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Buy me a cig, then i'll tell you my name. - Tobacco

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Tobacco
chihuahua de 1m97
chihuahua de 1m97
Métier Marchande de Tabac
Avatar Enna - Nargyle ( merci silvy, mum, bm et daisy pour les vavas <3 )
Tobacco
Tobacco
Dim 7 Nov - 1:35

Ce personnage traite de sujets sensibles.
TW : maltraitances familiales, mutilation, traumatismes, cicatrices


TOBACCO
id
Mexicaine
26 ans ϟ né le 13/01/1995
Marchange de Tabac
Enna ( OC ) - Nargyle / Grace Liu / Crazy Flush
Lesbienne
ANTHONETTE
GUERRERO
Cheveux châtains ϟ Yeux Noirs ϟ 1m97 ϟ Des tâches de rousseur sur tout le corps ϟ Des cicatrices sur le cou assez visibles ϟ Une déformation au niveau des côtes ϟ Boîte de la jambe droite ϟ Des bleus sur les jambes ϟ Des cernes de 3km qui campent sous ses yeux

" Ne me touche pas. "
Une phrase que tu as si souvent prononcée.
Une phrase qui fut si peu respectée.
Un simple voeu, qui te rendrait la vie bien plus simple.
Aucun contact physique.
Un traumatisme enfoui au fond de ton coeur, qui n'en ressortira jamais. Peu importe le nombre de gens qui essayent de t'aider. Ce n'est pas ce que tu souhaites. Jamais, tu n'oseras avouer que tu as besoin d'aide. Jamais, tu n'oseras demander cette même aide. Peu importe combien de nuits passeras-tu à fumer cigarette sur cigarette. Peu importe la douleur que tu doives t'infliger pour garder les yeux ouverts. Peu importe combien de nuits passeront, à voir ces souvenirs pourrir en toi à travers la fumée, à tout faire pour rester éveillée. Tu feras tout ce qu'il faut pour éviter de retomber dans ces cauchemars. Ceux qui te hantent sans arrêt.
Ceux qui se rapprochent de l'enfer comparés aux simples souvenirs.
Tu préfères finir par t'évanouir, plutôt que de te laisser glisser sereinement dans la fatigue. Perdre conscience est plus simple que de faire face à tes peurs. Aucune jolie demoiselle ne te sortira de ce cycle. Il faut plus qu'une simple berceuse pour déterrer un sentiment aussi profond. Un malaise qui se répand sans cesse depuis ce jour.

Il y a encore quelques mois, on voyait encore une once d'espoir dans tes yeux. Une once de joie, de plénitude. Mais elle s'est effacée. Un sourire sur ton visage est un évènement unique de nos jours. Malheureusement, moins d'amabilité, moins de clients. Ta vente de tabac devient de plus en plus insignifiante. Les Pirates continuent de s'étendre, alors que toi, tu pourris. Tu attends que ton nom se répande de lui-même, que les gens te découvrent d'une façon ou d'une autre. Passés sont les efforts que tu mettais dans la vente. Seuls quelques réguliers viennent encore te rendre visite. Peut-être par pitié. Mais peu importe, du moment qu'ils te permettent encore de vivre.

Le seul effort que l'on verra de ta part correspond aux coups que tu peux te permettre d'infliger. Ta silhouette n'en impose pas tant, mais comme discuté plus tôt, il ne suffit qu'on t'effleure pour que tes mécanismes de défense s'activent. Un coup de poing, de pied, même juste repousser la personne, de façon à ce qu'elle soit le plus éloignée de toi. Heureusement pour toi, c'est un évènement qui arrive bien moins qu'avant. Tu semblais bien plus à l'aise auparavant auprès des autres, parfois trop amicale. Un contact allait arriver à un moment ou à un autre. Aujourd'hui, on t'évite. Ton regard menace de lui-même.

Le fait que tu refuses de montrer quelconque faiblesse n'aide pas. Cela n'a pas changé. Que ce soit physiquement, avec les couches de vêtements portées pour cacher tes côtes, ton foulard pour cacher ces cicatrices au cou, ou bien forcer sur ta jambe pour cacher le fait que tu boîtes, il est rare qu'on t'en pose la question, hormis les quelques fois où tu te sens encore assez généreuse pour héberger ceux qui n'ont pas d'endroit où rester la nuit. Puis, même mentalement. Jamais un secret, jamais une peur ne seront exprimées à qui que ce soit. Tu te dois de garder cela pour toi. Après tout, il ne faut pas que tu sois vulnérable, face aux autres. Ils en profiteront.

