[fb] duplicata(strophe) (⁂) moth & sweetie

Si d’aventure, Jack porte ce masque sans vergogne, c’est peut-être parce qu’il a de quoi se maintenir pour ne pas tomber.
Si maintenant, Jack présente ce faciès, avec honte, c’est peut-être parce qu’il n’est pas en mesure de ne pas pouvoir se rattraper. La seule chose en laquelle il se rattrape, c’est elle. Leurs doigts entrelacés dans la prise de l’autre, une fois dans le bâtiment, c’est comme s’ils ne se déliaient que pour effectuer les gestes spirituels. C’est ainsi qu’on les connaît.

On a plus tendance à voir le garçon diriger le tandem entre les diverses occasions plutôt que l’inverse. Mais les rôles se sont bel et bien inversés. Le garçon la suit, comme si quelque chose l’empêchait de prendre le beau rôle actuellement. Et ses multiples œillades entre direction des immenses murs et épais vitraux ne témoignent de son manque d’assurance, maintenant prisonnier.

Ils ne sont qu’une seule entité pour mieux survivre dans sa vraie apocalypse.
Mauvais élève assidu, il reproduit les faits et gestes de l’enseignante qui se prosterne religieusement devant l’entité vénérée. Lentement, il joint ses mains en la regardant, pour faire strictement exactement. Ce n’est pas compliqué mais ça met longtemps. Ça le saoule déjà, d’être aussi assidu alors il expire bruyamment. Mais ça se finit en un gémissement, résultant d’un coup de pied dans la jambe, de la part de sa conjointe pour se plaindre autant.

Le devoir étant terminé, ils sont rapidement évalués par un lot de vieilles personnes. Si quelques-unes font signe à la jeune femme de les rejoindre pour discuter, d’autres regardent Jack d’un mauvais œil, toujours assis sur son banc. Qu’on ne les rejoigne pas. Aller leur parler ne fonctionnerait donc certainement pas.
Pour lui, la leçon continue. Mais celle dont il singe la prière n’est plus là pour le guider.

S’il a tendance à sourire pour présenter la meilleure image, il n’est pas en mesure de le faire aujourd’hui et ne choisit que la fuite ; sa première stratégie est de simplement dévier le regard. Or, il ne peut rester ainsi. Il a besoin d’un modèle.
Mais elle n’est plus son modèle depuis longtemps, si bien que la parfaite inconnue ferait l’affaire.
(Les regards ne s’échappent pas et restent braqués sur lui.)
Alors qu’importe qui est cette personne, il trichera aussi sur elle, entamant déjà ce qu’elle fait, pour obtenir la bonne réponse.

duplicata(strophe)

La panique avait un visage, et elle était bien heureuse de pouvoir se cacher derrière une frange et de grandes lunettes.
Son image d'innocente jeune fille, bien sous tous rapports (encore fallait-il déterminer ce que cette expression pouvait bien vouloir dire – et sous-entendre), qui suivait les règles morales, sociales et surtout, surtout, religieuses, était tout de même encore récente. (Certains diraient « peu crédible ».)
L'idée, c'était de ne pas les froisser.
(Froisser qui ?)

Brièvement, elle voulut tourner son regard vers le groupe, mais alors déjà une dizaine d'yeux semblait l'avoir repérée et lui donnait l'impression de se faire foudroyer sur place.
Elles. Les froisser elles.
Alors elle continua, comme faisait grand-mère, la tête baissée, les doigts croisés (figée dans cette position, à se demander ce qu'elle pouvait bien devoir penser, pour faire bonne figure auprès des harpies).
N'était-elle pas censée s'agenouiller ?
Faire le signe de croix ?
Chacun fait comme il veut, non ?

