Explications supplémentaires sur les Groupes

Pour dormir • Si on a d'abord utilisé les salles de classes pour organiser des sortes de dortoirs afin d'abriter les refugiés, cela a fini par évoluer vers un confort malgré tout encore précaire. L'ancien internat de l'université a été réaménagé au court de l'année passée pour créer des sortes de chambres ou l'on dort à plusieurs en fonction des affinités que l'on a. Souvent deux par deux, et aménagé en fonction de ce que le groupe trouve, chacun a malgré tout un lit. Pour la déco, chaque chevalier y va de sa petite touche. Les enfants, eux, dorment encore ensemble jusqu'à ce qu'ils aient 12 ans ou qu'un souci se pose parmi eux, permettant aux nounous de surveillance de veiller à leur sommeil. (Les nounous font souvent une rotation où quelqu'un se retrouve à faire des "tours de garde" pour voir si tout va bien pour les précieux bambin.)

Pour manger • L'avantage de vivre dans un ancien complexe étudiant, c'est que l'on possède un self, du moins, ce qu'il en reste. Réaménagé et sécurisé lui aussi, il offre un vaste espace où se poser à l'heure du repas, bien que tout le monde ne se plaise pas à manger avec tout le monde. Il est possible de prendre son repas et de le manger où on le souhaite, sauf pour les enfants qui eux sont obligés d'être à table, à part pour les sorties pique-nique organisées certains midis. On ne se sert pas dans la cuisine comme on le souhaite, et bien que l'on ne tape pas sur les doigts des chapardeurs, cela reste mal vu, les chevaliers ne possèdent pas des ressources illimitées de nourritures et ici tout le monde se serre un peu la ceinture, piller les réserve c'est faire preuve d'un égoïsme malvenu dans cette grande famille. La cuisine est d'ailleurs ce qui prend le plus de ressource électrique au sein des chevaliers, de 11h à midi et de 18h à 19h, il est demandé de ne pas solliciter les installations pour ne pas faire sauter les plombs. En terme de quantité, et bien que l'on fasse souvent passer les enfants avant tout le reste, on veille malgré tout à ce que chacun ait un apport journalier. Pour ceux qui ne viendraient pas à l'heure du repas, un tupperware est laissé avec le nom de la personne manquante, qu'elle peut le prendre à l'heure désirée, si toute fois il n'est pas mangé avant le repas d'après, il est considéré comme abandonné et peut être servi a quelqu'un d'autre. ( n surveille vraiment que tout le monde prenne soin de lui chez les chevaliers, et sauter plusieurs fois des repas peut vous valoir une longue conversation avec un des chevaliers de la table ronde.)

Niveau de vie • Comme dit plus haut et dans l'annexe juste ICI sur les ressources, les chevaliers ont un niveau de vie encore assez précaire, mais suffisant. L'électricité saute encore de temps en temps quand la météo se fait capricieuse pour les éoliennes. Au niveau des récoltes, après l'évènement où les pirates ont attaqué le château, il a été décidé de faire pousser une partie en intérieur, et c'est la moitié du gymnase qui s'est vu transformé. Cela a pris pas mal de temps pour détruire le sol et le rendre exploitable, mais on y trouve maintenant plusieurs cultures de légumes servant à nourrir le groupe. Chacun y travaille à tour de rôle peu importe le rôle qu'il tient habituellement, cherchant à responsabiliser les membres, on peut ainsi se retrouver une semaine de corvée de culture.

Gestion du froid • Ne pouvant se reposer sur le chauffage, les chevaliers ont misé sur une isolation de leurs structures assez efficace et sur un stock de couvertures et de pulls conséquents. En cas de grand froid, deux grandes salles ont été conçues pour accueillir des cheminées, où l'on s'abrite ensemble, donnant un air de colonie de vacances au groupe (plus que d'habitude, en tout cas.) Il y a aussi quelque chose de nouveau dans l'air depuis cet automne, on n'arrive pas vraiment à définir ce que c'est mais l'air semble plus doux, chaleureux, comme si une fois arrivés en territoire chevalier, les températures semblaient bien plus supportable. Quand l'année dernière on superposait les couches de vêtements, on se retrouve maintenant à pouvoir se mouvoir sans ressembler à un bonhomme Michelin.

