Sa poitrine se serre. Son cœur s’attriste. Et Capharnaüm réprime quelques sanglots.
Les réserves sont bientôt à sec.
Oui. Les réserves sont bientôt à sec. Désastre. Malheur. La fin du monde est donc bien là.
Capharnaüm n’aura bientôt plus aucune raison de vivre… Comment la vie peut-elle avoir un sens s’il n’est plus possible de se colorer les cheveux ? Hein ? Franchement… il est à deux doigts de se chercher une feuille de papier pour se trancher les veines. Mais même ça ! Même une foutue feuille de papier bien tranchante est devenue une espèce en voie de disparition !
Alors ça l’agace tout ça. Ca l’agace profondément. Et ses expériences avec les Greens n’avancent pas fortement. Disons que cela demande du temps… Et aussi un peu de courage de la part de pauvres petits cobayes prêts à sacrifier leur chevelure pour quelques tests risqués. Il faut dire que les colorations végétales ne sont pas toujours des réussites. Il y a toujours un brin d’aléatoire dans le résultat final… Et forcément ça implique quelques mécontentements lorsque le moment est venu de se regarder dans le miroir.
Mais Capharnaüm n’est que coiffeur ! Il n’est pas un de ces savants fous capables de réaliser des expériences dans son laboratoire. Il y va simplement au feeling. Et le feeling… bien évidemment, ce n’est pas toujours une réussite.
Sauf qu’il devient urgent à présent d’accélérer les choses. C’est pour cela qu’il se rend encore aujourd’hui chez les p’tits verts. Histoire de voir où en sont les dernières plantations et s’il peut en récupérer certaines aux propriétés reconnues comme étant tinctoriales. Il sait bien qu’ils ont d’autres priorités que de faire pousser ça. Cela demande donc une certaine aisance dans la négociation. Jusque là, il s’en est sorti avec un succès relatif… Mais sa patience mise à rude épreuve risque de compromettre ses maigres avancées.
Alors une fois arrivé chez eux, il s’attache à afficher un sourire radieux, à saluer chacune des personnes qu’il croise, à lancer des compliments plus farfelus les uns que les autres. Le chemin jusqu’à Asgard, il le connait désormais par cœur. Il sait que c’est là-bas qu’il aura la réponse à ses questions. En espérant y voir pousser à profusion de la garance ou du carthame… Et de quoi ainsi se rassurer sur l’avenir de sa propre couleur. Du rouge à en crever. Et un prix qu’il faudra forcément négocier.
résumé:
- C'est la crise, les stocks de colorations arrivent à épuisement - Du coup, Caph' se rend chez les Greens comme à son habitude depuis quelques temps pour espérer pouvoir continuer à faire du troc et même à ce que celui-ci se développe parce que ça devient une question de vie ou de mort s'il peut plus garder sa couleur rouge
agora
Bobtail
Hodor,... Hodor ?
Policier
Fat Gum, My Hero Academia
Bobtail
Mar 4 Aoû - 10:48
joues pourpres et crinière écarlate
Je réprime un bâillement. Mes paupières tombent toutes seules. Je cligne des yeux pour tenter de garder un air éveillé. Nouvelle punition de Pony. Enfin, nouvelle mission extraordinaire confiée par Pony. Surveiller Asgard. Après avoir passé la nuit à patrouiller. Je ne sais pas combien de temps je serais encore capable de tenir à ce rythme imposé. Je m’étire, les bras en l’air. J’essaye de faire bonne figure. Mes jambes peinent à maintenir mon poids debout. Quel supplice. Je lève les yeux au ciel. La fin de ma journée est encore bien loin. Asgard est bien calme depuis que j’ai pris mon poste. D’autres policiers vaquent à leur propre occupation, mais, ce sont principalement les agriculteurs qui commencent à s’activer pour arroser les champs, planter de nouvelles semences, s’occuper des plants et autres activités qui me sont inconnues. Je reconnais Sable dans la masse, toujours cette perche à l’air éternellement fatigué. Je crois que, comme lui, je pourrais m'effondrer et faire une sieste dans l’instant. Rien qu’à penser à la punition probable que pourrait m’infliger Pony, je me ressaisis immédiatement et ouvre grand les yeux et les oreilles. J’ajuste mon badge en forme de chien et redresse mon large buste. Je me mets à arpenter les sentiers, le long de notre source principale de nourriture. J’observe la forêt alentour, les mouvements qui captent mon attention et regarde attentivement les mouvements mesurés des agriculteurs. Tout semble en ordre.
