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[Groupe 1] C'est pas Jojo.

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Bambi
Bambelove
Bambelove
Métier libraire-ish
Avatar Viktor Nikiforov (Yuri on Ice) // Lust & Batou & Eight & Mum & Toba
Bambi
Bambi
Mar 1 Juin - 1:16
Bambi & Co
C'est pas jojo
1er avril
Visiblement, ses talents de négociateur ne sont pas au point. Bambi a tout donné pourtant – n'était-ce pas un argument béton, enlever le masque pour prouver qu'il n'est pas Bones ? Et un autre a confirmé sa non-identité ! Le véritable coupable se cache loin de leurs regards ; alors Woolf – ou la personne à l'intérieur de Woolf va bien entendre et le laisser tranquille, n'est-ce pas ?

Ce n'est absolument pas ce qu'il passe. Il a du mal à refaire le fil des événements. Il y a eu flash de lumière tout près ; le grondement dans les oreilles, l'électricité dans l'air. Tous ses sens en alerte, le danger est tout près, mais il oublie le chien qui lui saute, croit-il sur l'instant, à la gorge.

Il pensait voir sa vie défiler sous ses yeux. Il n'en est rien : que son cri affolé et ses bras maladroits qui tentent de repousser l'animal, ses dents, ses griffes. Woolf dans son corps assiste à la scène et n'aime pas ce qu'elle voit ; de la gorge de Bambi sort ce qui doit ressembler à des aboiements paniqués en sa direction.

Puis ces secondes interminables prennent fin ; le chien enragé a trouvé ce qu'il voulait. Bambi apeuré dans le corps du pauvre Bones ne comprend toujours pas ce qui vient de se passer – il a encore l'impression de sentir les pattes de l'animal le plaquer au sol. Pourtant, il finit par se redresser, assis. Le cœur sur le point d'exploser. Le regard absolument perdu derrière ce masque.

« Que…. c'est quoi ça ? » fait-il en indiquant ce que "Woolf" tient dans sa gueule.

Et il reste au sol, trop effrayé à l'idée de faire un faux mouvement qui pourrait provoquer l'animal,
trop angoissé par l'électricité dans l'air et qu'il ressent jusqu'au bout des doigts.

cactus


résumé de la mort qui tue:
Mandrille
green
green
Métier Inventeur / prof de survie
Avatar Hester • Oc Sas Milledge / Blue Sargent • The raven boys
Mandrille
Mandrille
Mar 1 Juin - 12:08
[Event / G1] C'est pas jojo
Là haut, l'orage gronde, fatalité tombant des cieux. Comme un dernier acte. Mais ce corps qui n'est sien refuse de céder à la pression, comme immunisé au chaos ambiant, elle lui commande de ne point bouger même si les réfélexes accumulés par son propriétaire sont tremblants et hésitants.

La plus jeune se met à marmonner dans sa barbe inexistante, et Jude ne l'entend pas, ne l'écoute pas plutôt. Que faire des mots d'une gamine - même si celle ci a potentiellement 80 ans au moins - quand l'orage gronde au dessus de leurs tête ? Le mouvement du chien en revanche, agite bien plus vite sa pupille lorsque celui-ci bondit sur le faux Bones. Elle le regarde s'archaner un moment sur l'inconu qui semble bien pris au dépourvu.... Et hausse les épaules. Si une morsure sur son corps d'orgine peut faire sortir ce lâche de sa cachette. Alors tant mieux.

Un sourire en bias alors que le chevelu se met à aboyer, puis les pupilles se reposent sur le chien. Pas si chien que ça, apparament. Et ce qu'il saisit dans sa gueule intrigue soudainement Jude, bien plus que les bruits entendus par le corps de la petite fille. Et il faut bien la question du faux Bones, pour enfin la faire réagir, d'un mouvement et de quelques-mots :  

- On va le découvrir. Peut-être le doudou de cette pleureuse de Bones.

Sans un regard pour le bones apeuré, elle s'approche du chien, montrant patte blanche, en s'agenouillant légérement.

- Je peux regader Dude, ou tu préféres le machonner ce truc ?


