimerais que tu ailles bien Luci. J’aimerais ton bonheur.
Mais Arcadia bay s'assombrit et j’ai peur que nos coeurs aussi.
Ta voix, elle tremble. Et les talons se tournent. Mes doigts glissent sur le mur qui s’effrite. J’ai tant redouté tes mots, et pourtant, je n’en visualisais pas d’autres.
J’aimerais Luci, j’aimerais tant te dire que rien n’est grave. J’aimerais tant te dire que tout va bien. Mais nous ne sommes pas de ceux qui mente. Nous ne mentons qu'à nous même. C’est bien pour cela que l’on s’en veux plus que l’on n’en veut aux autres.
Tu n’es pas le seul à trembler. Je tremble aussi.
Et pour compenser cela, c’est l’espace que je réduit. Je n’en veux pas. Alors c’est sur le siège le plus proche de toi que je m’installe. Enfonce la fatigue des jours passés dans le velours poncé.
-Moi non plus.
Chaque plis de ton visage, comme le début des rides dont je t’ai vu affublé. J’aimerais tant, que l’on ne t’use si vite.
J’aimerais tant te préserver.
-Il y a pas mal de personne qui vienne dormir à l'hôtel en ce moment, si tu as besoin, tu peux y venir plus souvent aussi. C’est un endroit confortable.
Un endroit que l’on a fait à notre image. Un mélange de tous les horizons. Des choses qui n’ont rien à voir les une avec les autres. Et pourtant, lorsqu’ils regarde les meubles dépareillés. Les écritures de toutes les tailles. De toutes les formes. Toutes les couleurs. Il se dit que c’est une bel ensemble.
-Tu savais qu’il y avait un club photo ? Il y a même une salle de musique, aussi. Un jour si tu veux je te montrerais mes grands talents de musicien.
Agrémenter de sourire, à la recherche des tiens. Je n’ai pas de grand talent Luci, mais si pour t’emmener au large, je dois composer des mélodie, alors je m’appliquerais plus que jamais encore.
Luciérnaga
no glasses who dis
ferrailleur
lance (voltron, par asterein / dee-woo (art), séraphin, anakin uwwwu)
Luciérnaga
Lun 28 Sep - 21:50
if i said too much,
je ne sais même plus vraiment ce que l'on s'est dit dans quel délire j'étais, et dans quels souvenirs tu es resté je me souviens des avions et depuis je regarde le ciel comme si j'allais en voir un voler il n'y a que des baleines, que des mastodontes perdus dans une nouvelle immensité et nous. poussières. dis-moi, george, s'il y avait un avion, est-ce que tu monterais dedans ? sans savoir où il va, sans savoir s'il atterrira ? s'il t'emmenait auprès des gens à qui on a écrit ? s'il te permettait d'arrêter de te demander ce que tu es sensé faire ? ah non tu monterais pas parce que toi, tu sais au moins un peu que t'es indispensable. et qu'importe le brouillard autour ; qu'importe les ratés et tout le reste, tu sera toujours là. je ne sais pas si le savoir me rend triste. si j'ai de la pitié ou de l'admiration. je crois que je n'ai rien. je n'ai rien dans mes poches je n'ai rien dans la tête je n'ai rien dans le cœur tout est parti on m'a volé mes lunettes mes idées mes idéaux j'ai la gorge sèche. je déglutis douloureusement à ta réponse. mes yeux baissés, en diagonal vers un semblant de toi, j'arrive pas à tourner la tête c'est trop demander pour mes muscles presque estropiés depuis quand la tristesse ça vous empêche même de respirer ? un grand silence plus grand que l'hôtel de quoi rassembler mes pensées, celle-là même qu'on m'a pris qu'on m'a dérobé qu'on m'a arraché tu viens les replacer dans ma caboche abîmée comme si elles y avaient fleuries toutes seules tu crois que tu pourrais me montrer jusqu'à ce que je m'endorme ? un regard rapide et je n'ai pas l'énergie ne m'en veux pas désolé, promis la prochaine fois tu verra tellement de sourires que tu ne pourra pas te rappeler de tous mais sache-le : le tien se grave dans ma mémoire comme un pentagramme contre les mauvais esprits tout est encore si neutre mais j'ai l'impression, doucement, de sentir mon cœur qui bat.