Seul un point vient faire éclater ce tableau idyllique des Greens au travail. Une chevelure flamboyante. Un véritable feu de forêt ambulant. Un drôle d'énergumène qui passe de temps en temps chez nous. A quels desseins ? Eh bien, j’ai appris qu’il tenait le salon de coiffure d’Arcadia Bay. Qu’il était provocateur, mais, réaliste, tout en étant prodigieux dans ses coiffures et tentatives de colorations naturelles. Je n’ai jamais eu le courage de me rendre dans son salon. Une peur sourde d’être jugé, comme toujours. Avec, au fond de moi, une volonté de changer. D’avoir un autre style pour effacer le Barry d’avant et d’en accepter un nouveau. De me fondre dans une peau qui n’est plus celle du chétif Barry Lightwood, mais, bien du fier Bobtail, policier chez les Greens. Une démarche d’acceptation qui n’a eu que peu d’effet jusqu’ici. La tempête a beau avoir une lieu il y a plus d’une demie-année, les Pirates m’en ont fait voir de toutes les couleurs. Sans compter les bizarreries et les étrangetés qui m’ont souvent renvoyées une image peu flatteuse de moi-même. Si j’avais confiance en moi, j’irais chez ce drôle de coiffeur pour me teindre les cheveux en violet, je danserais sur la plage, je dirais ses quatre vérités à Pony, j’enverrais mon poing dans la figure de Calico et je quitterais probablement les policiers pour préférer quelque chose de plus flatteur pour moi et mon égo. Malheureusement, si je me plais à imaginer ce qu’il pourrait advenir en mettant ce plan à exécution, j’ai bien du mal à le mettre en place. C’est ma petite utopie personnelle.
Je soupire, gardant toujours l’homme aux cheveux longs et rouge dans mon champ de vision. La plupart de l’agitation d’Asgard provient de lui. Ne voyant personne ne s’occuper de sa requête, je m’approche du coiffeur, tentant d’oublier ma fatigue et de tout ce que j’ai pu entendre à son propos. Il n’est de toute façon pas là pour me proposer une coupe de cheveux.
« _ Je… je-peux vous aider ? »
C’est qu’il est intriguant, en plus d’être impressionnant. Et puis, c’est à peine si je le dépasse de quelques centimètres, ce qui fait de lui quelqu’un de grand. Et svelte. Et beau. Rah, pourquoi tout ces gens sont si beaux ? Si je devais faire un classement des gens beaux, pourquoi je me retrouve tout au fond ? N’y a-t-il personne de moche, dans ce nouveau monde ? S’en est presque déprimant. Je reste muet en attendant sa réponse. Je ne suis pas là pour lui faire la conversation, même si l’idée de lui demander un relooking complet est au bord de mes lèvres.
• Bobby a -encore- fait une bêtise et est puni par Pony, il doit enchaîner plus de gardes que normalement. Donc, il est extrêmement fatigué. • Il reconnaît Capharnaüm quand il arrive dans les champs, parce qu’il a entendu parlé de lui et qu’il est intrigué par son métier post-apocalypse. • Bob s’approche de lui pour savoir ce qu’il cherche. • Il le trouve beau et intriguant, il en a grave peur au fond. (toujours peur d’être jugé, le bebouuuu)
Invité
Invité
Invité
Jeu 6 Aoû - 21:49
joues pourpres et crinière écarlate
Il a beau ne pas faire dans la discrétion, à passer, passer et repasser, tout en faisant de grands gestes, personne ne semble décidé à lui proposer son aide. Il pourrait tout aussi bien être en train de chier dans leurs plantes que personne ne daignerait lui accorder la moindre attention. A croire qu’ils baissent le nez à chaque fois que leurs regards sont à deux doigts de se croiser. Aurait-il si mauvaise réputation auprès des Greens ? C’est à peine s’il s’est montré envahissant ! Peut-être un poil exigeant… Et peut-être un peu trop décalé par rapport à leur philosophie. Mais il est pas là pour les rejoindre après tout, alors pourquoi tant de frilosité ?
Ca l’agace. Alors il ajoute des soupirs bruyants à son manège, ainsi que des regards condescendants. Puisque c’est comme ça, autant se comporter comme un véritable emmerdeur. Les bras désormais croisés, le pied qui tape nerveusement le sol, il se retourne quand finalement une voix ose enfin s’adresser à lui. Dans un volte-face appuyé, il découvre le visage de celui envoyé en pâture auprès du coiffeur. Un garçon pas tout à fait sorti de l’enfance, au physique massif sans pour autant être impressionnant, certainement à cause de l'aura de timidité qui s'en dégage. Etrange contraste. Et sa voix craintive achève la mauvaise humeur de Capharnaüm qui ne peut s’empêcher de rouler des yeux.
« He oh décoince toi, j’vais pas te bouffer. »
Nouveau soupir. Mais le coiffeur décroise finalement ses bras pour poser ses mains sur ses hanches, une attitude de diva innée chez lui dont il ne cherche pas à se dépêtre. Il profite aussi de ces quelques secondes pour observer d’un peu plus près le petit vert envoyé au charbon. Ne se souciant pas une seule seconde de l’indécence de son regard qui le juge de haut en bas. Il l’a déjà aperçu plusieurs fois dans le coin mais ignore tout de sa personne, jusqu’à l’adorable surnom affublé par ses camarades.