Autres espaces  • Les salles de classes sont donc redevenues avec le temps des salles de classes pour l'éducation des enfants, certaines servent maintenant de lieux de stockage où l'on accumule tout ce qui pourrait servir à la survie du groupe, vêtements, matières premières, meubles, outils, etc. Au rez-de-chaussée du bâtiment principal se situe l'ancienne salle des professeurs, qui sert maintenant de repère pour les adultes, les enfants eux n'ont pas le droit d'y aller, leurs dessins servent pourtant de magnifique tapisserie. On y trouve une machine à café en état de marche et des fauteuils de toutes sortes. Un canapé y a été installé en espérant voir le quota d'heures de sommeil d'Arthur augmenter. On peut parfois la trouver ici lorsqu'elle se décide enfin à fermer les yeux. C'est dans cette salle que sont effectuées les réunions de la table ronde.

Réglementation du groupe • Il règne chez les chevaliers un esprit familial puissant et bienveillant qui fait que peu de règles sont vraiment imposées aux membres. S'il est bien vu de participer aux tâches, tout se fait de manière assez volontaire et chacun est libre de se gérer. On demande simplement à chacun de respecter l'économie d'électricité et de ne pas l'utiliser à ses fins personnelles.

A cette image, le potager est géré par l'ensemble des membres qui s'entraident tous pour le plus grand nombre et le seul point où on attend réellement qu'on le respecte est la résolution de conflits pacifiques. On ne se blesse pas chez les Chevaliers, on cherche à gérer le conflit par la discussion et le dialogue. Si bagarre néanmoins il y a, c'est aux chevaliers de la table ronde d'intervenir. Ce sont eux qui sont chargés de veiller à la bonne intégration et au bien-être de chacun dans ce groupe, ils interviennent également pour ne laisser personne de côté et s'ils se font boucliers ils sont aussi et surtout une oreille attentive vers qui se tourner.

Venir en territoire chevalier • Il n'est pas très dur d'entrer en territoire chevalier, les grandes plaines qu'offre cette large zone ne permettent pas une surveillance de tous les instants. Il est par contre bien plus dur de pénétrer le château, surtout depuis la première attaque pirate. Des grandes planches de bois entourent l'ancienne académie, et si les peintures qui les recouvrent n'ont rien d'effrayantes, elles mettent malgré tout en garde sur le fait que pour aller plus loin, vous aurez besoin d'une autorisation. Des rondes autour du châteaux sont souvent organisées et des personnes sont en vigilance la nuit pour s'assurer que rien ni personne ne s'approche de trop près. Dernièrement les Greens se sont fait plus présents chez les chevaliers, et si certains visages peuvent passer les gardes sans se faire emmerder, d'autre se font accoster et fouiller juste pour montrer que malgré les accords, ils ne sont pas chez eux.

Conséquence lorsque l'on quitte le groupe • Les chevaliers ont toujours été un groupe très ouvert, et s'il a vu le jour par le rassemblement de survivant, il n'a jamais été question de les enfermer, bien sûr le cœur est lourd lorsque l'on perd quelqu'un de la famille, mais jamais l'on ne souhaiterait retenir quelqu'un contre son gré. Bien que cela soit l'avis général du groupe, certains le voient malgré tout comme une trahison.

Pour dormir • Les voitures sont une ressource dont les pirates ne se sont pas privés dans les premiers jours de l'apocalypse, petit nid à matière première pouvant être déplacées sans trop de difficulté, elles sont encore un atout majeur pour les pirates dans leurs échanges commerciaux et leurs déplacements. Il y pourtant un autre rôle qu'elles remplissent depuis le début de cette nouvelle vie. Chacun possède un bolide de plus ou moins bonne qualité. Si au début chaque pirate a choisi son espace de vie sans que personne n'y fasse vraiment attention, il est maintenant de coutume que pour posséder un habitacle plus confortable, il faut prouver qu'on le mérite. Toutefois avec le temps, d'autres lieux de vies ont vu le jour. Les wagons une fois redressés se sont vu restaurés et aménagés en grands dortoirs, la décoration y est hétéroclite, forgée par les passages plus ou moins longs de ceux qui y résident.