George
Rapide comme l'éclair
Postier à vélo
George
Lun 28 Sep - 22:33
Mister Sandman, bring me a dream Make him the cutest boy that I've ever seen
Tu sais j’aime à penser que cet endroit nous protège. Qu’il est loin de tout. Au centre pourtant. J’aime à penser que c'est le nôtre. A nous, sans exception. Que l’on peut s’y retrouver, s’y abriter. Tenter de vivre. Et c’est toi au milieu de nos ruines malhabiles. Et c’est toi qui tangues sur des valses tristes. Balance le coeur vers des tourments qui repasse surement en boucle. Je n’ai pas vu la scéne, j’ai eut pourtant tant d'écho. Il n’y a pas eut les siens. Elle aurait eut tout le droit de pleurer. De hurler. Tout ce qu’elle aurait voulu, je l’aurais accepté. C'était pire que d’avoir vent des rumeurs. Pire que d’essayer d’imaginer une scène que l’on ne veut pas voir. Il n’y avait que sa tristesse. Que son son manque. Son trou béant. Que sa rage qui n’explose pas. Le vide. Seulement le vide.
Et moi qui ne sait le combler.
La ville a t-elle encore creuser les fossés qui te compose Luci ? Te sens tu crouler sous ton propre poid ? Te sens tu écraser par une force bien au dessus de toi?
Tu parle de sommeil, je retrace les envie de ne plus voir le jour se lever. Ces jours qui n’arrivent pas par peur de ce qui pourrait s’y trouver. Mais je veillerais Luci, a ce que tes yeux s’ouvre. Je veillerais à ce que le décor soit plus plaisant. Je veillerais. Je veillerais sur toi.
-Viens avec moi. Il y a un canapé à l’étage.
Je peux rester ici. Joue pour toi toute la nuit. Promet seulement de revenir. Tu as dit, tu t’en souviens, que tu ne partirais pas. Et moi comme le gamin que j’ai été ce jour là. Je crois encore à ses mots de toi.
Je ne tiens pas ta main. Mon regard lui ne te lâche pas. Juste une seconde. Un instant Le temps de fouiller sous le comptoir. De trouver la clef que Key a dissimuler.
L’escalier grince et j’attend que tes pas le fassent gronder pour m’avancer. Ce n’est pas loin. Ce ne sera pas notre grand voyage. Mais pour aujourd’hui ça suffira.
J’ouvre la porte, t’invite à entrer. Il y a ce que nous avons pu trouver. Les instruments ne sont pas tous en bonne état, les mélodies ne sonnent plus si juste. On fait avec, comme pour le reste.
Et alors que je te laisse t’installer sur les coussins, je me pose sur le rebord pour te laisser toute la place qu’il te faudra. Je ne suis pas fatigué. Je peux veiller encore.
Je ne sais pas ce que je vais te jouer, je ne sais pas ou la nuit va nous porter.
- Ca fait un moment que je n’ai pas jouer.
Seulement quelque morceau pour montrer aux filles. Des notes un peu fausses. Un peu rouillé par la pluie et les soucis.
-Je vais essayer de ne pas jouer dans tes oreilles, ou alors tu ne dormiras jamais.
Ca sonne fort, le saxophone, ca fait sortir tout ce que tu as de ton corps. Donner les sentiments, se vider de la moindre goutte. Il ne sait pas si il est en encore capable.
- je ne promets rien pour la qualité…
Placer les doigts, le souffle qui se retient. Le cœur au bord des lèvres. Ne pas jouer trop fort. Juste assez pour parvenir jusqu'à toi.