RÉSUMÉ:
[/quote]
Bones
"mais quel fils de con"
[Groupe 1] C'est pas Jojo.  - Page 2 Ezgif_22
Métier Chef des pirates
Avatar Outsider • Dishonored
Bones
Bones
Ven 9 Juil - 2:34

C'est pas Jojo

Ecstasy, tu devrais savoir, tu devrais connaître, ce monde.
Ces illusions.
Ces faux semblants.
Tu es le mieux placé n’est ce pas ? Pour savoir.
Le piège s’est pourtant refermé, encore une fois.
Tu es tombé si facilement, dans ses bras.
A se demander si tout cela ne t'avait pas manqué.
Si le malsain ne t'étais pas prédestiné.
Un regard et tu ne réponds plus, et tu attends.
Tu attends que la distance se réduise.
Mais ce n’est pas le scénario prévu, petite pilule.
Non, ca ne se passera pas comme ça.
Et pourtant.
Pourtant tu l’aimes.
Tu l’aimes plus que jamais personne ne l’a jamais aimé.
Tu crois qu’il ne le remarque pas ?
Il s’en nourrit.
Il en a besoin.
C’est le problème ecstasy, le plus gros du  problème. Il est si gros que même toi, tu ne sais où poser les doigts.
Il voit très bien ce que tu as à offrir.
Il voit très bien comme tu le regardes.
Mais quand dans tes yeux se dessinent les larmes, quand dans ton cœur il y a ces appels à l’aide.
Quand en toi, réside l'espoir.
Il sait que tout cela, n’est que fabulations d’un monde que tu t’es inventé.
Un héros que tu as dessiné.
Tu aurais dû aller du côté des costumés, tu aurais été moins déçu.
Elle fait tant d'efforts.
Elle aurait mérité tout ce respect.
Mais tu supplies, tu appelles à l'aide. Tu te trompes de personnes
Et il n’a rien à te donner.
Ce n’est qu’un égoïste
Il n’a jamais rien su faire que prendre.
Mais c’est fini ecstasy, promis, promis, c’est la dernière fois.
Il a beau paraître insensible.
Il t’a écouté.
Il a vu tes doutes, sans même que tu n’es eu à en parler.
Quand tu exprimais tes inquiétudes. Quand tu voulais partir.
Quand dans ce monde que tu avais rejoins, tu ne te sentais plus a ta place.
Quand tu regardais ailleurs.
Quand il a haussé le ton pour te faire changer d’avis, parce que c'était tout ce qu’il lui restait.
Parce que sans te l’avoir dit, tu étais une certitudes. Un pilier.
Et tes aveux ont été un doutes en plus, qu’il n’a pas su assumer.
Il a trop de fierté petite pilule.
Bien trop pour avouer que tu comptes, bien trop pour changer.
C’est tout ce qu’il connaît.
Et ta souffrance, il l’a vu.
Il n’en a jamais rien fait.
Ce n’est qu’un jeu, tout le monde le sait.
Alors pourquoi pleurer.
Tout va bien se passer Ecstasy , il va te libérer.
Enfin, tu pourras faire tout ce qu’il te plait.
Enfin, tu seras vrai.
Pardon, pardon d’avoir tant voulu te garder.
Pardon d’avoir été si égoïste.
C’est fini.
C’est vraiment fini.
Tu n’as plus à crier.
Tu n’as plus à souffrir.
Il t’a entendu, ça y est.

Les corps retrouvent le propriétaire et le visage est grave derrière ce masque qu’il le définit.
Il a entendu ta proposition Bambi.
Il a vu les crocs, la colère.
Il a senti les ressentiments pour sa personne à travers vos gestes, vos mots.
Est ce que c’est ce qu’il voulait, soudain, il n’est plus sûr.
Et quand tout revient à la normale.
Pour vous.
Le temps semble s'arrêter , une seconde.
Comme un décalage que l'on doit encaisser.
L'orage provoqué rend l'air si lourd.
Cela en deviendrait presque dur de respirer.
Et lui.
Il ne regarde aucun d’entre vous.
Il s’en moque.
Il est là.
Ca y est.
Vous pouvez faire tout ce que vous voulez.
Il est de retour.
Vengez vous.
Venge toi.
Parce que son regard n'est posé que sur une personne.
C’est fini ecstasy, range tes larmes.
C’est fini Ecstasy.
Tu peux partir.
Il ne te retiendra plus.
Tu as le droit.
Il t’en donne, le droit.

Mais avant, il doit te montrer.
Regarde.
Regarde ce qu’il est.
On a tant attendu ce moment où le masque tomberait.
Ce n’est pas pour les autres qu’il le fait.
C’est seulement pour toi.
Pour que tu vois.
Pour que tu comprennes.
Il l'espère. La fatigue qui l'habite.
Le compte à rebours déjà bien avancé.

Le lien est brisé.
Lui aussi.
Ca a toujours été son problème, percevoir les limites.
Si il n’avait pas tant de fierté, tu sais, il s'excusait, de t'avoir tant poussé.
Il se serait excusé, de t'avoir fait tomber.
Tu as eu de l'importance petite pilule.
Bien plus que tu ne l’aurais jamais espéré.
Est ce que tu le comprends maintenant?  Quand devant les autres se baisse le masque.
Est ce que tu comprends qu’il ne se montre tel qu’il est, seulement pour que toi tu le vois ?