« Oui mon p’tit chou tu peux m’aider. J’ai besoin de savoir où en sont vos plantes tinctoriales. Ca devient urgent. Vital même. »
D’un pas habile, le voilà qui se rapproche de son vis-à-vis. Lui adresse un sourire charmeur, et sans aucune gêne, lui attrape la main pour la serrer et la secouer entre les siennes
« Oh pardon, j’en oublie les bonnes manières ! Capharnaüm. Et toi alors ? »
Ses yeux papillonnent. Faut qu’il se mette dans la poche celui-là, s’il veut arriver à ses fins et repartir avec de quoi tester de nouvelles teintures. Alors oublier la mauvaise humeur, oublier les soupirs, place aux sourires et aux battements de cils. Et du bout de son index, le voilà qui tapote le badge fièrement accroché sur le Green.
« Oulalalah mais c’est quoi ça ? T’es quelqu’un d’important ? » Avant d’ajouter en ricanant « Désolé, c’est que je pige rien à votre système les gars. »
Et qu’il ne cherche pas à comprendre puisqu’il y trouve un intérêt tout à fait limité. Tant qu’il obtient ses plantes, le reste, il s’en balance royalement.
résumé:
- Capharnaüm perd patience parce que personne vient s'occuper de lui - Il est toujours aussi exaspéré quand Bobtail s'approche - D'abord un peu sec, il se radoucit rapidement pour essayer de se le mettre dans la poche
agora
Bobtail
Hodor,... Hodor ?
Policier
Fat Gum, My Hero Academia
Bobtail
Lun 17 Aoû - 11:27
joues pourpres et crinière écarlate
La réponse ne se fait pas attendre. Il est énervé. Je l’ai mis de mauvaise humeur, pire, il semble presque prêt à s’en prendre à moi. Alors, instinctivement, je ferme les yeux, espérant faire passer ce moment un peu plus vite. Je ne sens pourtant aucun coup arriver mais, c’est une agression verbale qui me laisse muet. Alors, je cligne des yeux. La fatigue aidant, je me sens à deux doigts de pleurer. J’essaye de reprendre un peu d’aplomb, en vain. J’ai beau être policier, donc supérieur à lui sur ces terres, il n’y a rien que je puisse faire pour aller à l’encontre de ce qu’il souhaite. Alors, il ne me reste qu’à accéder à sa requête. Puis, il à l’air décidé à être moins agressif. Ses mains posées sur ses hanches font ressortir la finesse de sa stature et sa chevelure vermeille. Si bien que je mets un petit temps à comprendre ce qu’il veut et j’acquiesce avec un temps de retard.
Pire, je n’ai pas le temps de réfléchir, parce que les tinctoriales, j’ai bien aucune idée d’où elles peuvent pousser, qu’il s’approche de moi et me serre la main entre les sienne en souriant de façon exagérée. La situation en devient si gênante que je m’empourpre totalement et plonge mon regard dans la contemplation d’un caillou, un peu plus loin. Capha… quoi ? C’est vraiment son nom qu’il vient de prononcer ? Je cligne à nouveau des yeux. Mon cerveau est englué et mes idées se mélangent. Si bien que je mets encore plus de temps à formuler une réponse dans ma tête. Les secondes s’étiolent et la situation devient de plus en plus gênante.
Il continue à s’agiter sous mes yeux, de plus en plus proche. Je n’ai même pas la force de faire un pas en arrière. Je suis toujours rouge comme une pivoine et, en plus, je me suis mis à suer à grosses gouttes. Il tapote mon badge, je suis au bord de l’évanouissement face à cette promiscuité forcée. Sans compter qu’il retient toujours ma main prisonnière. Son geste me rappelle que je suis policier. Je rassemble mes forces. Je me racle la gorge, tente d’échapper ma main des siennes -en vain, parce qu’il semble bien accroché- et mon regard remonte jusqu’à ses yeux, toujours beaucoup trop proche. J’essaye d’avoir l’air fier et intransigeant.
« _ B-b-bbob..tail. J-je suis Po-policier. Les… les tinc-toriales… sont… par là ? »
Pour la prestance, c’est raté. Je suis obligé de reprendre mon souffle entre chacun des syllabes. C’est vraiment ridicule. Et je sens la transpiration poindre de tous les pores de ma peau. Il faut vraiment qu’il lâche ma main et qu’il s’éloigne. D’un coup sec, j’arrache ma main à sa pression. Je reprends mon souffle, l’air effaré. Il est flippant, mais beau. Il me perturbe.
Je fais volte face pour interpeller un Agriculteur, ignorant la pique quant à notre organisation. Alors que je lève la main pour appeler l’une des travailleuse du champ, un vicieux cailloux se glisse sous ma chaussure. Fatigue, peur, angoisse, le cocktail suffit à me faire glisser et à m’étaler sans style au sol.