Pour manger • Si les vols et les pillages arrivaient à faire survivre ce groupe, ce n'est plus la cas. il a donc fallut réfléchir autrement. Bien sûr l'on compte encore sur des fouilles approfondies pour trouver conserves, canettes et autres sources de plaisir, mais un potager à fait son apparition vers la fin de la première année de vie au sein de la boucle. Si dans les autres groupes on partage, ici ça ne se passe pas exactement de la même manière. Il faut travailler pour manger. Alors soit on met la main à la patte pour avoir droit à une partie des récoltes, soit l'on se débrouille pour trouver de quoi se sustenter. Les marchés avec les autres groupes permettent certes d'avoir des ressources non négligeables, mais ça ne fait pas tout. Et les pirates ont appris (pas tous) que se nourrir d'alcool n'est pas le plus efficace. Malgré tout, au niveau de l'alimentation comme dans d'autres domaines, les pirates se retrouvent bien à la traine et on ne peut pas dire que tout le monde mange à sa faim. Point positif, les chimistes proposent désormais un alcool qui ne vous donne plus envie de vomir après en avoir bu deux gorgées.

Niveau de vie • Comme le souligne le point au-dessus, les pirates ne sont pas les mieux logés. L’hygiène même au bout de deux ans n'est pas le point fort des pirates et l'eau reste une ressource qu'ils ont du mal à stocker afin de la réutiliser. Cependant, à la date du 1er novembre marquant cette deuxième année d'enfermement dans la boucle, les pirates ont reçu un avantage qu'ils n'avaient pas vu venir. Sans que l'on ne sache ni d’où ni comment, l’électricité semble avoir décidée de se remettre en route de façon presque continue sur leur territoire, leur offrant un luxe qu'ils n'avaient pas et qu'ils doivent maintenant chercher à exploiter au mieux. Des guirlandes électriques parcourant toute la décharge offrent désormais une source de lumière toute en couleurs pour les futurs grandes nuit d'hiver. Peut être qu'ainsi l'on se prendra moins les pieds dans tout ce bazar ambiance.

Gestion du froid • Le retour de l’électricité restant malgré tout encore un peu aléatoire, les pirates ont gardé les habitudes qui leur avaient permis de survivre jusqu’à maintenant, et puis, on aime bien foutre le feu quand on est un pirate. Des grands feux sont encore allumés de façon régulière pour que chacun puisse s'y réchauffer. On y dépose des pierres pour qu'elles prennent la chaleur avant de les retirer et de les enfermer dans des linges afin d'obtenir une sorte de bouillotte pour que les nuits sur les banquettes arrières soient moins dures à traverser.

Autres espaces  • Si la décharge ressemble toujours à un amas de choses toutes plus étranges les unes que les autres, les espaces de stockage se sont vus multipliés. Les ressources à piller se faisant de plus en plus rares, on protège au mieux ce que l'on possède afin que les voleurs ne se fassent pas à leur tour voler. Ces sortes de grands hangars, bien qu'ils n’étaient pas prévus pour cela à la base, servent aussi maintenant de sorte de salles de jeu, on y retrouve parfois certains à jouer aux fléchettes sur un portrait de Phaner (l’œil c'est +50 points), mais ce qui attire le plus de monde, ce sont ces soirées poker que l'on organise une fois par semaine. On y joue avec de l'argent de l'ancien temps, comme si l'on agitait des billet de Monopoly, si les mises ne valent plus grand chose, on ne peut pas dire la même chose de ce qu'il y a à gagner en premier prix. Nouveau véhicule, paquet de cigarettes à peine entamé, on ne sait jamais trop à l'avance l'enjeu du soir.

Réglementation du groupe • Il existe une sorte de tableau d’affichage sur la coque du bateau de Bones où sont annotées des missions de toutes sortes, proposées par le chef, avec chacune un certain quota de point. PS : certaines sont vraiment ridicules et valent pourtant un bon pactole.

Dans ce groupe, il y a un système particulier de points de méfait qui se met en place et qui consiste à une sorte de gain de notoriété et de reconnaissance. Plus un pirate sème le bazar, ou plus l'ampleur est importante et plus de points de méfait il accumule, lui octroyant ainsi une réputation au sein du groupe qui a certains avantages comme par exemple prouver sa valeur et grimper dans la hiérarchie.