Elle voulut au moins porter les mains à son visage, pour ne pas avoir l'air de ne rien faire, mais elles vinrent heurter un peu trop brusquement le pont de ses binocles, lui faisant lâcher un grommellement qui aurait pu passer inaperçu si la réverbération de l'endroit l'avait permis.
Super.
Si un certain nombre de personnes semblaient s'être retournées vers elle, la jeune femme ne put s'empêcher de constater (en frottant vigoureusement l'arête de son nez) que ce type, là, avait quand même moins l'air de vouloir détourner le regard que les autres. Loin de se douter qu'il avait commencé à l'observer un peu avant l'incident, elle se demandait même ce que c'était, son problème, à lui.
Il faudrait exposer la question un peu plus subtilement.
(Passer inaperçu, et agir avec bienveillance.)

« Euh, excusez-moi... »
L'église avait définitivement l'air d'apprécier les aigus de sa voix, contrairement aux vieilles peaux, qui déjà devaient s'indigner du volume indécent avec lequel Moth osait s'exprimer. Se raclant un peu la gorge, elle préféra continuer en murmurant.

« Vous avez besoin d'aide ? »

Résumé:

Pourquoi l’avoir choisie elle ? Caractérisée d’une maladresse ambulante, elle est jugée sur ce malheureux incident comme une incapable et on en vient à se demander si c’est effectivement le bon choix, parmi tous les autres. La regarder avec autant de sous-estime ne lui paraît pas constituer un délit puisqu’après tout, chacun s’est retourné vers elle, y compris sa fiancée, pourtant plus bienveillante. Si bien des regards paraissent sensiblement méprisants à son égard, le plus insistant se présente comme aussi le plus malicieux. Jack est le seul à oser un léger rire face à l’incident qui, à son tour, arrive à détourner une minorité des regards en sa direction. Que le rire soit interdit, ça l’en fait rouler des yeux. Après tout, eux aussi se sont moqués mais seulement d’une manière plus feutrée. Quoique, Jack a sans doute réussi à rendre ses moqueries plus innocentes qu’elles ne le sont réellement, cristallines.

C’est toi qui as l’air d’avoir le plus besoin d’aide, entre nous deux, non ? Tu as presque même l’air un peu perdue.

Ça lui permet une approche plus cordiale, si ce n’est joviale, que celle à laquelle ils sont prémédités et à laquelle elle répond. C’est une bonne élève mais ce n’est plus le cas pour lui. Ce n’est pas le message qu’il doit lui faire passer sachant qu’il en vient déjà à se comporter de manière angélique, à s’abaisser légèrement pour redresser délicatement ses lunettes.

Un ange n’oserait pas toucher quelqu’un dès leur première rencontre. Et heureusement qu’elle ne l’a pas vu.

Tu n’as rien de cassé ?

Décuplant les questions pour ne pas répondre à la seule qu’elle ait pourtant posée, quand bien même elles sont à voix basse, elles le rendent bavard. Mais c’est sa stratégie primitive pour attarder et préparer ses mensonges.

J’attends quelqu’un. J’essayais de prier mais il faut dire que tu sais attirer l’attention.

En une phrase, Lukas essaye de se figurer dans une situation avantageuse et engageante, comparée à la sienne. Pourtant, rien ne l’engage à le faire, sachant que tout le monde semble d’accord pour que cette fille soit une complète incompétente, sans avoir la moindre preuve.
Toutefois, il met toutes les chances de son côté, même la carte du charme puisqu’il ne mentionne pas sa fiancée pour se rendre plus accessible. Bras ouverts, c’est comme s’il l’accueillait, mais seulement dans ses manigances.

C’est justement pour ça qu’il la choisit ; parce qu’elle est sous-estimée qu’il peut abuser d’elle et laisser les autres croire qu’il l’aide. Mais très honnêtement, il s’en fiche de s’il va bien. Il ne lui a même pas demandé son nom.

duplicata(strophe)

Perdue ?
Ah bon ?
C'était ça, l'image qu'elle renvoyait ?
Ben merde.

Doucement mais sûrement, un cercle vicieux se formait ; elle avait l'air perdue (avait-elle vraiment l'air perdue ?) (était-ce pour ça, qu'on la zieutait de travers ?), on le lui faisait remarquer (pourtant elle y mettait du sien, tout son être même, et elle ne faisait rien de bien curieux, à part pour les lunettes, les lunettes c'était ballot), et la confusion s'accentuait sur son visage.
Si elle était perdue, c'est qu'elle devait avoir besoin d'aide.
Mais de l'aide pour quoi exactement ?