• Bobtail est apeuré par la manière dont Caphar l’aborde. • Il s’en trouve incapable de répondre à ses sollicitations • Il est clairement dans la fatigue. • Quand Caphar le laisse enfin en placer une, il se dit qu’il va trop lui en mettre plein la vue, mais non, il peine à aligner les mots. • Il va quand même accéder à sa requête en interpellant un agriculteur • Mais… il se casse la gueule en essayant. Rip. Maudit caillou.
The walker
Maître du jeu
Maltraiter les membres (rip)
IRL Chuck Norris
The walker
Lun 24 Aoû - 20:59
INTERVENTION POWER BOBTAIL
Il a beau dire qu'il ne va pas te manger, chacune de ses phrases ne fait qu'accentuer la prestance avec laquelle il t’oppresse sans même réellement s'en rendre compte. Les mots ne s'alignent pas comme tu le voudrais, et voila que tu tombes, pour ne pas arranger les choses. C'est les sentiments qui se bousculent et c'est l’échec qui résonne dans la tête. Tu te sens si petit face à lui. A cet instant, si faible.
Et c'est le paysage que tu vois grandir, grandir, grandir. Les herbes d'Asgard te chatouillent maintenant le menton alors qu'à tes cotés se tient un Capharnaüm gigantesque.
Invité
Invité
Invité
Mar 25 Aoû - 13:05
joues pourpres et crinière écarlate
Oh. Mais. C’est qu’il est… touchant. Et Capharnaüm se pince les lèvres pour ne pas rire. Ses joues rougies, ses balbutiements, on dirait une petite souris qui tente de s’échapper tant bien que mal des pattes d’un matou un peu trop joueur. Un enfant dans un monde d’adultes. A l’innocence encore trop pur. Il aurait presque envie de le prendre dans ses bras, de la cajoler et de lui dire que tout ira bien. Mais rien de pire pour aggraver la situation. Le fameux Bobtail est déjà sur le point de se liquéfier sur place, et Capharnaüm a un brin de conscience, alors il accepte lui laisser un instant de répit.
Finalement, ce qu’il est venu chercher devient un poil moins intéressant, il a trouvé beaucoup plus friand à se mettre sous la vent. Ce p’tit vert est vraiment trop amusant. Un policier qui plus est. C’est à mourir de rire. Et parce qu’il sent qu’il pourrait sortir de quoi gêner encore plus le garçon, le Vagabond se contente d’acquiescer dans un sourire difficile à dissimuler. Sa main n’est plus prisonnière et il observe le dos de l’autre qui commence à s’éloigner. Malheureusement, il n’a guère le temps d’aller bien loin.
Car le voilà qui trébuche.
Les yeux de Capharnaüm s’écarquillent. Il a même retenu sa respiration. Et reste pantois en voyant l’autre s’affaler par terre. Il ne sait plus s’il doit rire ou pleurer devant la situation grotesque que lui offre ce pauvre Green.
« Oh. Mon. Dieu. »
Il a un peu de peine pour lui mais ne s’inquiète pas pour autant de savoir s’il va bien. Bien qu’hilarante, la chute n’a pas dû être très douloureuse. Et il s’approche d’un pas, avant de se stopper net.
Après la surprise, c’est la stupéfaction. Ses yeux continuent à s'agrandir toujours plus devant l’improbable. Et sa bouche s’ouvre sous le choc. Un poisson rouge dans un bocal. Pour une fois, les mots lui manquent. Parce qu’en face de lui – ou plutôt sous lui – se trouve désormais une version réduite de Bobtail-le-policier. Et il reste là à le dévisager.
« Bordel de bite à queue. Mais c’est quoi CA ?! »
Et il s’agenouille brusquement pour se mettre un peu plus à la taille de l’invraisemblable.
« Oh putain, oh putain, OH PUTAIN ! T’es tout PETIT. Genre vraiment vraiment très petit ! Alors que t’étais là, y a deux secondes, grand comme ça ! »
Et il mime avec ses bras qu’il écarte. Tandis qu’un fou rire le prend, le secoue de spasmes et lui fait monter la larme à l’œil.
« Olalalalah mais t’es encore plus mignon comme ça ! »
Pas d’explications logiques derrière tout ça. De toute façon, Capharnaüm n’en cherche pas. Tout du moins, pas pour l’instant. Il préfère s’émerveiller devant ce petit miracle, de la mignonnerie que lui offre le Green tout minuscule.
« Nan mais c’est pas possible, vous fumez vraiment de la bonne par ici ! »
résumé:
- Il se retient de pas trop se moquer de Bobtail mais c'est très très difficile - Quand il tombe, il s'en inquiète même pas et s'approche simplement de lui avant... - THE CHOC - Il devient un poil vulgaire - Il s'agenouille devant mini-Bobtail et ne peut pas retenir son fou-rire - Il cherche même pas à savoir ce qu'il se passe, c'est juste beaucoup trop drôle pour lui
agora
Bobtail
Hodor,... Hodor ?