Chaque pirate évolue dans une catégorie sous un lieutenant à qui il doit respect et obéissance, si la déconne est autorisée et que chez les pirates la camaraderie règne, ils restent responsables de section et l'insubordination n'est pas tolérée. Ainsi si discorde il y a ou parfois par simple désir, il est possible de défier un lieutenant pour prendre sa place, et si c'est accessible à tout le monde, c'est le lieutenant défié qui aura le privilège de choisir à quoi se jouera le défi.

Le territoire possède un potager et si chez les biens élevés tout le monde met la main à la patte avec volonté et harmonie, chez les pirates il faut travailler pour mériter sa pitance et ceux qui ne participent pas à ce grand jardin improvisé ne profitent tout simplement pas de ses fruits.

L'exception de cette règle concerne l'alcool qui coule à flot de manière générale et qui n'est pas restreint tant que le stock réservé au troc avec les autres groupes est suffisant. Il est donc largement distribué et accessible en libre service.

En parlant de troc, s'ils sont connus pour les vols réguliers qu’ils pratiquent, et ne sont pas bien vus des autres groupes, il y a une raison pour laquelle on vient commercer avec eux : ils possèdent pratiquement toutes les substances illicites disponibles de la ville. (C'est la première chose qu'ils ont pillé et ils ont été drôlement efficaces.)

Venir en territoire pirate • Ils n’étaient déjà pas très accueillants, tous ces barbelés autour du campement pirate, c'est bien pire depuis que les fils électriques présents sont capable de vous envoyer de belles châtaignes. Comme pour les autres camps, on n'entre pas en territoire pirate n'importe comment. Etant le plus petit des groupes en terme de membres, les pirates se connaissent tous au bout d'un an, il est donc impossible de s'aventurer trop loin sans se faire interpeller et en fonction de votre réponse, d’être directement ramené à la case départ.

Conséquence lorsque l'on quitte le groupe • Dû à l'aspect clanique et au petit nombre de ses membres, il est très difficile de quitter les Pirates sans conséquence. On ne les quitte pas facilement et on leur échappe difficilement. C'est un groupe avec une forte identité et une appartenance tenace qu'il est risqué de rompre tant la rancœur provoquée est importante. On en sort rarement indemne et lorsqu'exceptionnellement c'est le cas, c'est sûrement qu'ils attendent le bon moment pour vous tomber dessus.

Pour dormir • Le confort des greens s'est vu considérablement amélioré avec le temps, si en premier lieu on avait fait des anciens bâtiments du zoo de grands dortoirs pour abriter les survivants, on s'est efforcé à construire au plus vite des lieux de vies dignes de ce nom pour chaque membre. Toujours dans un souci de respecter la nature et de vivre en communion avec elle, les constructions se sont faites en hauteur et en prenant en compte la forme de chaque arbre. Des grands ponts suspendus permettent de se déplacer d'un point à un autre. Cela fait deux ans maintenant que les bâtisseurs travaillent avec acharnement à fournir un toit aux habitants de Babylone, et leur acharnement fait qu'aujourd'hui, c'est le cas. Être greens, c'est la garantie d'un confort de vie non négligeable, surtout quand on connait l'état de la ville. Construite en bois et agrémenté de tissus, elles sont coupées en deux afin de laisser à chacun son propre espace. Les responsables eux ont le droit d'avoir un espace individuel.