« Euh... »
...serait donc le seul mot qu'elle répondrait à cette drôle d'interrogation.
C'était simplement curieux, d'avoir quelqu'un qui cherchait autant à faire la conversation – qui inversait les rôles – d'habitude, c'était elle qui allait chercher les gens – alors ça devait être quelqu'un de sympathique.
En plus, il l'aidait à replacer ses lunettes.
Un véritable gentleman.
(Et si la panique avait pris le pas sur toutes les potentielles questions qu'elle aurait pu se poser, le geste lui rosit tout de même les joues.)

« N-non, du tout, ça va, enfin j'ai juste poussé mes lunettes, mais elles sont solides... ? »
Par quelle diablerie avait-il réussi à adoucir une Moth encore aisément irritable en si peu de temps ?

« Ah... désolée, pour ça. »
Bien.
Et maintenant quoi ?
S'il attendait quelqu'un, ça voulait bien dire que, pour le moment, il était seul. Peut-être cherchait-il de la compagnie, et que la maladresse naturelle de la demoiselle lui avait permis d'en chercher auprès d'elle.
Oui, c'était sans doute ça.
Avec moins d'hésitation que lorsqu'il avait fallu s'exprimer, elle posa une main sur le banc où elle s'était assise, s'apprêtant à l'enjamber par réflexe – mais elle se souvint des regards - et, gentiment, elle fit l'effort de contourner l'objet, venant s'asseoir à côté du sympathique bonhomme.

« Je n'essaie pas vraiment d'attirer l'attention, se confia-t-elle pour reprendre la conversation. Justement, j'essaie d'éviter... ça. »
Elle pointa discrètement (vraiment pas tant que ça) le groupe de mamies ; et, de plus en plus enthousiasmée par l'idée d'avoir trouvé quelqu'un qui ne l'envoyait pas paître, elle continua dans sa lancée.

« A vrai dire, et elle abaissa encore sa voix pour être certaine que même l'oreille la plus aiguisée ne puisse l'épier, je sais pas trop ce que je fais, ça fait pas si longtemps que je viens ici... »
Le stress apporté par sa confession la fit se retourner brièvement vers les dames qu'elle venait de dénoncer.
Elle sacrifierait bien leur bénédiction pour quelqu'un qui l'écoutait enfin.

Résumé:

Comme un bouquet de fleurs artificielles, son sourire ne saurait se faner mais il est en partie faux. Simplement, le charme a opéré et il n’y a que peu de choses qui sont aussi grisantes désormais. C'est un plaisir dont il ne pourrait se lasser, que d'avoir du contrôle sur son environnement si bien qu'il a prévu qu'elle s'assoit. Mais cette exaltation s'étiole de jour en jour. Ce jour n'est pas aujourd'hui. Tout est sous contrôle.
Il sourit alors toujours.

Pourquoi tu t’excuses ? Il n’y a rien de mal à attirer l’attention.

Il a très bien compris que sa voisine parlait d'une mauvaise réputation mais Jack reste aveugle à l'empathie. Lui non plus n'apprécie pas d’être mal vu. Mais qu'elle soit si mal considérée, c’est justement une solution pour redorer son blason ; c'est la seule chose qu'il veut voir. En cette étrangère, il n'aperçoit en réalité rien de plus important.

Mais qu'est-ce qui compte à tes yeux, Lukas, si ce n'est cette fille à lunettes ou ces mégères qu'elle désigne timidement ?

Pourquoi tu cherches à rentrer dans leurs bonnes faveurs ? Les seules choses qu'elles te donneront pour être gentille avec elles, c'est une gaufrette.

Pour autant, tout comme sa voisine, il baisse d'un ton pour s'exprimer aussi mal sur les concernées comme il évite scrupuleusement de les insulter de vieilles peaux, par prudence. À croire que si elle essaye justement de leur plaire, c’est probablement qu’elle ne trouve personne.
Alors si on croit cette hypothèse, qu’elle n’a personne, il a l’audace de penser qu’il peut facilement lui plaire. Prenant plus ses aises encore qu’auparavant, il revoit sa manière de s’asseoir qui est tout sauf traditionnelle et donc peu recommandée, une jambe sur l’autre. Personne ne voit le jeu de jambes hormis son interlocutrice.