Policier
Fat Gum, My Hero Academia
Bobtail
Mer 26 Aoû - 10:40
joues pourpres et crinière écarlate
La situation devient de plus en plus compliquée à gérer. Il a cessé d’être méchant. Il est maintenant presque… aguicheur ? Il répond pas des signes de têtes des sourires qui mettent mal à l’aise. Heureusement, je finis par m’en tirer. Pas trop mal, à mes yeux. C’est à dire que j’ai réussi à articuler une phrase, sans tomber dans les pommes et à lui faire passer le message recherché. Il ne me reste plus qu’à...
Evidemment, quand on prévoit des choses, elles ne se passent jamais comme prévues. Comme ce caillou. Ce petit bout de roche qui se glisse sous ma chaussure sur lequel je roule pendant une fraction de seconde, avant de me rendre compte que je perds complètement l’équilibre. J’ai à peine le temps de penser que ce Capharnaüm va se moquer de moi, ou pire, que je suis déjà par terre. Et j’accuse d’un mal de rein. Il ne fait pas bon être malchanceux, après cette apocalypse.
Je suis tiré de ma torpeur par un cri -grossier- du coiffeur. Alors, j’ouvre pénible les yeux. Mon coeur manque plusieurs battements. Qu’est-ce que… ? Je recule précipitamment. Il était déjà grand… mais, là. Il est gigantesque. Littéralement. Je… n’ai pas l’habitude de ne pas voir le monde d’en haut. Je cligne plusieurs fois des yeux. Sans parvenir à comprendre ce qu’il se passe. Comment une mauvaise blague peut-elle être si réaliste ?! Capharnaüm se précipite devant moi, son souffle est une véritable tornade, je suis obligé de mettre un bras devant moi pour ne pas subir son haleine taille XXL. Comment ça, je suis tout petit ?! Et comment c’est possible, que je sois TOUT PETIT ?!
Agard, je regarde autour de moi. Et, là, je vois le caillou qui m’a fait tomber. Il est gros et grand. Il m’arrive à la taille alors que, quelques minutes auparavant, je ne l’aurait même pas remarqué. Sans parler de Capharnaüm, tout est devenu immense. Les brin d’herbes sont de véritables arbres et, devant moi, s’étend une véritable prairie désertique. Mon cerveau ne sait plus très bien comment interpréter les choses. Je suis stoïque et ne parvient plus vraiment à réagir. Alors, il se raccroche à des choses connues. Comme le fait qu’il est plus simple d’étudier la géologie en étant si petit.
Le rire tonitruant du rouge qui n’a pas bougé me force à me tourner à nouveau vers lui. Il s’agite vivement, comme s’il voulait me faire comprendre les choses. Décidement, mon esprit n’arrive pas à le suivre. Je capte le mot “mignon” et “de la bonne” sans vraiment capter le sens de ses suppositions. J’ai vraiment l’air petit. En tout cas, les battements de cils du monsieur me font l’effet d’une brise. Et, s’il le voulait, il pourrait m'enfourner dans sa bouche sans le moindre mal. L’image me fait déglutir.
C’est peut-être bien la fin du monde qui me fait vivre des trucs chelous. Mon cerveau a décidé d’arrêter d’essayer de comprendre. Tout cela n’a aucun sens. Cela défie toute forme de cohérence. Je n’ai pas bougé. Je suis resté muet pendant que l’autre s’agitait à dire des choses inutiles à commenter des trucs auxquels je n’avais rien à répondre.
« _ Qu’est-ce qu’y se passe ? »
Ma voix est encore plus ridicule qu'avant. Aiguë et de crécelle, presque insupportable. J'ai comme l’esprit embrumé, perdu. Comme si je venais de fournir un effort phénoménal pour échapper à cet énergumène un peu trop pressant. D’autant plus pressant à présent. Un échec sur toute la ligne, en somme.
• C’est un peu le bug mental • Comment ça, tout petit ?! • Son cerveau ne fonctionne plus bien et il a du mal à comprendre • Il est paumé et n’arrive même pas vraiment à comprendre ce que dit Caphar • Il se dit que, pour la géologie, c’est pratique d’être petit. • Il semble bel et bien tout petit, mais ça fait pas trop de sens • Il est pauuuuumé. • Il demande ce qu’il se passe. • Et il demande autant à Caphar qu’à lui-même s’il va rester tout petit.
Invité
Invité
Invité
Ven 28 Aoû - 19:54
joues pourpres et crinière écarlate
Un nouveau fou rire. L’hilarité le saisit encore alors que la voix aiguë de Bobtail se fait entendre. C’est clairement le genre de voix que l’on pourrait s'imaginer d’une fourmi. Lui qui était si grand, si impressionnant, si massif quelques secondes auparavant est désormais réduit à la taille d’un minimoy doté d’une voix absurde. Sincèrement, qui pourrait garder son sérieux devant tel spectacle ?
