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La princesse et la grenouille - Shalott

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Jeu 26 Aoû - 15:59
La princesse et la grenouille

Avec elles faut rien dire sans réfléchir, faut toujours peser ses mots
Désobéir à tes désirs et t'adapter au tempo
Tu comprends pas tout, tout est trop flou
Comme si t'avais bu la tasse, noyé comme tous ces idiots
Les filles, elles respirent sous l'eau
Elles sont bien pires que dans Shakespeare
Elles ont des dents sous la peau
Jouent les martyrs, cachent un sourire, un revolver dans le dos
Le grand méchant loup, elles sont partout
Tu sens monter la menace Tu dis ça, t'es pas macho mais c'est pas des gens comme il faut





Quand est ce gamin travaille certain dirait ? Et bien, certainement pas quand les plus vieux ont le dos tourné. Ses mains sont rangées dans ses potes tandis qu’il cherche un de ses amis chevalier pour passer la fin de la journée. ((Où sont-ils tous passés?)) Néanmoins, il ne trouve pour l’instant personne avec qui rester. Il est pourtant un peu têtu, jusqu’à trouver une personne qu’il n’a jamais vue.

Qu’est ce que c’est ? C’est une personne aux longs cheveux roux, plongées dans un bouquin. Elle est tranquillement installée à l’ombre d’un arbre tandis qu’elle éveille en lui toute une curiosité.

Au loin des terres vertes, il y a un être qui semble dégager une certaine beauté…
A sa découverte, le gamin veut l’approcher, veut l’amadouer pour l’attirer la tirer dans ses filets.

Avec ses cheveux qui tendent vers les reflets orangés, le garçon a envie de faire connaissance, de discuter. Curieux de cette fille qui ne semble pas le remarquer, même si son bras est tendu, même si son bras un moment reste levé. Si elle ne le remarque pas, il est temps de passer à la vitesse supérieure… Il a l’air si sûr de lui, il n’a pas peur. Sa langue vient lécher la lèvre qui surplombe sa bouche tandis que sa tentative de se recoiffer avec cette étrange frange est abandonnée puisque ça large frange sans cesse s’affaisse. Jack utilise ses jambes pour s’approcher en bombant le torse fièrement. Il est digne de lui même et montre qu’il est assuré, peut-être même rassurant. A côté de l’arbre où elle semble être plongée dans les vagues de mot, il commence alors à l’aborder. -

- Hey… Salut toi. T’es vraiment super jolie de loin tu sais.


Il vient s’accouder contre le tronc et garde le regard posé sur la multitude de petites tâches qu’il n’arrivait pas encore bien à voir aussi éloigné. Il se demande combien elle en a, et trouve que c’est sur une autre personne d’une réelle beauté. Il se contente de sourire comme il le fait habituellement. Jack est attiré, c’est lui qui tombe dans un traître filet : la beauté. Il passe l’une de ses mains sous son menton pour effectuer un geste stylé assurément. Il est prêt à discuter à cette demoiselle qu’il n’a jamais rencontré. Il ne comprend pas d’ailleurs pourquoi personne ne lui a présenté. Il pense aussi à son tableau de baiser qu’il a envie d’agrandir à ses côtés.

Jack n’aurait pas eu une attitude aussi exagérée en réalité : il ne fait que suivre les conseils d’Ursula, il ne veut seulement que l’imiter parce que c’est la seule personne qu’il connaît qui arrive autant à s’approcher de la gente féminine. Résultat, il joue les loveurs aux œillades taquines. Ce que tout le monde a oublié, c’est que Pollywog est nul quand il s’agit d’apprendre une leçon… Il a toujours été meilleur en improvisation. Et surtout, les filles ne sont pas toujours aussi dociles qu’il croit.

Le têtard a plongé à la recherche d’un sujet de conversation.
Il se sert de la seule chose qui prend toute son attention.

- Tu lis quoi ? Ça a l’air de te passionner dis moi.


Il hausse une fois les sourcils et sourit sans montrer les dents.
Il n’a clairement pas compris ce qu’à dit Ursula apparemment.
Il faut rester confiant, mais complexé, il fait semblant.
Landscape of Justice | Aout | Shalott la carotte







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Shalott
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Shalott
Shalott
Mar 31 Aoû - 22:00
Chapitre 1 : La Princesse et la grenouille

Elle a lissé les draps, noué les cheveux, complété les devoirs.
Assise sous son arbre, elle se satisfait du travail accompli lors d'une journée qu'elle qualifierait de productive. Plus aucune culpabilité, plus aucune tâche ingrate (mais Ô combien satisfaisante une fois accomplie) ne lui brouille l'esprit ; et comme souvent quand la paix l'anime, elle fait méthodiquement défiler les pages d'un livre dont elle s'est saisie – méthodiquement, car repose à côté d'elle un carnet qu'elle ouvre de temps en temps pour y inscrire des notes de lecture.