Il n'est pas un exemple aux yeux des autres mais tant qu’il peut l’être pour elle, pour le moment, c'est tout ce qui compte. Lukas la rend effectivement plus importante qu’il ne l’estime, orientant uniquement ses questions et son intérêt, pour dodeliner ainsi la tête vers elle et y jeter ses prunelles azurées.

Et donc, là, tu fais semblant d'être croyante et de prier. Et ça a marché jusque-là ? Montre-moi à quel point tu es pieuse, alors.

Toujours sur cet air narquois, il ne cherche pas à se moquer d’elle. Après tout, si c’était si risible, il en serait le premier concerné. Son but n’est que de nourrir une certaine forme de complicité, ce pourquoi il lui adresse un clin d'œil avant de joindre ses mains pour une divinité en laquelle il ne croit pas un seul instant. De toute manière, au vu de ses entourloupes, on peut imaginer à quel point il n’est pas un saint.
Il ne prie pas pour avoir une divinité dans ses bonnes faveurs, mais pour que les autres le considèrent mieux.

Il se fiche bien des autres. Il veut justement attirer l’attention. Elle a bien tort, de ne pas vouloir de l’attention.

duplicata(pe-à-l'oeil)

« Ça, ce n'est pas tout ce que tout le monde pense. »
Il avait beau être sympathique, il ne devait pas bien comprendre tous les enjeux du moment. Moth avait de bonnes raisons de vouloir être discrète ; s'intégrer, se faire apprécier, se fondre dans une masse pourtant étrangère.
Loin de s'imaginer qu'elle servirait de faire-valoir, elle plongeait dans une discussion qui s'avérait, pour elle, très premier degré.

« C'est pour le principe. Ce sont les aînées, il faut les respecter », exposa-t-elle sans grande conviction.
L'appât n'aurait pu être plus efficace – comme pour se convaincre elle-même, elle continua sur sa lancée.

« Ma grand-mère disait toujours qu'on ne peut pas juger un livre à sa couverture. Si ça se trouve, elles sont très gentilles. Et si elles ne le sont pas... je veux dire,
c'est très bon, les gaufrettes. »
Même si leur intérêt n'était pas réel – même si les sourires n'étaient que de façade – même si le gâteau était un mensonge, c'était mieux que le dehors, la solitude, le rien.
Moth se contentait des illusions.
(C'était surtout qu'elle n'avait jamais su voir au travers.)

« Si tu n'essaies pas, en revanche – et si le « tu » pouvait sembler impersonnel, il ne l'était pas tant –, tu risques de t'attirer des problèmes. Je n'ose même pas imaginer comme elles peuvent rendre la vie misérable. Elles connaissent tout le monde. Ce n'est pas le genre de choses qui te font peur ? »
Au vu de la posture qu'il adoptait désormais, non, effectivement, ça ne devait pas lui faire si peur (et ça devait être si pratique). Si la demoiselle appréciait cette discussion, elle se demandait bien comment il faisait, sans sa crainte des harpies, et elle se raidit un peu pour contrecarrer la détente qui semblait animer son compère.
Qu'est-ce qu'il fout.
Qu'est-ce qu'il veut.
Était-ce un défi ?

« Erm... on peut dire ça comme ça... ? »
S'il espérait qu'elle fasse quelque chose de différent par rapport à lui – c'était un peu loupé. Joignant à son tour les mains, elle ferma un peu trop brièvement les yeux ; le temps de se rendre compte que toute sa concentration avait disparu, et que de toute façon, ce n'était pas en prenant tout trop au sérieux qu'elle entretiendrait la conversation.
(C'était une connerie ; mais c'était aussi la première personne qui lui avait parlé d'autre chose que du beau temps depuis des lustres.)