Certes, Capharnaüm pourrait tenter de faire preuve d’un peu d’inquiétude, de se sentir concerné. Mais le fait qu’il n’ait pas pris les jambes à son cou sous l’effet de la peur ou qu’il n’ait pas décidé de le laisser se démerder tout seul est déjà bon signe non ? Il préfère voir la situation sous cette angle, pas certain que le Green voit les choses de la même manière. Mais pour l’instant, le coiffeur est le seul sur lequel il peut compter. A cette taille et avec une telle voix, il mettrait une éternité avant de parvenir à attirer l’attention de quelqu’un d’autre, voire de tout simplement être capable de s’approcher de l’un de ses collègues sans se faire écraser.
Oh mon dieu. Ecraser. De la bouillie de Bobtail. Le risque n’est franchement pas anodin. Et ça, ça reste quand même moyen amusant, même aux yeux de Capharnaüm. C’est qu’il a un cœur tout de même.
« Hé la crevette, grimpe. Ca paraît plus safe que de rester là où t’es. »
Sa main se tend vers lui pour l’inciter à venir se réfugier au creux de sa paume.
« Enfin j’dis ça, j’dis rien. C’est toi qui vois. »
Haussement d’épaules, sourire toujours accroché aux lèvres. Il sait bien qu’il ne doit pas inspirer 100% confiance à Bobtail mais quel choix lui reste-t-il ? A lui après tout d’apprécier ce geste de bonne grâce de la part du coiffeur ! Certains se damneraient pour avoir le privilège de se prélasser au cœur de ses mains. Enfin… c’est ce qu’il se plaît à croire.
« Et sincèrement mon p’tit chou, j’ai absolument aucune idée de ce qu’il se passe. Déso’. Mais si ça peut te rassurer, c’est pas la première fois qu’il se passe un truc chelou dans cette ville ! »
Triste lot de consolation. Sauf que c’est bel et bien le cas. Arcadia Bay est devenu le refuge de choses les plus étranges les unes que les autres. Malheureusement, Capharnaüm n’a jamais cherché à y comprendre quoique soit, prenant plutôt la vie comme elle se présentait à lui, s’en accommodant coûte que coûte.
« Si tu veux, j’t’amène quelque part ? T’as pas quelqu’un chez tes p’tits potes qui pourrait t’aider ?! »
L’avantage de faire parti d’un groupe n’est-ce pas ? Ils doivent bien être capables de se serrer les coudes dans de telles situations… et être plus apte à apporter des réponses et rassurer ce pauvre garçon.
résumé:
- Bon bah forcément, Caph' explose encore de rire en entendant la voix de Bobby - Mais il prend conscience des risques qu'il se fasse écrabouiller alors lui propose de venir dans sa main - Et il lui propose même de l'emmener quelque part s'il a besoin (quel grandeur d'âme)
agora
Bobtail
Hodor,... Hodor ?
Policier
Fat Gum, My Hero Academia
Bobtail
Ven 6 Nov - 12:00
joues pourpres et crinière écarlate
Petit. Minuscule. Riquiqui. Comme si j’avais besoin de ça en plus de tout mes autres problèmes. Quelle vaste blague. Et le rire de ce maudit Capharnaum. Je crois que j’ai à nouveau envie de pleurer. Je regarde mes mains, elles me semblent tout à fait normales. Tout à fait à ma taille. Tout à fait proportionnées, mais, je n’ai qu’à tourner la tête pour me rendre compte que, non, cette taille n’est pas normale. Tout va de travers. Je cherche à rendre la situation plus palpable, je tends la main vers un brin d’herbe. Le touché est le même que d’habitude, j’ai peut-être simplement la sensation d’avoir un touché plus fin, qui manque moins de détails.
Je cherche à rationaliser. C’est mission impossible. Rien ne fait sens. Cette situation est complètement hors de ma portée logique. De plus, il est franchement difficile de me concentrer quand l’immense aux cheveux rouge qui piquent les yeux ne cessent de parler. Néanmoins, il soulève une problématique qui ne m’avait pas encore effleuré l’esprit.
Me faire écraser.
Je déglutis péniblement. Je fixe mes pieds, me compare à nouveau au brin d’herbe, au caillou. Aucun doute : un Green pressé pourrait tout à fait m’écrabouiller sans même s’en rendre compte. Une peur viscérale me retourne l’estomac.
Accepter la main du grand méchant loup ou bien risquer la fin de mes jours sous une semelle salle ? Le coiffeur a beau me ficher les jetons en plus de me déstabiliser, je n’ai pas d’autres choix que de grimper laborieusement sur sa main. Une main dont tous les détails semblent soudainement m’apparaître. Toutes les aspérités sont grandies. Alors, je me mets à fixer un creux qui doit former le plis de sa main, je me laisse tomber (lourdement ?) sur sa paume. Évidemment, qu’il n’a pas plus de réponse à mes questions que moi-même. Que vais-je faire ? Que va-t-il m’arriver ? Comment Pony va-t-il user de cette nouvelle forme pour me faire payer de je-ne-sais-quoi ? Je cache mon visage entre mes mains.