Parce qu’il a comprit bien avant vous, ce que voulait dire cette marque.
Parce qu’il redoute les jours à venir.
Parce qu’il ne doit pas être faible.
Mais tu dois partir. Il est l’heure.
Et plus rien ne compte.
Seulement toi.
Il n’y a rien a admiré, regarde.
Pars sans te retourner.
Pars sans regrets.
Pars.
Pars.
Pars.
Et demain, commençons à oublier.

Il est là, ça y est. Les mystères enfin dissipés.
Les visages consumés. surtout le sien
Il n’a plus grand chose d’humain.
Il n’a pas attendu cette marque pour ne plus l’être.
Alors ne retourne pas Ecstasy quand tu partiras.
Il n’y a rien à regretter.
Si tu te retournes assez vite, si tu fuis avant de capter l'étincelle de ces pupilles.
Peut-être ne croiseras tu pas la mort.

Il est prés, à sa sentence.
Il aurait voulu tu sais, que cela soit beau.
Et puis.
Et puis.
Et puis.

C’est sûrement le destin.
Dans le talky walky de Mandrille, il n’y a qu’un chiffre, une lettre.
Pour vous, ca ne veut surement pas dire grand chose.
Mais alors que la voix n’annonce rien d’autre, c'est son regard qui cherche à l’horizon.
Inquiet de comprendre le mouvement à venir.
Il va perdre sa tour, c’est ce qu'on lui annonce.
Il est si reconnaissable, le chef des greens.

Pour certains, sa venue sonne comme une libération.
Pour lui c'est une condamnation.
Phaner, si sur de lui, et Bones l'enfant puni.
Et alors qu'il si concentré, qu'il se prépare, cherche à riposter quand le coup sera lancé, il ne voit pas ce qu’il laisse tomber de son dos.
Tu as tant travailler pissenlir, ca y est , elle est a ta porté, rend la a celle qu’il l’attend.
Et puis dans les mains de Phaner, entre ses doigts, le destin.
Vous ne le voyez pas, mais Bones lui, il ne voit que ça, il y a ce fil.
Fierté dans le regard du chef des greens, si fière de vous libérer de ce monstre.
Oh oui, il va vous protéger. Oui. Il va détruire la menace.
Soyez en sur.
Vous l'aviez tant attendu.
Un lettre un chiffre.
Pas de menace.
Pas de rire.
Pas de commentaire sur l'apparence du chaos.
Il n'a rien besoin de dire Phaner.

Peut-être qu’il ne veut pas comprendre. Il a compris.
Ce geste rapide, mouvement est fugace, peut être ignoré de certains d’entre vous. Ciseaux.
Pourtant il y a ce fil, qu’il coupe sans scrupule.
Parce que ce tour, il l’a gagné. Sans rien faire.
Et le sourire discret se fait victorieux, malgré tout
Il a perdu un pion , Bones.
C’est fini Ecstasy, il n’y a plus rien entre vous.
Plus rien, plus jamais.
Tu ne te souviendras même plus de lui.
Le fil est rompu.
Et alors qu’il en attrape un autre, il se fait miséreux Bones.
Il a compris, il a compris qu’il n'était pas en position de force.
Que le replis était stratégique.
Qu’il n’avait pas le choix.
Que l’obstination aujourd'hui, ne serait pas une qualité.
Qu’il serait seul à pleurer ce qu'il a déjà perdu.
Le fil entre les doigts de Phaner a l’air bien trop important pour qu’il ne prenne le risque de se laisser dominer de nouveau.

Alors adieu.
Tu voulais partir, n’est ce pas, alors peut être que sans s’en rendre compte, il a rendu la chose bien moins difficile pour toi.
Oublie le.
Comme s' il n’avait jamais existé.
Et si les mots lui manquent, merci de brûlent le bords des lèvres.
Merci d'avoir tant cru en lui.
Merci d'avoir cru en lui comme jamais il ne le se serait permis.

Le masque est remit bien en place.
Il y a encore des choses qu'il veut cacher en cet instant.



Résumé:
Invité
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Sam 17 Juil - 17:54
C'est pas jojo
Event
Retour enfin, une dernière fois dans son corps. Sans que rien n’ait été fait, sans que rien n’ait été décidé. Il souffle, une dernière fois également en se redressant de toute sa taille sur sa jambe en ruine et sur sa canne en métal. Qui claque au sol des quelques pas qu’il avance, qui craque par terre en même temps que l’orage gronde dans le ciel. On a oublié, perdu, le reste. Dans ses yeux, il sait, il voit bien que tous ont repris leur place.

Grand petit face au Pirate.
Petit, manipulé, manipulable.
Faible, faible et inutile.