Luciérnaga
no glasses who dis
ferrailleur
lance (voltron, par asterein / dee-woo (art), séraphin, anakin uwwwu)
Luciérnaga
Dim 4 Oct - 21:18
did i love too hard?
je crois que tu as bien des talents mais pour le moment je n'en suis pas certain alors -alors promets-moi de tous mes les montrer, qu'importe si ce n'est que dans ma tête ou seulement pour quelques mois tant que ça nous donne du temps du temps pour pour tout. pour apprendre l'autre, et pour s'apprendre soi, et s'aider l'un l'autre, et construire des rafiots de bois et de paille jusqu'à ce qu'on comprenne qu'on ne veut pas voyager, on veut juste changer pour devenir meilleur moi je ne pense pas qu'il faille oublier nos peines mais là elles sont partout elles m'écrasent et je suffoque et oui la ville a creusé des tombeaux là où elle a extirpé tous mes espoirs ; elle a lancé des bombes et ils ont suffoqués sous la chaleur la fumée ils n'avaient plus rien à manger plus personne à parasiter alors ils sont simplement tombés j'espère que personne ne les ramassera jamais des espoirs comme ceux-là, on n'en a pas besoin, crois-moi mais pour le moment je n'arrive pas à me voir sans eux alors oh, oui, les aubes sont navrantes fatigantes lassantes dans leur monotonie agonisante. j'aimerais ne voir plus que le jour, et oublier que la nuit existe ça me donnerait une excuse pour tout le noir dans mon corps on dit qu'on est fait surtout d'eau mais on oublie tout le vide entre nos atomes et j'ai tellement besoin de quelqu'un pour les combler de gens, de tous, de toi, des autres. et ma vorace appétence pour le contact (les corps humains les sentiments que l'on sent les instants où les mots n'importent pas) me crie d'enlever tes cinq doigts mais j'en suis incapable ma main est alourdie de tous ces sentiments d'inachevés, abhorrés je te regarde et je me traine, lourdement, derrière c'est comme si l'hôtel, déjà, commençait le concert l'introduction de la pièce, la porte qui s'ouvre et qui dévoile un pan d'espace hors du temps des objets à moitié cassés mais pas encore tout à fait assez pour être jetés et te voilà à me montrer qu'on peut créer même avec ce qui est brisé. je m'installe dans ces coussins, pas encore prêt à dormir (j'ai trop d'idées qui fourmillent en arrière plan j'essaie de me concentrer sur toi mais à la seconde où ça s'arrêtera elles viendront me dévorer tout entier) je ne dis rien parce que j'attends de voir j'attends d'entendre j'attends de sentir et oh, la voilà la joie que d'entendre une mélodie qui dit "ah ! nous sommes là !" on dirait qu'elle cache des rire et qu'elle se moque du soleil qui part se coucher on dirait qu'elle est la maitresse de milliards de danseurs et qu'elle veut tous les aimer autant qu'ils sont on dirait qu'elle s'en fiche du passé et qu'elle s'en fiche du futur et moi, pas encore endormi, bien assis, je préfère t'écouter un peu (encore, encore) je viens attraper un autre coussin pour le coincer entre mes bras et d'un coup ça va mieux un peu j'écoute l'extérieur tout à l'intérieur doucement se calme comme s'ils voulaient aussi écouter et danser et chanter, les démons de mes entrailles. le visage penché, la joue sur mes genoux, le regard un peu perdu j'écoute et je souris juste un peu mais c'est déjà beaucoup. et au fil des minutes c'est mon cœur qui viendra battre au rythme de tes doigts je n'arrive pas à me dire que tu joues pour moi alors j'imagine des aventures des gens des amantes des frères des ennemis à qui tu peux bien dédier ces morceaux de ta vie doucement doucement mes paupières sont plus dures à rouvrir et finalement finalement je m'allonge, vaincu, juste à tes côtés silencieusement, glisser dans un inconnu que j'ai refusé bien trop longtemps.