Des trucs chelous, c’est clair que la ville en ait remplie. Moi qui pensait trouver un semblant de vie normale en allant chez les Greens. Retrouver une stabilité. Espérer m’accrocher à de nouvelles habitudes pour ne pas me perdre à nouveau. Mes dents s’entrechoquent, de peur, de désespoir. Petit. Si je reste petit, je vais être inutile. On va me jeter dehors. Je vais tout perdre. La mort dans l’âme, je ne réfléchis qu’à moitié à la question de Capharnaüm. Il est mignon, gentil, attentionné depuis que j’ai rapétissé. Mais où aller ? Je n’ai pas envie que quiconque ne me voit dans cet état. C’est bien trop humiliant. Déjà que lui me voit comme ça, une personne, ça suffit.
Je renifle bruyamment et je chuchote mes pensées.
« _ J’ai… je… je-veux-pas-que-les-Greens-me-voient-comme-ça. Je lâche d’une traite. Non, impossible. Je préfère déserter mon poste et espérer que Pony ne s’en rende pas compte plutôt que mon cette nouvelle forme à mon groupe. Emmène-moi, ailleurs… s’il te plait ? »
Je suis forcé à croire la bienveillance de cet homme. C’est à la fois gênant et à la fois un peu excitant de se jeter dans cet inconnu. Je n’ai de toute façon pas le choix, il est le seul à m’avoir tendu la main. Je n’ai qu’à espérer qu’il tienne sa parole et m’aide véritablement…
COUCOU CéMOUA. Ahem. Je m’excuse vraiment beaucoup pour le retard. J’espère que tu es toujours chaud pour continuer un peu ce RP. Sinon, je comprendrais, je peux y mettre fin de ce poste, si tu le souhaites ! • Bobby test un peu sa nouvelle taille. • Il n’avait pas vraiment pensé au problème de l’écrasement • Il saute dans la main de Caphar • Il le supplie presque de l’emmener ailleurs pour ne pas montrer qu’il est tout petit aux autres Greens.
Invité
Invité
Invité
Mer 25 Nov - 16:14
joues pourpres et crinière écarlate
Le petit être minuscule prend la sage décision de venir se réfugier dans sa main. Capharnaüm réprime un énième sourire. C’est insensé ce qu’il se passe mais il ne peut s’empêcher de trouver cela aussi foutrement amusant. Et un poil attendrissant. Le pauvre garçon n’est plus qu’un minimoy et le coiffeur en aurait presque envie d’en faire son animal de compagnie. Mais il se garde de lui faire une telle proposition, se doutant bien qu’une telle idée ne plairait guère au petit vert. Il se contentera de simplement en profiter tant qu’il le peut.
Et son cœur fond littéralement lorsque Bobtail lui demande de l’emmener ailleurs. Mon dieu, n’est-ce vraiment pas possible de l’adopter ? Capharnaüm est même prêt de lui fabriquer une petite maison, avec un petit lit et lui coudre des tous petits vêtements.
« Ooooh mais voyons, soit pas gêné comme ça ! Et ne cache surtout pas cette petite tête beaucoup trop mignonne. T’es mignon à croquer avec cette taille, tu le sais ça ?! »
Les étoiles brillent toujours plus dans les yeux amusés du Vagabond. Toute cette situation l’amuse beaucoup trop, et tout cela aux dépends de ce pauvre Bobtail. Mais c’est trop lui demander que de compatir, Capharnaüm est trop habitué à sa vision biaisée de la réalité. Il n’y voit à cet instant qu'une distraction des plus sympathiques, un moyen de s’échapper de son quotidien ennuyeux, sans se soucier véritablement que tout ceci n’a absolument rien de normal. Peut-être que si c’était lui qui s’était retrouvé aussi petit qu’un orteil, les choses auraient été différentes…
« On va chez moi alors ? J’ai pas 36 endroits à te proposer. Et ramener quelqu’un dès le premier soir… tu me fais faire des folies dis donc. »
Comme s’il était si pur et vertueux… Mais en se montrant aussi taquin, il est persuadé de voir à nouveau Bobtail se décontenancer. Ce n’est pas très gentil de se moquer ainsi de lui, il le sait bien, mais ce n’est pas un crime non plus ? Et puis, n’est-il pas en train de s’occuper du garçon ? De prendre soin à ce qu’il ne lui arrive rien ? Cela mérite bien quelques plaisanteries. Qui plus est, le coiffeur n'était pas venu pour ça et il se résigne à l'idée que ce n'est pas aujourd'hui encore qu'il pourra obtenir ses précieuses plantes. Alors quitte à changer ses plans, autant qu'il le fasse selon ses propres règles du jeu.