C'est dans ces moments là qu'elle se réjouit d'être seule.
Ne faire qu'un avec la brise, les nuages, et les mots.
(Elle se maudirait plus tard d'avoir parlé trop tôt.)

Car au début, elle ne le remarque pas. Noyée dans sa tentative de compréhension d'un texte qui se veut intelligent (et qui, par conséquent, noie l'histoire dans un océan de descriptions inutiles), elle se demande encore s'il ne serait pas pertinent de transformer sa liste de personnages en schéma, afin de pouvoir y griffonner des flèches et, ainsi, retenir leurs relations.
Si elle ne lui dédie pas un seul regard, ce n'est pas (encore) par rejet, mais parce que sa présence même passe après celle du précieux bouquin – qu'elle doit régulièrement refermer pour s'en remémorer le titre.

Alors, quand les paroles viennent remplacer les gestes et se cognent à celles que Shalott tente habilement de déchiffrer, elle ne sursaute pas ; pourtant le mouvement est rapide. Sourcils froncés, lèvres pincées et regard noir, elle dévisage le fauteur de troubles ; celui qui a interrompu son paragraphe. Il a des cheveux sombres, assez longs, quelques rougeurs sur le visage (des boutons ?) et l'air un peu trop fier pour ce qu'il vient de déblatérer.
Est-ce qu'elle le connaît ?
Peut-être l'a-t-elle déjà vu traîner par ici ?
Serait-ce un pari ?
Il n'a pas l'air futé.

Elle aurait probablement fait fondre sa grimace depuis un petit moment avec n'importe qui d'autre, mais l'approche du garçon la fait encore frémir, si bien qu'elle abaisse le regard sur son livre, faisant presque mine de l'ignorer – une chose que sa fierté naturelle l'empêche de faire, mais ce n'est pas bien grave. Elle va lui répondre avec la plus grande des froideurs, et il va s'en aller, la queue entre les jambes. L'interruption est agaçante, mais momentanée.

« J'ai pas envie de discuter. Va faire mumuse ailleurs. »

S'il s'appuie sur l'arbre alors même qu'elle lui répond ainsi, c'est juste une affaire de mauvais timing, pas vrai ?
Pas vrai ?
Les pupilles toujours rivées sur le bouquin ouvert, Shalott a comme un mauvais pressentiment – et elle n'ose pas bouger. Est-elle censée reprendre sa lecture, comme si de rien n'était ? Mais elle n'arrive pas à lire, quand on la surveille. Pire, quand on lui parle. Elle ne le voit pas s'en aller, et déjà elle peut se l'imaginer raconter tout et n'importe quoi pour la distraire – ça ne va vraiment, vraiment pas aller du tout.

« La Conquête de Plassans. C'est ça, que je lis. Et c'est clairement pas de ton niveau, fais pas comme si ça pouvait t'intéresser. »

La fierté de ne pas s'être trompée dans le nom du roman domine, et couplée à celle d'avoir pu remettre l'inconnu à sa place, elle lui arrache un petit sourire en coin. Ça lui apprendra, à la déranger sans raison.
Ce qu'elle ne parvient pas non plus à retenir, c'est l'envie d'en étaler toujours plus (c'est en partie pour ça qu'elle lit, après tout).

« Pour ta gouverne, c'est du Zola. »

Si elle ne précise pas que le Zola en question était un écrivain brillant du 19ème, ou encore que le livre fait en réalité partie d'une longue série, c'est d'abord car elle n'en a aucune idée – la confiture a ses limites –, mais aussi et surtout parce que, tout de même, il faut que ce garçon s'en aille.
Et vite.
Pas question d'y passer la nuit.


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Mar 31 Aoû - 23:12
La princesse et la grenouille
Ça y est, la fille répond enfin à ses avances, et lui il veut rapidement entrer dans la danse. Il continue de la fixer, elle est son livre, mais ne semble pas très réceptive à ses propos. Elle préfère se concentrer sur ce gros livre, sur ce qui le compose : les belles phrases, les jolis mots. Lui, ne comprend pas pourquoi elle s’entiche à lui dire d’aller voir ailleurs, il a tout son temps, que cela des minutes des secondes, des heures. Ses grands yeux verts sont amusés par son côté répulsif : pourquoi elle est aussi coincée ?