Pour manger • Il n'a pas fallut longtemps pour que les greens soient en avance sur les autres groupes de survivants, les efforts et l'organisation dont ils ont fait preuve a su démontrer qu'ils étaient capables de subvenir à leur besoin seuls et de ne pas subir les conditions de ce monde. Depuis les premiers jours, la zone choisie par le groupe a toujours offert des perspectives bien supérieures en matière de culture. Tout pousse ici de manière bien supérieure à la moyenne, mais depuis peu cela va même bien au delà de ça. Plus besoin de compter les saisons, ou de fournir le sol de façon adaptée, tout ce que l'on semble planter pousse sans que l'on ait vraiment besoin de s'en occuper.  Alors que les autres groupes luttent pour se nourrir, les greens semblent profiter de récoltes abondantes, permettant au groupe de nourrir chacun sans mesure de restriction. Si les récoltes étaient avant très règlementées, les paniers repas offerts à chacun pour la journée se font maintenant plus garnis. Bien sûr les stocks sont toujours fermement gardés pour que que règne l'équité, la certitude d'un repas subvenant au besoin de chacun fait que les tentatives pour forcer le garde-manger se sont fait bien moindre avec le temps. Trois espaces du zoo autrefois utilisés en dortoir se sont vus transformés en cuisine, des grands comptoirs pour le service y ont vu le jour ainsi que des grands espaces de préparation à la cuisine de masse. Tout ici semble pensé pour la vie en communauté, et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il n'y a pas de section destinée à ce poste. Environ toutes les deux trois semaines, les membres du groupes sont en charge, pour deux jours, de s'occuper de la partie gestion, afin de sensibiliser, justement, à la survie du groupe, et de voir que chacun a son rôle à jouer. Si certains le voient malgré tout comme une corvée, la plupart se plie à cette règle sans sourcilier, comprenant qu''il n'est pas bon d'abuser d'autrui, et que chacun doit jouer un rôle dans cette grande fourmilière pour que tout fonctionne du mieux qu'il le peut. La cuisine se fait au feu de bois, l'électricité étant privilégiée pour maintenir les aliments au réfrigérateur.

Niveau de vie • L'avantage d'avoir un groupe aussi peuplé (on rappelle que les greens ont plus de mille membres), permet de faire que tout projet devient forcement plus réalisable grâce à la main d'œuvre présente. Les cultures qu'ils possèdent leurs permettent une monnaie d'échange non négligeable, ils échangent notamment souvent avec les vagabonds pour tout ce qui est matériaux dont ils pourraient avoir besoin. Au bout de deux ans les structures électriques et hydrauliques se sont fait plus performantes et les pannes se font bien moins fréquentes. Les greens continuent donc leur progression vers leurs objectif initiale qui est de créer de façon durable, offrant par ce fait un endroit de vie dont le confort est souvent envier par les autres habitants.

Gestion du froid • et Autres espaces  •
Tous les détails concernant ces deux points ont déjà été parfaitement bien rédigés par notre @Ant Nationale, post qui comporte également plus d'informations sur les bâtisseurs et que vous trouverez ICI

Pour ceux n'y ayant pas accès voici un c/c de ce qu'on y trouve concernant la gestion du froid : Dans chaque habitation on peut trouver un poêle à bois DIY (à base de bidons et tuyaux soudés ensemble souvent) pour réchauffer les nuits d'hiver à venir et/ou faire chauffer ce que vous voulez dessus. Une dalle de pierre est posée dessous, mais la manipulation des charbons reste la responsabilité des habitants.

Vous trouverez aussi plus d'informations sur la police par ICI que @Calico a superbement géré (étant dans la zone complot greens ces posts ne sont visibles que par les greens).

Réglementation du groupe • Si les Greens sont les plus organisés, ce sont aussi ceux les plus rigides en terme de règles à respecter, il est attendu de chacun qu'il se plie aux restrictions et aux règles de vie imposées par le groupe mais aussi par leur section de travail. Des plannings et des charges sont donnés à chacun et aucune incartade n'est tolérée si elle n'est pas justifiée.

Des sanctions sont d'ailleurs imposées aux dissidents qui peuvent se voir imposés de corvées. Si la plus grave étant l'expulsion simple du groupe, une des punitions récurrente consiste à devoir pédaler pour l'électricité ou encore celle de devoir sortir le compost, souvent c'est l'attribution de tâches désagréables qui sont habituellement réparties en tours équitables.

Il est attendu aussi de respecter scrupuleusement la hiérarchie qui a été pensée et mise en place avec soin et qui permet la plus grande efficacité de tous. Si ce groupe est celui qui offre le plus d'avantages en termes de niveau de vie, d'habitat, de nourriture et de ressources, c'est aussi celui avec le moins de souplesse dans sa gestion, il n'est jamais question de faire n'importe quoi n'importe comment.