« Tu me seras redevable, tu le sais ça? » ajoute-t-il dans un large sourire.
agora
Bobtail
Hodor,... Hodor ?
Policier
Fat Gum, My Hero Academia
Bobtail
Mer 17 Fév - 17:03
joues pourpres et crinière écarlate
Je ne suis pas rassuré du tout. Dans quel univers je pourrais être rassuré ? Je suis TOUT PETIT, je rappelle et je viens d'accepter la proposition du mec le plus intimidant de la terre qui peut décider de m'écrabouiller d'une seconde à l'autre. Bon, il a certes l'air plutôt tenté par faire de moi sa poupée choyée mais... euh... voilà qui est encore plus inquiétant.
Je renifle et essuie mon visage morveux d'un revers de manche. Je prends une inspiration et me glisse au creux de la main du géant à la crinière étincelante. Etrangement, c'est plus agréable que je ne l'aurais cru. Sa paume est douce, lisse et dégage une chaleur tout à fait confortable. Je m'y affale sans plus de cérémonie, même si le malaise est toujours présent. Il m'assure être "à croquer" sous cette nouvelle forme. Et cela a le don de me faire à nouveau rougir jusqu'aux oreilles. De toute ma vie, je ne crois pas que ce compliment ne soit déjà sorti de la bouche d'une autre personne que mes parents. Que ces paroles soient soudainement prononcées par l'égérie de mode d'une Arcadia Bay dévastée me met mal à l'aise. Je me répète que je n'ai pas le choix et cherche à me blinder face à ses compliments.
La seule stratégie qui me vienne en tête est celle du boudin. Je me mets à faire ostensiblement la moue et bredouille une réponse boudeuse.
" _ Gna gna gna, je vais t'en donner du mignon. "
Et je me mets à chatouiller du bout de mes minuscules doigts le creux de sa paume, espérant être capable de me maintenir en place s'il s'agite. C'est un risque que je suis prêt à courir. Au pire, je devrais m'accrocher à sa peau, peut-être jusqu'au sang et j'aurais alors ma revanche de minimoys.
Chez lui ?! Comment ça, chez lui ?! Il marque encore un point me met à rougir de plus belle. Personne ne m'a jamais invité chez lui. Chacun chez soi et tout le monde est content dans mon monde. Je ne suis pas sûr de vouloir ça... et ça veut dire quoi, tous ces sous-entendus ? Mais, bien sûr, je n'ose pas demander. Peut-être que je ne préfère pas savoir, après tout ? C'est de toute façon trop tard, il est parti à grandes enjambées. Nous allons quitter le territoire Green et me voici à son entière merci. Pire, je lui suis redevable. Quel enfer... dans quelle situation ai-je encore réussi à me mettre ?
J'essaye de garder mon calme, de ne pas paniquer et de mettre les choses en ordre dans mon esprit. Je suis soudainement devenu minuscule, de la taille d'une brindille, puis, la seule personne qui a décidé de m'aider est une énergumène dont je connais à peine le nom, mais, qui est probablement la personne plus excentrique de la région et voilà qu'il décide de m'emmener chez lui pour de sombres desseins auxquels je n'ose même pas penser. Je ferme les yeux et reprend ma respiration à grandes bouffées d'air frais. Je décide de conserver ma stratégie de boudeur.
" _ Eh, j'espère que c'est pas trop loin chez toi, hein. J'ai pas envie de perdre mon temps... enfin, tu vois, j'espère surtout que tu vas m'aider à retrouver ma taille normale. Je suis sûr que t'es un gars pas net qui fait de la magie noire, je suis sûr c'est de ta faute tout ça ? Je croise les bras sur ma poitrine. Eh ouais, je suis pas si bête. J'ai remarqué être devenu tout petit en ta présence, c'est forcément toi. Raisonnement infaillible."
D'où ma vient cette assurance ? Aucune idée. Pourquoi est-ce que je me mets encore plus dans la panade alors que c'est déjà pas jojo ? Pas la moindre piste non plus. Quitte à mourir, autant qu'on ne retrouve pas mon cadavre et que l'on me croit porté disparu. Quelqu'un tombera bien un jour sur moi, ossements d'un minuscule crustacé aux origines inconnues..
Bob accepte de grimper dans la main de Caphar, toujours très très gêné La main de Caphar est incroyablement douce et confortable Bobby décider de jouer la carte "boudeur" pour échapper au malaise Il fait des chatouilles dans la main de Caphar (tu peux faire ce que tu veux avec ça !) Il est quand même inquiet pour la suite... c'est une situation inédite (sans dec) Il sort donc la carte "attention je boude et je suis pas gentil" en lui expliquant qu'il est persuadé que c'est Caphar qui l'a rendu tout petit... Il a les cheveux rouge et est chelou... c'est forcément le malin.