- Ah… C’est ENCORE un problème de digestion. C’est plus fréquent qu’il n’y paraît. Tu devrais trouver des pruneaux ou des figues tu sais.

Oui, les humeurs dépendent pour Pollywog souvent de la digestion de la personne concernée. Donc si la jeune fille semble fermée, c’est uniquement parce qu’elle soit avoir mal au ventre. Ou peut-être parce qu’elle est attristée. Jack ? Il ne comprend pas vraiment les filles, ni les femmes, ni les hommes on dirait. Il se contente donc de s’asseoiir à ses côtés pour voir un peu plus de quoi elle parle. Ce qu’il trouve, c’est des rangées de mots, des lignes entières et successives et ça le fatigue rien que de regarder.

- Comment tu peux connaître mon niveau ? Et comment tu sais ce qui me plait ? Tu ne fais même pas l’effort de me regarder ? Qui te dit pas que… J’vais te faire craquer.

Son niveau n'est pas proportionnel à son sourire. Ce dernier grandit encore et encore sur son visage, à moitié déformée par la cicatrice qui s’y est logée. Il continue d’essayer de lire, mais il n’y a pas d’action, c’est mou, c’est chiant. Il ne comprend pas ce qu’il y a de bien à lire ces élucubrations. Alors ses mains viennent prendre le bouquin des mains de Shalott pour le feuilleter… Seulement au bout de quelques secondes, il s’arrête, referme le livre et commence à s’éloigner de la rouquine avec ce dernier.

Il est presque moqueur, mais il veut juste un peu d’attention, il veut juste s’amuser et rire avec la fille un peu tordue qu’il a trouvé.

- Ouais, bah ton Zola, c’est moi qui l’ait ! Viens le chercher !

Et il commence à reculer tranquillement en continuant de l’observer. Taquin, joueur, il ne voit pas qu’il importune vraiment la fille depuis déjà moins d’un quart d’heure. L’échalote n’est pas censée être explosive, mais celle-ci pour lui pourrait être bien corrosive.

Il veut jouer, prendre du bon temps…
Pas question d'y passer la nuit.


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Lun 27 Sep - 21:34
Chapitre 1 : La Princesse et la grenouille

C'est assez drôle comme de grandes réalisations éclosent parfois dans des situations si futiles.
Celle du moment, pour Shalott, c'est qu'elle n'aime pas les gens bornés.
Ils ont tous ce truc en commun, une sorte de cécité sociale peut-être – car on ne lui fera pas croire qu'elle n'a pas été claire – ce ne sont pas des signaux, qu'elle a envoyé, mais le dictionnaire de morse entier. Ses épaules sont rentrées, ses sourcils froncés, et elle veut. Être. Tranquille.

« De quoi tu parles ? »

En plus d'être lourd, il dégobille du non-sens. Quel problème de digestion ? C'est au niveau des oreilles qu'il se situe, son souci.
Et si elle avait des figues sous la main, elle s'en servirait probablement pour faire fuir l'indésirable.

Sans chercher à se faire discrète, elle roule des yeux lorsqu'il s'assoit – pour de vrai ? Il s'assoit ? Sous son arbre ? A elle ? Celui qu'elle a choisi ? Son arbre ?
Et il se penche, en plus. Comme les mamies dans le bus quand Amelia avait entamé les Poirot. Génial. Splendide. Absolument. Merveilleux. Je te fais un thé, tant que tu y es ? Car elle adore ça, elle, les gens sans-gêne – ceux qui ne demandent pas, ceux qui s'imposent, ceux qui ENVAHISSENT son espace personnel et qui parlent, parlent, parlent – et bien évidemment qu'elle est obligée d'écouter.
C'est d'ailleurs bien parce qu'elle écoute qu'elle est aussi agacée – est-il seulement possible d'être plus insupportable que ce gamin ?

Au travers de l'agacement pointe cependant un rire. Il n'est pas long, ni fort, mais bien moqueur, et il laisse sur le visage de son hôte les traces à peine exagérées d'un « comment oses-tu ? » ; yeux écarquillés, sourcils relevés, et fossettes creusées.
Bien déterminée à prouver à quel point elle est outrée, Shalott met quelques secondes avant de seulement commencer à formuler une réponse.

« Ton niveau, il se voit. Ça fait combien de temps que t'as pas ouvert un livre ? Et les Picsou magazines comptent pas, hein. »

Jusqu'à quand va-t-elle perdre son temps ainsi ?