Venir en territoire greens • Il n'est pas facile de rentrer chez les greens, leur territoire est fermé et l'entrée du camp est toujours gardé par des membres de la police. Tous les greens possèdent un insigne permettant de les identifier, il s'agit d'un petit badge en bois représentant l'animal désignant leur surnom. Lorsque l'on n'est pas de ce groupe, il faut annoncer la raison de sa venue aux gardes et c'est eux qui décident (si cela n'a pas était vu plus haut dans la hiérarchie) si la personne est autorisée ou non à rentrer. Les greens savent malgré tout se faire accueillant et répondent souvent aux demandes positivement. On ne saurait trop dire si c'est par gentillesse ou simplement pour montrer leur supériorité et encourager à les rejoindre. (Il est malgré tout bien difficile quand on est pirate de se voir offrir facilement l'entrée.)

Conséquence lorsque l'on quitte le groupe • Tout dépend de la façon dont vous le quitter, les greens ne sont pas contre les départs, toutefois malgré ce que l'on pourrait vous dire, il reste mal venu de vouloir s'en aller, et si la question se pose on préfère en être informé en bonne et due forme. On peut par contre vous mettre gentiment (oupas) à la porte si vous ne respectez pas les règles et la mentalité du groupe de trop nombreuses fois.

Pour dormir • Bien qu'on les range sous une même bannière les Broken Toys reste un groupe assez éparpillé puisque chacun peut choisir où il souhaite vivre. Cela fait maintenant plus d'un an que des maisons/appartement sont restaurées à l'abris des regards. Leur aspect extérieur n'a rien de très accueillant puisqu'il à été volontairement choisi de garder l'aspect délabré pour que l'on ne se doute pas que des gens aient put y élire domicile. L'intérieur lui par contre à été travaillé avec soin pour que l'on arrive à y trouver un coté chaleureux et tout ce qu'il faut pour survivre. Malgré tout, ces endroits ne sont souvent pas très personnel, car ils restent des lieux de passages, les membres étant déplacés de façon assez régulière dans de nouveaux espaces aménagés afin que l'on ne puisse pas leurs mettre la main dessus. Un code couleur à été mit en place pour que l'on puisse savoir lorsqu'on est membres du groupes, quel sont les maisons habité par nos partenaires. C'est un code un peu complexe fonctionnant par symbole et couleur, et changé fréquemment afin que personnes de l'extérieur ne puisse en comprendre le sens. Beaucoup de maison de la zone des immeubles abandonnés sont marqués sans pour autant avoir été réaménagé, simplement pour que celles qui le sont reste inaperçu.

On a aussi veiller à ce que ceux qui y résident se sentent en sécurité, et même si cela ne fait pas tout, un œil particulier à été accordé au niveau des serrures, et c'est pourquoi une des premières choses qu l'on reçoit chez les Broken toys est un clef.

Si certains sont à l'aise avec l'idée de vivre partiellement seul, ce n'est pas le cas de tout le monde. C'est pourquoi il est totalement possible de venir de façon plus ou moins long au sein même de la fête foraine et de résider dans le dortoir prévu à cette effet.

Pour manger • Si l'intimité et quelque chose que l'on respecte ici, on cherche quand même a créer les opportunités pour se rassembler et le repas en fait parti. Si il est possible de simplement venir chercher de quoi se nourrir, l'ancien train fantôme s'est vu aménagé de façon à se qu'on puisse s'y poser très facilement. Anciennement couloir des horreurs mettant en avant diverses attraction visant à effrayer les passants, c'est maintenant devenu un point de subsistance essentiel pour les jouets cassés.

Niveau de vie • Pour beaucoup de choses les Broken Toys ressemblent encore beaucoup aux Vagabonds, ne serait-ce que parce qu'officiellement la plupart des membres y appartiennent encore. De ce fait pour ce qui est organisation globale telle que les bains ils dépendent encore de la piscine, malgré tout ils commencent doucement à s'organiser et les compétences de chacun sont appréciées à leur juste valeur afin d'améliorer le quotidien.

La nouveauté de ce groupe fait aussi qu'ils n'ont pas encore forcément bien eu le temps de tout mettre en place et beaucoup de potentiel reste inexploité à ce jour, cependant il ne fait aucun doute qu'avec un peu d'expérience le niveau de vie finira par s'améliorer petit à petit.