Et pourtant, toujours droit dans ses chaussures et le dos dressé et l’épine dorsale tendue et la jambe tirée sur le côté. A inspirer encore une fois - rien, rien faire et juste observer. Lorsqu’il retire enfin le masque, et la marque que l’on voit enfin qui bouffe le visage presqu’entièrement, marque noire qui apparaît sous ses yeux fatigués et cernés. Et il voudrait comprendre un peu, ce qu’il en est, ce qu’il se passe, pourquoi comment mais encore tout ceci lui échappe comme tout ce qu’il se passe ici et pourtant il est bien capable de voir -la détresse dans tes yeux. Et il inspire, expire, inspire, expire. Sans rien dire, sans rien tenter. Jusqu’à ce qu’enfin le personnage tant attendu face son entrée, enfin arrivé en même temps que le jeu de regards que s’offrent les deux hommes.

Un simple coup de ciseaux, sans qu’il n’en comprenne le sens mais pourtant, il ne peut s’empêcher de froncer des sourcils. Et réfléchir, réfléchir parce que c’est tout ce qui lui reste.

C’est ainsi que tout ceci se termine,
et il inspire, expire, inspire.
Ah, il en aura bien des choses à dire.


Résumé:
Bambi
Bambelove
Bambelove
Métier libraire-ish
Avatar Viktor Nikiforov (Yuri on Ice) // Lust & Batou & Eight & Mum & Toba
Bambi
Bambi
Mar 3 Aoû - 16:17
Bambi & Co
C'est pas jojo
1er avril
Le reste se passe plus rapidement que Bambi ne peut le comprendre.

De retour dans son corps, à quatre pattes, il s'assoit sur ses talons et retrouve un peu de dignité. Dans un même geste – nerveux, inconscient – il replace vite ses gants sur le point de tomber. C'était moins une. En cherchant Woolf redevenue Woolf, c'est sur Bones que son regard s'accroche. Bones qui enlève son masque, Bones qui
qui porte aussi la marque.

C'est indéniable. C'est la même chose. Et c'est la première fois qu'il voit, Bambi, un semblable. Mais qu'est-ce que cela signifie ?
Bones est-il à l'origine de l'orage ?
Bones est-il celui qui leur a fait changer les corps ?
Qui d'autres alors ?

Trop de questions, pas l'espace pour les formuler. Woolf, heureuse de retrouver son corps, mais effrayée par tout ce qui se passe, loge son museau contre son bras, le repousse pour l'insister à se relever. Comme un automate, Bambi obéit. Ce faisant, tout redevient un peu plus clair autour de lui. L'air est pesant, difficile à respirer. Et plus loin, il aperçoit Phaner qui s'approche.

Ça lui suffit à comprendre que la tempête est sur le point d'éclater, et qu'il ne veut pas être là.

Il ne remarque rien du geste, de la fuite de Bones – trop préoccupée par la sienne et celle de Woolf. Le plus discrètement possible, ils s'éclipsent.

cactus


résumé de la mort qui tue:
Pissenlit
i kissed a fairy and i liked it
i kissed a fairy and i liked it
Métier sale mioche
Avatar frisk/chara de undertale
Pissenlit
Pissenlit
Mer 3 Nov - 22:16
Tu tires ton fardeau, son poids serré dans ta mâchoire.
On s'approche de toi.
On te parle.
Qui est qui, tu ne le sais pas.
Tu grondes tout pareil Pissenlit, grondes contre tes ennemis et tes alliés réunis. Ils sont tous identiques aujourd'hui. Tu n'as qu'un but, qu'un seul.
Tu grondes et traînes ce poids mort qui te fait regretter de ne plus avoir de mains.

Et peut être que quelque part ton vœu a-t-il été entendu car le voilà exaucé.
Tu perds l'équilibre sur tes deux jambes haut perchées et c'est les fesses dans la poussière que tu lèves les yeux sur Bones – le terrible, le maléfique.
Bones le méchant qui retire son masque sous le tonnerre et vous fixe d'un regard que tu reverras souvent dans tes rêves. C'est immonde, c'est terrifiant. Tu voudrais qu'il le remette et ne l'enlève jamais ; tu voudrais t'approcher tout près et toucher sa peau noire du bout de tes doigts.

Personne ne dit rien.
Et puis il y a une fluctuation dans l'air, un mouvement de têtes et de regards. Et tu te rappelles que tu ne veux pas être là Pissenlit.

Tu trébuches sur tes quatre pattes comme la bête que tu es, te précipites vers ton trésor si durement arraché et t'enfuies avant que des humains (adultes) ne puissent t'attraper. Ils sont de plus en plus nombreux à se déverser sur la place et tu ne peux pas rester ici, tu ne peux pas les laisser poser la main sur toi.

Tu cours Pissenlit, cours entre les ruines et les gravats.
Retournes à la nature qui t'appelle et aux grottes où elle t'attend.
Sans même faire attention au drap qui se soulève dans ta course et aux éclats que lance l'épée dans tes bras.
 

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