On avait attendu.
On avait été silencieux.
Après avoir tant dit.
Après avoir jeter ton énervement.
Sur le premier venu.
Sans attendre.
On s’en prend au damner qu’on m'aperçoit que de loin.
Car on manque de patience.
On a perdu ce que l’on percevait en trésor.
Dans le trop grand de cette univers.
Cette infini espace qui nous joue des tours.
Beaucoup beaucoup trop.
Trop pour toi.
Qui essaye tant bien que mal de faire un sens à tous ceci.
Alors qu’on voudrait parfois tout foutre en l’air pour retourner en arrière.
Car on manque de patience.
À faire les choses.
Malgré tes sourires.
À avaler le temps qui passe.
Malgré tes rires.
Si tu avais changer pour mieux t’y faire.
Mieux prendre le coup de tous les changements et les pertes que tu gardais caché.
N’ayant point versé de larmes depuis le début de tout cela.
Rien n’avait arrivé à te faire craquer jusque là.
Sauf toi.
Qui apparaît après que j’ai bien vite de reconnaître la personne qui avait répondu à mes paroles.
Ce surveillant de l’école
Tu es d’abord surpris de le revoir.
Mais tu l’es moins en l’entendant te réprimander sur tes paroles.
Old habit die hard, qu’ils disaient.
Mais il n’était pas toi.
Qui fit entendre ta voix après celle de Crow.
Le Green m'accompagnant pour essayer de retrouver les disparus.
Tu lui lance une grimace alors qu’il te corrige sur tes paroles.
Et tu ne fis qu’un hochement de la tête en les entendant parler du danger de l’endroit.
Mais ce fut après tout ceci que tu apparus.
Dans le coin de tes yeux.
Comme une forme attirant l’attention l’instant d’une seconde.
On a l’habitude de ne rien apercevoir après s’être tourné.
Mais pas cette fois.
Pas maintenant.
Alors que tu lui fais face.
Alors que vous vous faites face.
Avant qu’on t’entrelasse.
Rapidement.
L’instant d’un battement de cil.
Alors que tout se tordait.
Tout criait à tue tête.
Ça a des allures de fanfare ou de concert rock.
Alors que tout le reste ne fait que tomber.
Tomber de trop plein.
Tomber de trop rien.
Tomber d’être enfin.
Deux.
Chiffre magique.
Nombre de rêve.
1+1
Enfin.
On a ce que l’on désirait le plus au monde.
Ce que l’on avait perdu.
Ce qui avait le plus de valeur.
Alors que l’on croyait qu’il avait simplement été emporté.
Comme tous les autres.
Sauf quelques exceptions.
On a le visage qui se tord de douleur.
Alors que les yeux se perdent dans les mers qui se déverse sur vos visage.
Océans qui entre en collision.
On s’agrippe de peur que l’autre disparaît.
Et on espère que les autres arriveront à observer autour.
Car vous n’étiez plus là.
Il n’y avait plus de vous.
Il n’y avait que nous.
— Song, Song, S-SONG putain, tu es vivant... 씨발 !