Car oui, un trait qui lui, n'est pas parti, c'est ta générosité, ta familiarité. Tu traites toujours tout le monde de la même façon, à la seule différence que tu traites généralement mal les gens. Tu leur parles comme si vous vous connaissiez depuis des années, insultes voyageant régulièrement de ta bouche à leurs oreilles. Et malgré ça, tu te retrouves souvent à rajouter un peu de tabac dans les doses de certains de tes clients. Les plus réguliers, les plus amicaux, peu importe. Ça te revient sur le long terme, au final.

Aujourd'hui, rares sont les temps où tu quittes ton appartement. Les rares pousses grandissant à travers les fissures des murs te suffisent grandement en tant que contact extérieur, accompagnées de ta plantation de tabac. Jour après jour, utilisant ton salon comme endroit de vente, les journées y deviennent longues. Alors toutes tes pauses se font dehors. Soit adossée à cette moto rouillée en manque d'essence qui traîne devant chez toi, soit à marcher dans le quartier, ou à te reposer avec les quelques commerçants que tu puisses connaître.


- Fait pousser du tabac dans son abri.
- Troque son tabac contre tout et n'importe quoi qui peut lui être utile.
- Se met à parler espagnol quand elle s'énerve.
- Est fortement insomniaque à cause de traumatismes, et peut rester éveillée jusqu'à littéralement tomber de fatigue.
- N'arrive plus à considérer qui que ce soit comme un.e ami.e, car n'arrive plus à vraiment faire confiance à qui que ce soit.
- Malgré ça, aide tout de même ceux dans le besoin, du moment qu'iels n'interfèrent pas avec sa vente.
- Ne supporte pas le contact physique, et se montrera très agressive si qui que ce soit la touche.
- Sait conduire et réparer la plupart des véhicules, motos, scooters et voitures. Mais ne le fait presque plus, sachant que la plupart appartiennent aux pirates.
- A été battue par son père, d'où les nombreuses cicatrices et traumatismes ayant suivi.
- S'est isolée toute seule à travers les mois suivants la tempête. Bien qu'au début, elle arrivait encore à avoir quelques liens plus ou moins proches avec des gens, c'en est devenu presque impossible à ses yeux.


Ce que tu veux le plus au monde, consciemment ou non, c'est quoi ? Pouvoir vivre tranquillement. Sans d'embrouille. Sans combat. Avec tous tes traumatismes disparus. Réussir enfin à passer une nuit tranquille.

Et avant la tempête, c'était quoi, ton vœux le plus cher ? Ton souhait était de fuir ta famille, et aller vivre loin d'eux. Tu voulais redonner une chance aux études, et peut-être un jour te venger de ton père, d'une façon ou d'une autre.
1Tu habites à Arcadia Bay ou tu étais juste de passage ? Tu as fuis ton foyer, et t'es retrouvée à faire un arrêt à Arcadia Bay. Malheureusement pour toi, la tempête a frappé à ce moment là.

2Tu faisais quoi avant la tempête ? Un travail déprimant dans le garage de ton père, après avoir raté tes études de médecine.

3Quels dégâts a-t-elle fait dans ta vie ? Bien que cela t'aura aidé à refaire ta vie, tu as perdu le peu de personne qui t'étaient proches, et qui t'ont soutenu à travers l'enfer que fut ta vie de famille.

4Que faisais-tu lorsque la Tempête a frappé ? Tu remplissais ta moto avec de l'essence, et tu t'apprêtais à partir sans payer.

5Tu quitterais tout pour retrouver ta vie d'avant ? [  ] OUI   [x] NON

6Exerces-tu un métier ou des activités particulières dans ce nouveau monde ? Tu fais pousser du tabac que tu revends aux addicts contre des ressources quelconques.

7Pourquoi n'as-tu pas rejoint une communauté de survivants ? Trop de problèmes de confiance envers les autres, en plus de détester le fait d'avoir à suivre quelqu'un. Suivre un chef, des ordres, tout ça c'est pas ton truc.

8Que penses-tu des groupes qui s'organisent ? L'idée est sympathique, mais tu trouves l'application plutôt maladroite.



Pour clarifier, je décris une scène habituelle de la vie de Tobacco, et pis les flashbacks ( du coup son histoire ) sont en italique !