Un regard jeté de chaque côté plus tard – puis rapidement accordé au brun (si tu veux que j'aie des idées de merde, je vais avoir des idées de merde), elle se laissa glisser à terre. Ainsi agenouillée, et encore suffisamment discrète pour ne pas réveiller les paires d'yeux qui l'avaient préalablement détaillée, elle reposa – un peu trop violemment – on ne change pas une équipe qui gagne – son front sur le dossier du banc d'en face.

« Je pense que cette position est plus appropriée, murmura-t-elle non sans quelques difficultés, un début de sourire trahissant déjà ses intentions. Elle met vraiment en communion avec... les racines, la terre... »
A ton tour de montrer l'exemple.

Résumé:

C’est dingue à quel point cette fille s’avère aussi lassante qu’intrigante. Le discours qu’elle tient ressemble trait pour trait à celui d’une green. Celle-là, là-bas, par exemple. Les rapports entretenus et tendus enveniment ce qu’il peut penser de celle, maintenant, plus proche de lui.
L’autre a beau être loin, elle est toujours là. Elle est le passé. Il voudrait découvrir de nouvelles choses. Montre-lui autre chose que ce genre de discours racontée par une gamine qui veut faire plaisir à sa grand-mère.

Je me fiche bien que ce soit des aînées ou qu’elles soient potentiellement gentilles, perso. Plaire à des vieilles aigries, ce n’est pas trop mon truc. Pourquoi tu crois que je te parle ?

Sa langue couverte d’acide, son ton est un peu plus agressif que les secondes précédentes. Ce qui le maintient à peu près sage, c’est la séduction hypocrite dont il fait part, maintenant captif le venin derrière un sourire continuellement ensoleillé. Son but n’est pas de la faire fuir. La nuire, éventuellement, si ça peut l’aider dans le processus.
En vérité, il la comprend même dans son intention d’être bien vue des harpies mais à sa différence, Jack ne les considère pas et ne les respecte pas. Tout comme sa compère, elles ne sont que des spectatrices ou, au mieux, des actrices secondaires pour sa prestation. Félicitations, tu as été promue avant elle mais jusque combien de temps ?

C’est en ça que tu restes, contrairement, à sa fiancée, intrigante. Il la connaît et pas toi. Ta maladresse, c’est ce qui est au fond charmant. Il ne trouve pas ça typiquement mignon comme tous les types pourrait le dire. Mais il glisse, quand même, que tu es mignonne, dans un chuchotement et plus délicat, sous un rire feutré. Il n’y met pas la même signification, néanmoins.

Tu es mignonne à en être si naïve. Tu es mignonne à ne pas savoir où tu vas réellement.
C’est toxique et prédateur comme pensée. Jack rit doucement.

La seconde précédente, il était assis et la seconde d’après, le voilà à genoux, proche d’elle. Mais il n’a pas l’intention de se ridiculiser à une prière. Déjà parce qu’il est certain que ça ne fonctionne pas ainsi. En tout cas, pas avec autant de rabaissement.
Elle ne veut pas être vue. Elle lui a dit : certains ne pensent pas comme lui ; qu’attirer l’attention, c’est mal. Bien sûr, Lukas n’est toujours pas d’accord avec elle mais reste avec ce sourire, jugeant la jeune femme agenouillée de « mignonne ».

Je ne suis pas sûr que ça fonctionne comme ça. Sans vouloir t’offenser, tu te ridiculises. Heureusement que personne ne te voit. C’est un peu ça que tu cherches, non ?

Il ne montrera pas l’exemple, comme tu l’attendais.

Pourquoi ne pas me montrer autre chose que « l’exemple » ? Juste, qui tu es vraiment. Celle qui ne veut pas plaire aux vieilles mais… toi. Ou autre chose si tu as trop peur. Dis-moi comment est-ce que je dois t’appeler.

Il ne montrera pas l’exemple parce qu’il veut tout simplement le rester. Ce n’est pas à toi de le copier. C’est à lui de te voler la bonne image. Parce que oui, les problèmes, il les entend déjà. Alors il préfère s’en débarrasser sur toi.

» Moth <> Pollywog
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