Gestion du froid • La majorité des effectifs luttent contre le froid et les éléments à la seule force des vêtements chauds récupérés et aux couvertures et autres linges épais qui aident à passer l'hiver. Cependant certaines habitations telles que les maisons réquisitionnées sont équipées de cheminées et elles ont été déblayées avec soin afin d'instaurer dans ces dernières un système de chauffage correct. Malgré tout cela reste précaire et il est conseillé de doubler les chaussettes par précaution.

Autres espaces  • Au sein même de la fête foraine tout un réseau de coussins et de tapis récupérés viennent meublé ce qui a été le tunnel de l'amour. C'est un grand couloir qui se voit à présent bariolé des nombreux tissus de poufs et autres assises souvent placées directement au sol. Il n'a pas pour but d'accueillir de grandes réunions, c'est plus un point de détente qui sert majoritairement de lien social entre les membres du groupe qui viennent s'y poser lorsque l'envie d'échanger leur prend et qu'ils sont en recherche d'un partenaire de parole.

L'ambiance y est chaleureuse alors qu'on y est éclairé à la bougie et à la lampe à huile et se fait propice aux confidences de temps en temps. On y soigne sa solitude et son vague à l'âme plus que son besoin de foule. L'intimité du lieu ayant été réfléchie pour les couples beaucoup d'activités sont prétexte encore aujourd'hui à un niveau de communion privée qui privilégie le compagnonnage plutôt que l'activité de groupe.

Réglementation du groupe • Le groupe des Broken toys est un peu différents des autres, ils ne vivent pas vraiment ensemble mais s'entraide avec force, il n'y a pas vraiment de hiérarchie et Johnny est plus un porte parole et un visage qu'un chef, tandis que Loyal lui se comparerait plus à une sorte de point de référence pour que tout se passe au mieux. C'est pour cette raisons que les seuls vrais règles chez les Broken Toys sont sur le fait de veiller sur les autres autant qu'ils veillent sur vous. Ici l'on veille aux secret de chacun et on essaye de percer ceux de ce monde ensemble. C'est pourquoi il n'y a que la trahison d'un autre membre qui pourrait fermer les portes de ce rassemblement. Si l'on reste autonome, chacun à sa raison d'être ici et c'est justement ce qui les lie, que se soit par la possibilité de se retrouver à la fête foraine pour échanger sur tout et rien, où bien se rejoindre dans des séances de maitrises/compréhension de son pouvoir pour ceux qui en possèdent( les personnes qui n'en n'ont pas aident souvent à comprendre ce qui se passe et essayer de faire des liens avec d'autres phénomène de la ville.) Personne n'est obligé d'y participer, certains préfèrent garder ça pour eux et les groupes qui s'organisent sont souvent des petits groupes composé de personnes se connaissant déjà et s'accordant une grande confiance. Le but n'est pas de faire de la démonstration, mais simplement d'accepter et dompter ce morceau de sois
.

Venir en territoire Broken Toys • Les Broken Toys ont beau être plus ou moins rassemblé dans une zone de la ville, ils sont très peu et très éparpillés, le seul lieu de vrai rassemblement se trouvant à la fête foraine. Une partie de celle ci s'est vu réservée au groupe mais la plupart des attractions restent quelque chose d'ouvert " au publique ". C'est de même pour le cinéma qui accueil qui veut mais se voit fermé certains soir pour que les Broken toys se réunissent. Toutes ces raisons font qu'il est très facile de se retrouver en territoire rose, sans même savoir que l'on y est vraiment. Ce qui est parfaitement normal quand on sait que ce groupe cherche avant tout à se cacher.

Conséquence lorsque l'on quitte le groupe •Ce groupe est trop récent pour que l'on compte déjà des départs. Comme le souligne le point juste au-dessus, il n'est vraiment pas bien vu de chercher à le rejoindre pour obtenir des informations et, par conséquent, mettre le groupe en danger. Si départ il devait y avoir après un fait de ce genre, le groupe devrait repenser tout son système. Les Broken Toys restent prêts à faire face à ces possibilités, mais ne pardonneraient jamais quelqu'un qui auraient eut cette démarche. Du fait du peu de membres, il reste encore facile pour eux de surveiller ce qui se passe dans au sein du groupe, et Loyal a toujours très bien su cerner les gens, ce qui est toujours un bon moyen de dissuasion -le doute règne sur le fait qu'il soit même peut-être télépathe.