Ça doit être dur sans ta famille. Tu le vis comment depuis la tempête, d'être sans eux ? Mais t'arrives à te débrouiller seule ? Et ils ne te manquent pas ? Tu devrais leur être plus reconnaissante.

Putain. Ces phrases tu les entends en boucle depuis que tu es partie, depuis la tempête dans cette ville que tu connaissais à peine. Ils ne connaissent pas l'enfer que ta vie a pu être dans le passé. Ils ne connaissent pas la douleur que tu as ressenti durant toutes ces années. Ils ne connaissent pas l'angoisse qui te transperçait à chaque fois que tu voyais son visage. Ils n'y connaissent rien. Tu ne peux pas leur en vouloir, c'est bienveillant après tout. Mais ça t'énerve. Tu détestes ta famille. Tu détestes l'idée d'une famille. C'est une des raisons pour lesquelles tu n'as rejoint aucun groupe. Ils s'entraident, et agissent comme telle. Ça te dégoûte. Tu as été marquée par cette époque. Les traces sur ton cou le prouvent, ta côte déformée le prouve, ton attitude le prouve. Tu ne laisses plus personne te toucher, t'approcher. Tu ne peux plus t'empêcher de frissonner lorsqu'une main se dépose sur ton épaule. Il hante encore tes rêves.

Et encore une fois, aujourd'hui tu te réveilles en sueur. Il te rend visite à chaque sommeil, c'est pour quoi tu fais de ton mieux pour le fuir. Parfois plusieurs nuits passées à tenir éveillée, les bleus sur tes jambes te gardent les yeux ouverts. Mais tu as réussis à survivre une nuit de plus. Tes pieds nus passent dans l'appartement de fortune que tu as récupéré. Tu fais attention à ne pas te blesser sur les fissures au sol, à travers lesquelles la flore reprend petit à petit vie. Tu t'approches de tes plantations improvisées. Le tabac a poussé, et son odeur commence à se développer. Tu sais que il sera bientôt entre les mains de quelqu'un. Mais tu veux en profiter, surtout après une nuit aussi stressante que celle que tu viens de passer. Tu arraches un bout de papier encré, et un petit bout de carton. Tu y mets le tabac insuffisamment développé et ferme tout ça comme tu le peux. Tu fouilles dans la montagne de briquets vide que tu as récupéré lors d'expéditions. La plupart étaient vide lorsque tu les as trouvé, mais il arrive qu'un peu de gaz reste. En l'occurence, c'est le cas, mais la pierre ne marche plus. Les deux briquets se rapprochent dans tes mains, ton bâton de mort entre les lèvres. Le gaz s'ouvre d'un côté, les étincelles s'enflamment de l'autre. Tu allumes ta cigarette de fortune comme tu le peux, et jettes un oeil dehors. Tu observes la carcasse mécanique qui te servait de moto, avant que l'essence soit si dure à trouver.

Le moteur vrombit. La machine remarche. Il pose sa main sur ton épaule et dit que tu as fait du beau boulot. Un frisson parcourt ton corps, tu ne lui réponds pas. La jeune femme te remercie, et te serre la main. L'ambiance du garage t'énerve. Il y fait sombre, et rester toute la journée avec lui use ta santé mentale. Cela fait longtemps que tu ne l'as pas regardé dans les yeux. Ta main passe sur ton cou, sous ton écharpe. Tes doigts caressent ta peau usée. Ton poing se resserre, tu lui en veux. Evidemment que tu lui en veux. Les marques ne partiront jamais. La dame repart, et te fait un signe de remerciement. La clef se tourne, tu aimerais partir avec la machine de la cliente, toi aussi. Partir loin. Un bruit sourd retentit, ton oreille siffle. Tu couvres tes tympans.

Tu libères ton ouïe. Quelqu'un tape à la porte. Tu ouvres en jetant un coup d'oeil. C'est un client, un habitué. Il a l'air mal en point. Du sang séché sur son visage, tu ne sais pas ce qu'il a fait dernièrement. Il te supplie de lui fournir du tabac, il est en manque. Bien que ça te fasse du mal de ne pas lui offrir, tu as besoin de survivre. Ce n'est pas le quignon de pain séché trainant sur le comptoir sale qui te tiendra longtemps. Tu l'invites à l'intérieur, lui passant la clope que tu avais au bec.