« Je ne m'abaisserai même pas à répondre au reste. Il te manque bien vingt centimètres avant d'essayer de plaire à qui que ce soit. »

Probablement menée par l'obstination de la jeunesse (qui disait qu'elle n'aimait pas les gens bornés, déjà ?), celle qui veut toujours avoir le dernier mot et remporter tous les débats, elle continue de se contredire sans pour autant s'en formaliser.
Ce qui la gêne surtout – sans qu'elle n'arrive trop à mettre le doigt dessus –, c'est qu'elle a visiblement trouvé un adversaire à sa taille.
Un adversaire qui vient de faire glisser son bouquin hors de ses mains – et ça, non, c'est vraiment trop. Passée la courte période de surprise (ponctuée d'un « eh ! » plaintif), elle tente déjà de remettre la main dessus – c'est son livre ! -, mais il est trop tard. Le mal est fait. Et c'est affreux, ce sentiment, celui qui gagne ses tripes ; la sensation d'humiliation qui irradie, qui s'ancre dans ses joues, dans la pointe de ses doigts.

Elle sait que si elle se met à pleurer, on lui dira encore qu'elle prend tout trop à cœur.
Elle n'a pas l'intention d'en rire pour autant.
(Ce serait lui accorder une victoire trop aisée.)

Attrapant négligemment ses béquilles, elle se prépare mentalement. C'est une véritable guerre qu'il vient de déclencher – et qu'il en soit conscient ou non, il va devoir en affronter les conséquences.

« Si tu penses que je peux pas te rattraper... »

...tu as peut-être raison, mais quand même serait une version plus honnête du dicton – mais l'outrage est grand, et la détermination n'en est que plus forte ; alors on conservera un simple  « tu te fourres le doigt dans l'oeil ».
Laissant derrière elle un sac et une veste, elle s'élance à la poursuite de l'offenseur, prête à tout pour récupérer son dû.


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Mar 28 Sep - 15:36
La princesse et la grenouille
- T’as l’air quand même super coincée. J’imagine que c’est ta digestion qui pose un problème… Sinon c’est ta personnalité qu’il faut réveiller !

Il parle comme ça lui vient, ne réfléchit pas aux conséquences. Il vit le moment présent, c’est la seule évidence. Il lui sourit, il a l’air satisfait. Il ne comprend pas son air énervé, il arrive à le lire, mais n’arrive pas à vraiment à prendre au sérieux son mécontentement. Il ne comprend pas pourquoi il dérange, il est pourtant sympa avec la fille à la peau d’ange. Lui, il se contente de lui sourire, il pense que c’est contagieux. A croire qu’ils ne sont pas sur la même longueur d’onde tout les deux.

Les remarques sur son niveau ne lui font pas grand-chose… Si ce n’est le faire se tordre rire. Oui, il n’est pas le plus intelligent, le plus futé, mais il n’est pas non plus aussi bête qu’on a tendance à le croire. Même s’il doute de lui, il n’en est pas moins un être avec un libre esprit.

- Bah… J’ouvre pleins de comics. Tu devrais en lire, c’est quand même un peu plus intéressant que ça… Je vois pas pourquoi tu t’embêtes. Il y a pleins de trucs plus amusants à lire, tu crois pas ?

Puis il se prend le deuxième commentaire sur son physique. Il est déjà bien complexé, alors forcément sans volonté de nuire, il lui jette à la figure la réplique.

- Je suis pas encore très grand, c’est vrai. Mais je vois pas pourquoi t’agis méchamment comme ça. T’as des défauts aussi regarde toi. T’es plate. Et ça, ça changera peut-être pas. Et si j’étais aussi dur que toi, bah… Je dirai que t’as pas d’âme, parce que t’es rousse. C'est pas très agréable tu vois...

Ses deux verts se déposent sur la poitrine de l’inconnue. Puis il remonte son visage vers le sien, en tenant toujours le fameux bouquin. La jeune fille s’arme de ses béquilles pour marcher. Et lui, lui il n’a pas tendance à s’en inquiété. Il en a déjà eu quand il s’est blessé. Les jeux de garçons sont des jeux inconscients : « petit con ».

- T’as du courage quand même. J’aime ça chez les filles... Raison de plus pour traîner avec moi ! Mais j’ai déjà marché avec ça, et euh… J’veux pas vouloir te vexer, même si t’as déjà l’air embêtée, mais t’es quand même un peu handicapée et ça va être dur d’aller plus vite que moi comme ça… Tu devrais pas autant t’entêter.


Il lui tend le livre qu’il avait pris et gentiment, lui sourit. En un sens, il ne veut pas lui faire de mal, il voulait juste s'amuser, mais il a une maladresse légendaire quand il s'agit de la draguer. L'entrainement n'est pas vraiment à négliger.

- J’avais pas vu que tu pouvais pas marcher...

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