" Bon, qu'est-ce que t'as pour moi ? "

" J'suis désolé, j'ai rien... Mais j'te promets que j'te ramène quelque chose demain ! "

" C'que t'as en bouche là, c'est tout ce que t'auras dans ce cas là. Désolée. "

Un soupir s'échappe de ta bouche. Il te fait pitié, mais ce n'est pas comme ça qu'on survit désormais. Son regard de chien abattu te resserre le coeur. Mais personne ne t'a aidé lorsque ton regard était similaire. Tu lui demandes de s'approcher. Examinant la blessure sur son visage, tu récupères une feuille de papier que tu trempes avec le moins d'eau possible. Tu la passes sur les restes de sang sur sa joue. Il lâche un gémissement de douleur, alors que sa peau redevient visible et laisse apparaître une coupure à peine cicatrisée. Tu termines de nettoyer comme tu peux. Tu lui fais signe de déguerpir, et que tu lui donneras ce dont il a besoin que lorsqu'il aura de quoi troquer. Tu regardes le papier mouillé dans tes mains, et ton regard s'y perd petit à petit, dans l'encre coulante maintenant mélangée au sang.

" Va voir les gars de l'hôpital, ça peut s'infecter. "

Ta mère t'auscultes. Elle regarde ton cou. Ses mots sonnent flou. Tu n'entends rien, même si tu essayes d'écouter. Elle a beau avoir fait de la médecine, ce n'est pas pour autant qu'elle pourra empêcher les futures blessures, ou le fait que celles-ci s'empirent. Ton regard perdu sur les papiers de la table, tu ne t'attendais pas à ce qu'elle te prenne dans ses bras. Ton corps sursaute, tu la repousses instinctivement. Tu te tiens le bras, tu as honte. Elle est figée, elle ne sait pas comment réagir. Elle ne sait pas d'où viennent les marques. Elle ne comprendra pas ta réaction. Mais après tout, elle sourit. Elle te sourit. Pour te rassurer. Un mouchoir humidifié à l'alcool pur, elle le passe sur tes cicatrices. Tu sens le picotement dans ton cou, mais tout va bien. Ou alors, tout ira bien. Tu serres les dents, tes yeux se ferment. Quelques secondes plus tard, elle te demande comment c'est arrivé. Tu lui réponds par le silence. Elle te le dit, elle ne pourra pas s'occuper de tes blessures tout le temps, il faudra que tu ailles à l'hôpital les prochaines fois. C'est peut-être plus grave que ça en a l'air, dit-elle. Tu pars de son bureau, en fermant la porte tout doucement, toujours sans répondre.

Tu es ramenée à tes esprits par ta porte qui vient de se fermer. C'est le garçon, tu espères qu'il suivra ton conseil. Ou qu'il te ramènera un briquet un minimum rempli. Tu te dis peut-être qu'il faudrait que tu montes tes prix. Mais en réalité, pourquoi tu ferais ça ? Ça t'apporterait plus, certes, mais les risques d'être volée par les pirates ou de perdre des clients est trop risqué. Continue de prendre ce qui vient. Pas la peine de causer encore plus de peine. Bref, tu as besoin de prendre l'air. Tu aimes ces ruines que tu appelles ta maison, mais l'impression d'y étouffer te prend à chaque réveil. La porte claque derrière toi. Une lettre est posée sur ton seuil. Tu marches dessus, sans prendre le temps de même y jeter un regard. Tu sifflotes dans les rues vides d'Arcadia Bay. Les mélodies résonnent sur les murs des appartements abandonnés. Un autre son vient perturber le rythme de ton morceau. Des pas retentissent sur le sol. Tu te retournes, et tu vois un jeune courir en ta direction. Il attrape ton bras et semble te supplier de l'aider. Mais tu es à peine concentrée sur ce qu'il raconte. Ton poing rentre en contact avec sa mâchoire, et il te lâche enfin. Tu frissonnes encore du toucher. D'un ton agacé, tu lui demandes de ne pas te retoucher. Puis, seulement maintenant tu lui demandes de répéter. Il bégaye et semble être prit de peur par le coup qui tu lui as infligé. Il se relève maladroitement et repart en courant, sans t'adresser une autre parole, un autre regard. Compréhensible, vu ta réaction. Il ne pouvait pas savoir, après tout, mais tes réflexes prennent le dessus malheureusement.

Un coup. Deux coups. Ses mains t'empêchent de respirer. Ce moment semblait durer une éternité, mais enfin, il partit. Tu reprends difficilement ton souffle. Puis, les larmes coulent. Le son a du mal à sortir de ta gorge, après ça, tout ce qui sort est une respiration abimée et saccadée. Mais, c'est assez pour qu'il t'entende. Ton frère rentre dans la pièce. Il a l'air triste. Un "Encore ?" murmuré s'échappe de ses lèvres alors que ton regard ne quitte pas le sol, et les gouttes de sang désormais incrustées dans le parquet. Comme il le dit, ce n'est pas la première fois, et c'est malheureusement loin d'être la dernière.  Comme ton père disait, tu ne fais qu'apporter le malheur sur ta famille. Il le répète chaque jour. Il te blâme, d'être née un vendredi 13. Il aurait dû t'abandonner à la naissance, disait-il. Le souvenir de ses paroles est chassé par ton fraternel, rentrant à nouveau dans la pièce. Cette fois-ci, avec des bandages. Tu ne peux pas t'arrêter de sangloter, la gorge encore écrasée. Aucun mot ne sort. Tu ne peux rien dire. Il s'occupe de toi. Tu as mal, mais pas autant qu'avant. Il te dit que ça va aller. Et il a raison, il faut que ça aille. Tu te demandes si tu mérites tout ça. Tout ça à cause de ton concours, que tu as raté. C'est toi qui étude la médecine, et c'est toi qui te retrouve à te faire soigner. La rage envahit ton corps, et ton poing se resserre. Mais tu te retrouves calmée par la voix de ton frère. Désormais, il chantait une comptine. La même comptine que votre mère chantait durant vos premières années. C'était encore plus dur depuis qu'elle n'était plus là. L'air sort de tes poumons, et tu mimes les paroles avec tes lèvres, désormais salées par tes larmes.

Ta main se lève en salutation aux membres de l'association des commerçants. Ceux que tu croises régulièrement malgré le fait que tu leur ai à peine parlé. Une bourrasque fait voler le bout de ton écharpe, que tu tiens d'une main pour éviter qu'elle s'envole. Les vagabonds semblent de bonne humeur aujourd'hui. Le manque de ressources n'empêche pas le sourire, chez certains. Il faut sourire pour garder le moral, qu'ils disent. Et tu t'y essayes. Tu forces un sourire gêné, mais quelque peu honnête. Mais tu sursautes. Un bruit de casse. Tu jettes un regard, et c'est une sorte de vase qui vient de se briser sur le bitume.

C'est la fois de trop. Il a insulté ta mère, la seule qui t'a autant chérit. Son urne, cassée. Tout ça à cause de lui. Tu mets les premières affaires qui viennent dans un sac. Il hurle, tu n'entends rien. Tu sors de ta chambre et tu vois ton frère lui bloquant le passage, l'empêchant de s'approcher de toi. Tu descend les escaliers en trombe et claque la porte derrière toi. Un pied, deux pieds sur la bécane de ton père. Elle démarre, tu sais la conduire. La porte s'ouvre, et tu vois ce regard belliqueux. Il crie que tu reviendras à genoux lui demander de l'aide. Tu lui dois tout, d'après lui. Et il compte porter plainte pour le vol de la moto. Tout ceci n'était que le dernier de tes soucis, alors que tu pars sur la route. Le vent siffle à travers tes cheveux. Ton seul regret est de ne pas avoir pu saluer ton frère, le remercier pour tout. L'air qui te frappe le visage a goût de liberté, et rien d'autre. La simple liberté. Te voilà partie, loin de ses griffes.
cc moi c dune (elle/iel/ael)
j'ai 19 ans, j'fais de la musique, et je joue un personnage addict au tabac alors que j'arrête de fumer mdr
J'étais là y'a 5-7 mois et g malheureusement dû quitter le forum
MAIS
jsuis de retour et j'vais pouvoir vous refaire de """beaux""" vavas ( jvois que certains les ont gardé en plus ça me fait giga plaisir ouin )
et je reboot tobacco en + de ça
bon j'ai pas changé l'histoire mais quand même
eske c pas bô la vie
en résumé
jvm

Blackbear
Abominable homme des greens
Abominable homme des greens
Métier responsable (chasse)
Avatar jason todd (dc) + matthew daddario
Blackbear
Blackbear
Dim 7 Nov - 2:21
O U I

(j'edit plus tard)
Light
p’tit lion imberbe
p’tit lion imberbe
Métier Enfant chevalier dans le déni
Avatar Mathilda Lando
Light
Light
Dim 7 Nov - 6:09
Moi chui la newbie qui te souhaite re-bienvenue parce que ton perso est grave cool!

Je parle pour Light (Kleptomane de 13yo qui fume. tranquille), elle frétille d’impatience juste à l’idée de pouvoir venir te piquer ton labeur en mode commando solo de l’extrême.  


À bientôt :smirk:
Thunderbird
vagabond
vagabond
Métier Médecin
Avatar Beauregard (critical role)
Thunderbird
Thunderbird
Dim 7 Nov - 8:02
Bah pour le coup j’étais pas là avant, mais re bienvenue quand meme :onfire:

Tobacco elle est toute bébou je l’adore!
Je passerais par ta rs dans le futur, need un lien entre Thundy et Toba et j’ai deja quelques idées :eyes:
Bloody Mary
Le Chaos en talons hauts
Le Chaos en talons hauts
Métier Gros Bras (spaghettis)
Avatar Julian Devorak/Sackloth and Ashe/Ilja Van Vuuren (irl) - Vava de Nugget/Luci/Icare ♥
Bloody Mary
Bloody Mary
Dim 7 Nov - 8:47
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

TOBAAAAA

JE SUIS TROP CONTENT DE TE REVOIR <33333

REBIENVENUE
Noel
Gandalf 2.0
Gandalf 2.0
Métier Livreur en carton
Avatar OC par Hatteeho - IRL Dev Patel
Noel
Noel
Dim 7 Nov - 10:41
RE :onfire:
Trop content de te revoir, trop hâte de te revoir inrp :fleur:
Mum
Mère d'une grande famille
Mère d'une grande famille
Métier sous-chef + nounou.
Avatar corazon ϟ one piece + Heath Ledger.
Mum
Mum
Dim 7 Nov - 10:53
hiiiiiii jsuis trop contente de te revoir parmi nous !!! :hug: :hug: :hug:
et trop contente aussi de revoir Toba snif c'est un perso que j'adore grave ouin
re-bienvenue !!! hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit :keur:
Poppy
Dealeuse de souvenirs
Dealeuse de souvenirs
Métier Chineuse - Rafistoleuse électrique
Avatar Dina - TLOU part.2 (vava by Mum <3)
Poppy
Poppy
Dim 7 Nov - 18:46
Rebienvenue :fleur:
On ne s'était pas croisé je crois, c'est super que tu reviennes par ici ! J'ai hâte de voir Toba en RP, elle est si traumatisée olala ça donne envie de lui envoyer pleins de love et de pas la laisser toute seule :feels:
Twizzlers
Bimbo blond girl
Bimbo blond girl
Métier Lieutenant Gestionnaire des stocks ─ Petite bitch qui regarde la Terre tourner sur elle-même
Avatar Originaux par Re°
Twizzlers
Twizzlers
Lun 8 Nov - 21:21
TOBBA TROP CONTENTE DE TE REVOIR LA OMG :onfire:

Vraiment j'ai toujours une tendresse particulière quand des anciens nous reviennent, ça veut dire qu'on a suffisamment marqué/manqué et c'est très très cool de (re)découvrir des personnages qu'on a pourtant côtoyés. Toujours aussi fan de Tobba en tout cas, REBIENVENUE :keur:
George
Rapide comme l'éclair
Rapide comme l'éclair
Métier Postier à vélo
George
George
Jeu 11 Nov - 23:46
Bambi
GG TU ES VALIDEY
Quel plaisir de te revoir, et quel honneur cette fois de te valider ! :onfire:
Ce sera du déjà dit, mais j'vais oser répéter que veux-tu : Toba est extrêmement touchante, j'ai juste envie de la rassurer et lui dire que tout va être ok maintenant 😔 Avec un tel bagage, on comprend très bien que les blessures sont encore à vif et à quel point elle est réactive. Elle m'inspire beaucoup de résilience, j'espère seulement qu'elle pourra, un jour, se sentir en sécurité et se reposer un peu plutôt que d'être en état d'alerte constant (plus facile à dire qu'à faire right, mais je ne rêve que de softness)
Rebienvenue chou :keur:


Maintenant que tu es validé(e), n'oublie pas de poster dans les différents listings, de faire ta fiche de relation pour te trouver des copains, et n'hésite pas à poster dans la zone complot de ton groupe où dans les demandes de rp !

Afin d'aider le staff pour la modération RP penses également de mettre ton profil à jour avec les liens de ta fiche, ta rs, et ton suivi de personnage !

Mais le plus important BIENVENUE, et amuse toi bien sur KS !
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